Inaugurée samedi 28 septembre, en présence de l’adjoint au maire Marc Migraine, du conseiller et vice-président de région…
Touche pas à mon intermittente ! #TPMP
La direction de D8 a signifié à Sophie Tissier qu’elle ne travaillerait plus pour le groupe Canal Plus en septembre 2013. La jeune femme était intervenue le 30 mai dernier dans l’émission de Cyril Hanouna « Touche pas à mon poste », sur D8, devant l’invité Jean-Luc Mélenchon pour dénoncer une b[…]
Deux communiqués de presse de Survival international
Communiqué de presse de international du 27 septembre 2013 Les Jarawa bientôt menacés sans discontinuité par les ‘safaris humains’ Alors que la Journée mondiale du tourisme est célébrée dans le monde entier, l’administration des îles Andaman en Inde se prépare … Continue reading →
Pour une liste unique de toute la gauche à Sotteville-Lès-Rouen en mars 2014
Pôle d’art et essai du Havre : Cap sur 2015
La phase de démolition de l’ancien Sirius devrait intervenir rapidement, cours de la République… En juin, le permis…
Aure Atika au LH Forum du Havre
Aure Atika, actrice dans une quarantaine de film, réalisatrice, comédienne au théâtre et à la télévision a fait…
Des photographes et des forêts jusqu’au 14 octobre
Vous avez certainement repéré ces grandes photos dans quatre sites différents : CCI-Esplanade de l’Europe, Docks Océane-Quai Frissard,…
Exclusif Paris-Normandie : une femme mise en examen pour avoir tué son nourrisson et l’avoir caché dans une cheminée
(Seine-Maritime) Après un peu moins de quarante-huit heures passées dans les locaux du Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen (Seine-Maritime), une Cauchoise a été déférée, ce dimanche en début d’après-midi, au palais de justice. Cette jeune femme, qui n’a pas encore 40 ans, a été mise en examen pour « homicide volontaire sur mineur de 15 ans » par un juge d’instruction rouennais et placée sous contrôle judiciaire. Elle est soupçonnée d’infanticide.
Une militante UMP attaque le premier adjoint
Jeudi 26 septembre, la municipalité de Mont Saint Aignan organisait une rencontre consacrée au Chemin des Cottes. J’ai lu avec attention le compte rendu sur la page Facebook du groupe…
Barilla n’a pas réagi comme il le fallait aux propos homophobes de son fondateur
Par Florian Silnicki, Expert en stratégies d’informations, gestion de la réputation et de crises digitales.
Retour sur une communication de crise maladroite qui n’a su tirer les leçons ni des crises traversées par Perrier et ses traces de benzène, Nike et ses salariés âgés de 11 ans, Quick et son staphylocoque doré ni des erreurs commises par Total et sa marée noire, Findus et sa viande de cheval ou Guerlain vis-à-vis des propos racistes de son fondateur.
Les premières réactions fusent aussitôt sur le très réactif réseau Twitter et dénoncent ces propos homophobes. Sur Twitter, a été lancé un concours des hashtags (à l’image de #adessopasta, jeu de mots entre pasta (pâte) et basta (ça suffit), adesso signifiant « maintenant »).
Guido Barilla présente ses excuses dans la journée. Cela ne suffit pas. Evidemment.
Pourquoi était-ce prévisible ?
La polémique continue d’enfler et les appels au boycott se multiplient. Pourquoi était-ce prévisible ?Tout simplement parce que les consommateurs attendant une prise de position ferme de la marque elle-même.
Que doit-elle faire? D’abord prendre ses distances, se désolidariser des propos de son fondateur et les condamner.
Elle doit mettre en place une forteresse médiatique fondée autour de valeurs fortes, d’une éthique solide et responsable.Non seulement la communication de crise de Barilla est maladroite mais elle ouvre une opportunité importante de communication pour ses concurrents qui l’ont immédiatement saisis en communiquant sur leur conception ouverte de la famille. Ainsi Buitoni a immédiatement publié : « Chez nous, il y a de la place pour tout le monde. » et Garofalo « Les seules familles qui n’achètent pas notre marque sont celles qui n’aiment pas les pâtes. »
« Excuses forcées »
La marque Barilla aurait immédiatement du communiquer auprès des médias en expliquant de façon très forte qu’elle ne ressemblait en rien aux propos tenus par son fondateur.
Au lieu de cela, c’est le fondateur de la marque qui accentuant la confusion entre la marque éponyme et lui, publie sur le compte facebook de la marque le message suivant : « Je m’excuse si mes mots ont généré de la controverse, de l’incompréhension, ou s’ils ont heurté la sensibilité… Je voudrais souligner que j’ai le plus grand respect pour tous, sans distinction d’aucune sorte. »
Non seulement la marque ne prend pas la parole. Elle la laisse à son fondateur. Mais en plus, celui-ci tente maladroitement de prendre part à la conversation avec des propos manifestement insincères ce qui aboutira la plupart des médias à titrer « excuses forcées ».
Tenir un discours c’est bien, mais comment espérer qu’une communication aussi faible puisse permettre d’atténuer la crise, faute d’en esquisser la sortie ? Cette fausse honnêteté va couter cher à la marque. Les internautes ne sont pas dupes et les mots trop faibles. Cette communication a accentué le ternissement de la réputation de la marque.
Des appels au boycott
Trop tard, en basant sa communication de crise sur l’homme qu’il l’a généré, la marque loupe le coche. Sa stratégie était vouée à l’échec, morte-née. En effet, comment sérieusement espérer sortir indemne d’une crise médiatique suscitée par l’homme qui incarne son entreprise au risque de se confondre avec elle, aux yeux du public ?
Devant la polémique qui se poursuit et la multiplication des appels au boycott, le groupe tente de reprendre la main.
La marque doit éteindre cette polémique mais il est difficile d’éteindre une crise qu’on a laissé vivre si longtemps.
Toute la difficulté pour la marque aujourd’hui est de faire face à la gravité de la crise, en termes de communication. En laissant communiquer son fondateur, représentant éponyme de la marque, pourtant à l’origine même de la crise, la marque a été inaudible. Plus grave, elle s’est privée d’un instrument lui permettant d’atténuer la perception de la responsabilité de l’entreprise dans cette crise et donc protéger sa réputation.
Rassurer les consommateurs
Pire encore, à l’heure où le contrôle du contenu sur internet est illusoire et la gestion de l’eRéputation devenue un enjeu majeur, Barilla a démontré toute la désuétude de sa conception d’internet en privilégiant la diffusion unilatérale d’un message fleurant la mise en scène.
La marque doit aujourd’hui rassurer les consommateurs. Elle doit leur expliquer que leur confiance est ce qu’il y a de plus important pour elle. Elle doit explique que malgré tout le respect qu’elle a pour son fondateur, elle regrette ses propos qui n’engage que lui. Elle doit expliquer qu’elle regrette que ces propos qu’elle condamne aient un impact sur des salariés implantés dans le monde entier alors même que la qualité des produits n’est pas en cause.
Sur internet, la marque aurait dû faire diffuser cette version des faits par sa communauté d’internautes clients fidèles. En laissant communiquer sur internet son fondateur, la marque semble oublier qu’elle ne sera jamais aussi crédible que des milliers d’internautes qui, prenant fait et cause pour elle, viennent défendre ses produits et relayer les arguments de la marque, la dissociant des propos inexcusables de son fondateur.
Pas de stratégie de risposte
La marque aurait dû proposer un plan visant à promouvoir les outils de lutte contre la discrimination au sein de son groupe ou dans la société. Elle aurait aussi pu mettre l’internaute au coeur de son plan de riposte à la crise en proposant aux internautes un concours créatif basé sur la co-création visant à promouvoir les valeurs responsables du groupe. Une publicité aurait ainsi été choisie puis massivement relayée. La marque doit en tous les cas abandonner sa conception hiérarchique et dépassée de la diffusion de message pour faire de ses clients des relais crédibles de ses valeurs sur les réseaux sociaux… mais pour cela, elle doit commencer par prendre la parole elle-même !
En temps réel, la marque aurait dû s’appuyer sur le renfort de l’outil publicitaire pour démontrer autour de valeurs familiales qu’elle acceptait toutes les différences, toutes les sensibilités et toutes les diversités sociales.
Il est stupéfiant de constater à travers l’analyse de ce cas, que la marque Barilla n’avait manifestement pas préparé en amont une stratégie de riposte internet à une éventuelle crise alors que celle-ci est aujourd’hui absolument incontournable. Ce manque criant de préparation se manifeste d’ailleurs clairement dans l’action de ses community managers. Rapidement mis en cause par les internautes, ils n’ont pas été en mesure de répondre rapidement aux critiques, ni même en mesure d’expliquer que la marque avait pris connaissance de ces critiques mais qu’elle condamnait ces propos.
Comment sortir de la crise ?
Reste qu’alors que la marque connaît une crise, aucun plan d’action concret ne se dessine pour en sortir. Incapables à l’image de leur marque d’avoir des éléments de langage convaincants, les community managers se sont retrouvés muets sur les réseaux qui exigeaient une action urgente et percutante pour convaincre une large communauté de la nécessaire distanciation entre les propos de son fondateur et l’image de la marque de Barilla.
Au lieu de cela, les community managers se sont basés sur les propos injustifiables du fondateur de la marque pour formuler leurs réponses, ne réussissant évidemment pas à changer la perception critique des internautes.
Barilla doit désormais tenter de se rattraper pour diminuer la visibilité des traces de cette crise sur internet en diffusant une contribution positive. Peut-être sera-t-elle alors plus efficace..
- Les intertitres sont de notre rédaction
Mon agenda régional du 30 septembre au 5 octobre
Lundi 30 septembre : 8h30 : Réunion de travail avec la Direction des Lycées de la Région 10h : Réunion de travail avec la Direction ‘Jeunesse – Sport – Culture – Actions éducatives’ de la Région 11h10 : Entretien avec les représentants du groupe Europe Ecologie Les […]
Les bonnes pratiques en intelligence économique, thème d’un débat à la préfecture de l’Eure
Dans cette optique, une réunion thématique sur « les bonnes pratiques en intelligence économique » est organisée ce lundi 30 septembre, à la préfecture de l’Eure (salle Claude Monet, à 17h45), à Evreux à l’initiative de Dominique Sorain, préfet de l’Eure et de Gilles Treuil, président de la chambre de commerce et d’industrie de l’Eure.
Réunion Intelligence économique : vos savoir-faire ont de la valeur. Quelles stratégies pour les sécuriser ? Secrets, brevets, marques, dessins et modèles, contrats … |
Saint-Michel
Saint-Michel, le saint patron de notre église, nous a réunit une fois de plus, en cette fin septembre, pour accueillir les nouveaux Gervillais de l’année. Nous avons ainsi eu le plaisir de partager le verre de l’amitié avec M. Mathieu et Mme Gaillard de la rue des Alizés ainsi que M. Basille et Mme Maillard de la rue de la liberté. Bienvenue dans notre petit village !
Le café du Havre dans les archives du Monde
Les archives du quotidien s’ouvre sur la place du café au Havre. Extrait : Inauguré le 25 août…
Théâtre à Gerville
Le jeudi 10 octobre, à 19h00 le théâtre Le Passage proposera à la salle du Clos Normand le spectacle « MA BICHE ET MON LAPIN » de et par Charlotte Blin et Julien Mellano.
Un Vaudeville sur table, musical et sans parole, où les couples se forment et se déforment dans un ballet d’objets manipulés. Des petites histoires d’amour bucoliques, badines ou tragiques, tricotées à quatre mains par un duo mixte.
Tarif unique 5€, durée 25 min, à partir de 10 ans.
Renseignements et réservations: Théâtre Le Passage: 02 35 29 22 11.
A la fin du spectacle, un moment d’échanges vous sera proposé autour d’un verre.
Ils cambriolent un supermarché pour voler un pack de bière !
Les cambrioleurs ont été trouvés en possession d’un pack de bière… Ils ont d’abord tenté de pénétrer dans le supermarché discount par le toit, mais n’y parvenant pas ils ont fracturé une porte latérale accédant directement à la réserve. Les dégâts sont importants, selon une source policière.
Trois complices identifiés
Les trois suspects ont été placés en garde à vue. Ils ont été bientôt rejoints par des complices. En effet, l’enquête a permis d’identifier trois autres personnes qui nauraient également participé à ce cambriolage. Elles ont été interpellées ce dimanche matin 29 septembre à leur domicile respectif.
Les mis en cause sont des jeunes gens, dont certains sont mineurs, qui résident dans des communes de la vallée du Cailly.
Quoi de neuf Doctor!
C’est quoi au juste un Week-end où il ne se passe presque rien ?
Un régime syrien qui continue son petit train-train en envoyant une belle carte postale à tonton François sans oublier d’entourer d’une croix
les sites chimiques sur la photo. Des Roms qui continuent à venir puis repartir en Roumanie ou Bulgarie en suivant le rythme des saisons touristiques sans se préoccuper des coups de gueule de
Cécile Duflot ou Manuel Valls. Une Autriche qui échappe de peu au grand retour de l’extrême droite sans pour autant y basculer .Des Djiadistes du sexe qui n’étaient en fait que pure invention de
fanatiques essayant de faire le buzz avec un nouveau concept encore en gestation.
Des vendanges qui n’ont pas encore donné du vin nouveau, des pommes qui n’ont pas encore fait
leur premier jus ! Des gigots qui sont encore sur pied. Des journalistes qui traversent des paysages sans même penser à s’arrêter. Des orages qui ne prennent plus la peine de foudroyer un
pauvre grand-père sur sa mobylette. Des voyous qui perdent un arsenal sans avoir pu trouer la peau d’un dealer à Marseille. Des grandes enseignes de bricolage qui ignorent poliment la justice et
la vie de famille et qui ouvrent sans vergogne leurs magasins le dimanche sans que cela ne suscite une intervention des forces de l’ordre.
Comment dans ce flot de nouvelles molles trouver l’information qui va bien ? Pas même un avion qui s’écrase ou un petit
vaporisateur chimique ? C’est l’automne. Certes ! Mais ce n’est pas encore le moment de changer d’heure. Personne n’a perdu son chat siamois dans l’express de 20 h 13 ! Que faire ? Remuer la fourmilière à information pour que tout cela
reprenne…ou s’endormir dans canapé en espérant que les volcans d’Auvergne ne se réveillent pas en même temps. Le plus sage sera d’éplucher les légumes pour se remettre à faire une bonne soupe au
chou…
Igor Deperraz
Pas de financements privés dans les écoles publiques
Ville de Rouen Conseil municipal du 11 juillet 2013 Motion proposée par le Groupe des élus …
5ème édition du jour de la nuit
Cette année encore, la municipalité et le comité des fêtes de Gerville proposent une balade nocturne à l’occasion du jour de la nuit. Rendez-vous est donné à 20h30 sur le parking de l’école pour un promenade accessible à tous. Pensez à vous munir de chaussures et vêtements adaptés. Une boisson chaude sera servie au retour.
Un homme de 24 ans tué par balles, près de Gournay-en-Bray
Un règlement de comptes ? Un homme de 24 ans a été tué, vendredi 27 septembre, par arme à feu, près de Gournay-en-Bray. Des tirs qui ont également fait un blessé grave.
Un vol de moto serait à l’origine d’un réglement de compte sanglant près de Gournay-en-Bray
La victime, Tristan, qui habite dans ce gros bourg de 1800 âmes, revenait du stade de football avec un copain, Antoine, âgé de 27 ans et qui serait originaire de l’Eure. Sur leur chemin, les deux hommes ont été pris à partie par quatre individus venus semble-t-il tout spécialement pour éclairir une histoire d’un vol de moto, rapporte notre confrère l’Eclaireur .
Touché par quatre projectiles ?
Il était autour de 22 heures. Des coups de feu ont été tirés. Ils ont été fatals à Tristant qui aurait été touché par quatre projectiles. Antoine, lui, a été blessé sérieusement lui aussi par les tirs mais ses jours ne sont pas en danger. Il a été hospitalisé au CHU de Rouen.
Le corps de la victime a été découvert dans l’étang situé à proxiité de l’endroit où se sont déroulés les faits. Les sapeur-pompiers ont tenté de réanimer Tristant.
Recherches infructueuses
Le meurtrier et ses complices ont pris la fuite à bord de deux véhicules dont l’Audi de la victime. Des recherches ont été entreprises vendredi soir jusqu’à une heure avancée de la nuit par les gendarmes de l’Oise mais aussi de la Seine-Maritime et de l’Eure. Elles n’ont pas permis de retrouver les individus.
Les plongeurs de la gendarmerie ont inspecté samedi matin les pronfondeurs de l’étang à la recherche d’éventuels éléments, dont l’arme du crime.
La gendarmerie de l’Oise en charge de l’enquête a déjà auditionné de nombreuses personnes à Saint-Germer-de-Fly où la famille de Tristan demeure.
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