Laurent Voulzy, Claude Lelouch, Flavie Flament et Amélie Mauresmo sur la Transat samedi au Havre

Laurent Voulzy, Claude Lelouch, Flavie Flament et Amélie Mauresmo sur la Transat samedi au Havre
A l’occasion de la Transat Jacques Vabre, plusieurs noms célèbres sont attendus samedi 2 novembre au Havre, autour du député-maire Edouard Philippe qui présidera les baptêmes des bateaux, avant le départ de la course qui sera donné le lendemain.

Sont ainsi annoncés :

Laurent Voulzy, Claude Lelouch, Flavie Flament et Amélie Mauresmo sur la Transat samedi au Havre
Le chanteur Laurent Voulzy, parrain de l’association humanitaire malgache Aïna, sera présent sur le stand du gestionnaire de crèches Groupe Picoty (les skippers du class 40 étant Jean-Christophe Caso et Aymeric Chappellier) samedi de 11 à 12 heures et à  18 heures. Il suivra également le départ de la course le dimanche.

Bio-express. Laurent Voulzy, de son vrai nom Lucien Gerville-Reache, est né le 18 décembre 1948 à Paris. Il est chanteur et compositeur. A partir de 1972 et pendant 5 ans, Laurent Voulzy sort un disque par an. Il collabore alors avec celui qui va devenir un grand ami, Laurent Souchon sur plusieurs titres comme « Allô Maman Bobo ».
Dans les années 1980, Laurent Voulzy sort « Belle-Île-en-Mer », qui le fait sortir de l’ombre. En 2001, il sort son quatrième album « Avril » qui est un gros succès. Cinq ans plus tard, l’artiste sort « La Septième Vague », certifié disque de diamant et donc « Derniers Baisers » est extraite.
En 2011, Laurent Voulzy sort dans les bacs « Lys et Love ». Sa chanson « Jeanne » remporte une victoire de la musique un an plus tard. 

Laurent Voulzy, Claude Lelouch, Flavie Flament et Amélie Mauresmo sur la Transat samedi au Havre
Le cinéaste Claude Lelouch et l’animatrice de télévision Flavie Flament seront les parrain et marraine du class40 Solidaires En Peloton (Victorien Erussard et Thibaut Vauchel-Camus) samedi à 15 heures 30.

Bio-expressClaude Lelouch est né le 30 octobre 1937 à Paris, dans le 9e arrondissement. Après des débuts dans le journalisme, il devient réalisateur, producteur, scénariste et cadreur (il cadre lui-même tous ses films). Sa filmographie compte plus de 40 films dont Un homme et une femme, Le voyou, L’Aventure c’est l’aventure, Les Uns et les Autres, Partir, revenir, Itinéraire d’un enfant gâté, Tout ça… pour ça !, Roman de gare ou plus récemment Ces amours-là.

Bio-expressFlavie Flament, Flavie Lecanu de son vrai nom, est née le 2 juillet 1974 à Valognes (Manche). Animatrice de télévision, elle a travaillé dans plusieurs chaînes de télévision (TF1, Cannal+, La Cinquième, M6… Depuis fin août 2011, elle anime sur RTL de 15 h à 16 h : « On est fait pour s’entendre », une émission interactive sur des sujets variés.
Son père, Jean-Paul Lecanu, est un ancien footballeur professionnel du Stade Malherbe de Caen (entre 1970 et 1974).

Laurent Voulzy, Claude Lelouch, Flavie Flament et Amélie Mauresmo sur la Transat samedi au Havre
La championne de tennis Amélie Mauresmo sera la marraine du class40 GDF SUEZ (Sébastien Rogues et Fabien Delahaye) samedi à 16 heures 30.

Bio-express. Amélie Mauresmo est née le 5 juillet 1979 à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) et débute le tennis alors qu’elle n’a que 4 ans. Celle qui a eu envie de tenir une raquette grâce à la victoire de Yannick Noah à Roland-Garros en 1983, deviendra championne du monde junior en 1996.
A 19 ans, elle atteint la finale de l’Open d’Australie mais est battue par Martina Hingis. L’année suivante, la joueuse entre dans le top 10 du classement mondial. En 2004, elle décroche une médaille d’argent aux JO d’Athènes, et enchaîne plusieurs victoires : les Masters de Los Angeles en 2005 et le Grand Chelem à Melbourne, en 2006.
La même année, à Wimbledon, elle bat une nouvelle fois Justine Hénin et remporte son deuxième tournoi du Grand Chelem. Numéro un pour la seconde fois en mars 2006, Amélie Mauresmo sera détrônée en fin d’année par Justine Henin, à l’issue des Masters de Madrid. 
L’année 2008 ne sera pas fameuse. Eliminée prématurément de l’Open d’Australie, il en sera de même à Roland-Garros (diminuée par des douleurs intercostales). 

« Le pousseur des quais de Rouen » n’arrête pas de sévir …sur Youtube

« Depuis plusieurs semaines, celui que les médias ont surnommé « le pousseur » sévit sur les quais de Rouen…. Le dangereux énergumène, grimé notamment d’un masque, pousse dans la Seine des passants puis s’enfuit… Un homme qui filmait la foire Saint-Romain en construction a réussi à filmer son dernier forfait… L’homme n’a pas pu être encore identifié par les forces de l’ordre. Soyez vigilants. »

Ce pourrait être le scénario d’un mauvais polar. En vérité, il s’agit de la bande annonce d’une vidéo tout aussi loufoque postée sur Youtube, depuis quelques jours. Qui en est l’auteur ?  Un passionné d’intrigues criminelles qui ont malheureusement fait la « Une » de l’actualité ces derniers mois à Rouen.

Voir la vidéo publiée sur Youtube et les commentaires

Sauf que dans le cas présent, la victime de ce pousseur mystérieux a la chance de savoir bien nager et d’être à proximité d’un escalier métallique lui permettant de remonter rapidement sur la berge tandis que son agresseur détale à toutes  jambes…

Cette vidéo, tournée volontairement par des mains fébriles (ça fait plus vrai), a déjà été visionnée 17 384 fois en quelques jours ! Et  elle fait maintenant le tour des murs de Facebook. Autant dire qu’elle n’a pas fini d’être regardée et commentée. Surtout que les sites d’information locale et régionale les plus sérieux de la place de Rouen s’en sont emparés eux aussi, histoire de faire un peu de « clics ».

Bien joué en tout cas pour l’auteur de cette vidéo.

Dans le même registre, on peut également voir une autre vidéo (peut-être le même réalisateur ?) intitulée « Un OVNI observé au dessus de Rouen ». En fait, une grosse farce de potache.

Allez, souriez vous-êtes filmé !  

Les voleurs de carburant venaient de siphonner le réservoir d’un rouleau compresseur

Deux hommes ont été interpellés en flagrant délit de vol de carburant mercredi 30 octobre vers 23 h 30. Alerté par un témoin, un équipage de la brigade anti-criminalité (BAC) s’est rendu rue du Pommeret à Petit-Couronne où deux individus avaient été aperçus en train de rôder autour d’un chantier.

Arrivés discrètement sur place, les fonctionnaires en civil ont mis en place une surveillance qui leur a permis de voir le manège des suspects. Ces derniers, ont été interpellés alors qu’ils remontaient dans leur BMW avec un bidon contenant une vingtaine de litres de carburant et une pompe manuelle.

Les deux hommes, âgés de 29 ans et de 24 ans et demeurant respectivement à Petit-Couronne et Bois-Guillaume, ont reconnu immédiatement avoir dérobé le carburant dans le réservoir d’un rouleau compresseur. Dans leur véhicule, les policiers ont retrouvé huit autres bidons de 25 litres vides.

Les mis en cause ont été placés en garde à vue.

REGIONALISME ou POPULISME TERRITORIAL?

Décidemment, le « populisme » est mis à toutes les sauces par les experts, les savants docteurs qui se penchent sur la maladie française… Mais s’en prendre au « populisme », cette saine colère du peuple contre le « système » qui ne tourne plus rond, ou varier le thème sur tous les tons, ne serait-ce pas la tentation d’un médecin qui s’en prend au thermomètre pour faire baisser la fièvre ou qui confond le symptôme avec la maladie?

Voilà qu’à l’occasion des excès d’une certaine colère bretonne bien encadrée, il faut le dire, par un lobby agro-industriel aux abois, un bel esprit nous sort un nouveau concept: le « populisme territorial »…

 

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La « réunification de la Normandie » vue par Chaunu…

 

Monsieur Davezies, militer pour l’unité normande est-ce du populisme territorial ou le meilleur moyen de l’éviter?

 

Albert CAMUS disait: « mal nommer les choses, c’est contribuer au malheur du monde ».

 

Nous ne pouvons pas accepter ici  le fait de réduire la question régionale française à une manifestation de « populisme territorial »: Laurent DAVEZIES pense que seul l’Etat central aurait l’autorité de refaire ce qu’il a pourtant laissé se défaire, avec la même autorité. Au contraire, nous pensons ici qu’une France refondée sur le principe de solidarité des territoires avec 17 ou 18 vraies régions nous permettrait de sortir de la crise de « populisme territorial » actuelle.

 

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Lire ci-après les propos de Laurent Davezies dans un entretien accordé ce 31 octobre 2013 au Monde:

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ENTRETIEN

 

Ce que la crise bretonne révèle des fractures territoriales françaises

 

L’économiste Laurent Davezies s’alarme de la montée d’un  » populisme territorial « 

LES  » TERREAUX D’ANGOISSE « , FAVORABLES AU FN

Pour l’économiste Laurent Davezies,  » il faut s’inquiéter des causes ade la progression du vote FN « .  » Le géographe Christophe Guilluy a raison quand il se préoccupe des territoires périphériques. Les territoires dont il parle, qui abritent les « petits Blancs » partis habiter à 30 kilomètres des centres-villes sont des terreaux d’angoisse. Ces électeurs, oubliés des discours politiques, sont en train de se rappeler à nous, d’autant plus qu’ils occupent les jobs les plus vulnérables.

 

Mais selon moi, c’est plutôt 20 % seulement de la population qui vit dans des territoires à la situation très difficile, et pas 60 % comme le dit Christophe Guilluy. Pour ces territoires, il faut savoir produire du discours politique. Quand il y a une offre politique de personnalités de stature nationale, comme à Meaux (Seine-et-Marne) ou en Seine-Saint-Denis, il est possible de canaliser la montée du FN. Ces territoires ont besoin d’être pris en considération « , explique le chercheur

 

Economiste et urbaniste au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), Laurent Davezies relativise la crise bretonne et s’inquiète de la montée du  » populisme territorial « .

On parle beaucoup, en ce moment, de la crise du modèle breton, mais vous pensez qu’il faut la relativiser. Pourquoi ?

Il n’y a pas un modèle breton : il y a une crise d’une partie seulement de la Bretagne. La région s’en sort mieux que beaucoup d’autres. Il y a une fracture en Bretagne entre des territoires qui marchent bien comme Rennes, Saint-Malo ou Vitré, et d’autres dans les Côtes-d’Armor ou le centre du Finistère qui souffrent.

Comment expliquez-vous alors la focalisation des dernières semaines sur la crise bretonne ?

 Cela s’explique par deux choses. La capacité de réaction des Bretons est évidente : ils ont toujours été des pilotes en pratique de mobilisation collective en faveur du développement local. Par ailleurs, ils ont toujours eu des vrais problèmes de relation avec Paris et ont toujours négocié brutalement. La Bretagne se vit comme un territoire défavorisé par son enclavement. L’écotaxe accentuait encore ce sentiment, d’autant plus qu’elle est très discutable. Pour les paysans bretons, il n’y a pas de substitution possible du transport routier avec le fer ou le fluvial, qui ne sont pas faits pour transporter rapidement les produits agroalimentaires ou industriels.

 La deuxième raison est que l’Ouest français est le trophée de la gauche moderne, humaniste et pragmatique. Il y a encore vingt ans, ces territoires étaient à droite, puis ils ont basculé. Alors que les fédérations socialistes de régions historiques de la gauche comme le Pas-de-Calais ou des Bouches-du-Rhône sont en pleine crise, les résultats étonnants obtenus par les socialistes dans les régions de l’Ouest sont symboliquement et politiquement très importants. La gauche ne peut pas perdre ces territoires, ce qui explique l’attention du gouvernement, bien plus selon moi que le prétendu lobby breton.

 Quels sont les territoires qui ont le plus pâti de la crise ?

 La France a perdu 450 000 emplois lors de la crise de 2008-2009 et n’en avait reconstitué que la moitié à fin 2012. Les territoires les plus frappés se trouvent dans un grand cercle qui prend tout le nord-est français et englobe le Centre, la Franche-Comté, la Bourgogne, la Picardie, la Haute-Normandie et même le Limousin. Seule exception dans cette zone : l’Ile-de-France.

 Le reste de la France, de l’Ouest au Sud jusqu’en Rhône-Alpes, a connu une situation nettement moins tendue, certaines zones ont même gagné des emplois. Les grandes villes, comme Lyon, Nantes, Bordeaux ou Toulouse, ont mieux résisté que toutes les zones urbaines au nord d’une ligne entre Cherbourg et Genève. Cette résistance s’explique pour deux raisons. Ces territoires continuent à attirer et une démographie positive crée mécaniquement de l’emploi. Ils sont aussi bien meilleurs dans les activités comme l’informatique ou les services supérieurs.

 Quelles fractures territoriales ont été révélées par la crise ?

 Contrairement à une idée répandue, il faut rappeler que les inégalités territoriales n’avaient pas cessé de décroître entre les années 1960 à 2000. Or, la crise vient rompre cette tendance : il se crée une nouvelle fracture territoriale et c’est plutôt inquiétant. Inquiétude légitime, mais follement alimentée par les médias qui soufflent sur les braises.

 Or cette exagération conduit à une double tendance. Un populisme territorial infondé est en train de monter. La France profonde s’estime lésée par rapport aux métropoles et les rivalités inter-territoriales s’expriment de plus en plus ouvertement, notamment dans cet épisode breton. Tout cela est un déni de réalité : notre système territorial est fondé sur la solidarité. Beaucoup de territoires n’existeraient plus s’il n’y avait pas de solidarité nationale. Les métropoles, et l’Ile-de-France en premier, font fonctionner le reste du territoire depuis vingt ans au travers de transferts fiscaux et sociaux massifs.

 Quelles sont les marges de manoeuvre du pouvoir pour corriger ces fractures ?

 La politique, c’est d’abord des mots, du sens. Il faut expliquer que l’Ile-de-France et les métropoles génèrent beaucoup plus de prélèvements qu’elles ne reçoivent de prestations publiques et sociales. La concentration des centres de production est efficace pour l’économie et finance notre pacte social. Nos territoires ne sont pas des petites nations en compétition, ils sont totalement complémentaires.

 Sur le reste, les actes, il est nécessaire de libérer la mobilité résidentielle, en supprimant des freins comme les droits de mutation, les modalités d’attribution des HLM et les difficultés d’accès au logement dans les espaces dynamiques. Le mode de financement du logement doit être revu, l’Etat doit cesser de financer le logement dans les territoires qui mettent leurs habitants en difficulté pour mettre le  » paquet  » sur ceux qui leur offre un avenir. Idem sur la mobilité pour la formation des jeunes. Ce qui suppose d’avoir le courage politique de dire que certains territoires sont mal partis et d’autres beaucoup mieux.

 

Propos recueillis par Jean-Baptiste Chastand

 

 © Le Monde

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Commentaire de Florestan:

 

On partagera totalement le constat et le diagnostic mais le docteur Davezies est un peu court sur la médecine prescrite pour nous sortir de notre langueur territoriale:

 

Les métropoles sont des locomotives. Très bien mais s’il n’ y a pas de trains derrière, à savoir de vraies régions assises sur de vrais territoires avec des vraies compétences et de vraies finances, alors, à quoi bon?

 

La métropolisation sans la région c’est la certitude de reproduire à l’échelle locale (et c’est déjà en partie réalisé) ce que l’on reproche à PARIS à l’échelle nationale: des petits PARIS de province sans provinces justement qui vont accentuer les compétitions inter-territoriales. En outre, la solution de compétitivité des territoires qui est proposée par Davezies, à mots couverts, risque d’être un remède pire que le mal..

 

Nous souhaitons ici que soit enfin expérimentée en France la solution d’un

 

REGIONALISME REPUBLICAIN FRANCAIS

 

fondé non pas sur une métropolisation compétitive,

 

mais sur la coopération et la solidarité des territoires autour du couple:

 

REGION  +  METROPOLES

 

(en réseau)

 

On retrouve donc, une fois de plus, le cas d’école normand: la Normandie région riche de ses différences complémentaires (arrêtons la géographie du « zonage » spécifique ou typique car les territoires ne sont ni des zones et encore moins des « espaces » de ceci ou de cela…) et riche de la densité de son réseau urbain, entre ville et campagne, terre et mer, entre Paris et Province (justement !) pourrait être le LABORATOIRE français d’une nouvelle politique de….

 

DATAR

 

(Décentralisation Aménagement du Territoire Action Régionale)

 

Autrement dit, nous défendons ici un GIRONDINISME pour notre temps et l’avenir de la France dont le présent est abîmé par la double faillite d’un jacobinisme centralisateur et d’une décentralisation qui n’en est pas une et qui sombre dans le laisser-faire d’un grand n’importe quoi des collectivités et des politiques publiques sur fond d’idéologie libérale de concurrence et de compétitivité (on ose même parler de « coopétition »: un mot qu’on dirait tout droit sorti d’un roman d’Orwell…)

Prochainement, l’Etoile de Normandie reviendra sur ce qui aurait pu être une France des régions si la réforme proposée en 1969 par le Général de Gaulle avait été engagée…

 

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24 avril 1969: échec du référendum sur la « régionalisation »…

Les Français sont des veaux qui répondent non pas à la question posée mais à celui qui la pose !

 

 

 

 

 

Son véhicule est percuté par un camion frigorifique : le conducteur est blessé

FECAMP (Seine-Maritime) – Un automobiliste a été blessé après que son véhicule, une Ford Kuga, a été percuté à l’arrière par un camion frigorifique transportant de la viande. L’accident s’e’st produit ce jeudi matin vers 10 heures, avenue Gambetta à Fécamp. A hauteur du magasin Sorgho, le Ford Kuga s’est arrêté pour laisser passer un piéton lorsqu’il a été heurté violemment par un camion Mercedes qui le suivait.

Souffrant de douleurs au dos, le conducteur du véhicule tamponné, âgé de 37 ans et domicilié à Fécamp, a été conduit à l’hôpital de Fécamp. Le conducteur du camion frigorifique, âgé de 40 ans et demeurant à Maniquerville, une commune des environs, s’en est sorti sans une égratignure.

La circulation a été perturbée avenue Gambetta pendant près d’une heure.

Ce sont les policiers de Fécamp qui ont procédé aux constatations d’usage.

Le président de la Région Haute-Normandie n’est plus au cabinet de Fabius…

Le président de la Région Haute-Normandie n'est plus au cabinet de Fabius...
Nicolas Mayer-Rossignol, qui a succédé le 14 octobre dernier à Alain Le Vern à la présidence de la Région Haute-Normandie, n’est plus membre du cabinet de Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères. Un arrêté mettant fin à ses fonctions, signé de Laurent Fabius, a été publié au Journal Officiel mercredi 30 octobre.

Nicolas Mayer-Rossignol a travaillé au Quai d’Orsay de mai 2012 au 28 octobre 2013. Il était conseiller de son ami politique Laurent Fabius, ministre des Affaires Etrangères. « Je m’occupais d’Aide aux Pays en Développement, de Santé et d’Affaires économiques internationales. Travailler aux cotés d’un Homme d’Etat était une expérience formidable et l’une des plus grandes chances de ma vie professionnelle », se félicite le successeur d’Alain Levern.

Le président de la Région Haute-Normandie n'est plus au cabinet de Fabius...

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