Jour : 27 février 2014

SEINE-MARITIME – Un grave accident de la route s’est produit mercredi 26 février dans l’après-midi sur le CD126 à Monchy-sur-Eu, dans le canton de Eu. Un jeune homme de 19 ans, originaire d’Etalondes, qui rentrait de son travail au volant de sa Peugeot 306 a, pour une cause indéterminée, perdu le contrôle de sa direction. Le véhicule a quitté la chaussée et a terminé sa course dans un ravin.

Grièvement blessé, le conducteur a été secouru par les sapeurs-pompiers et lle médecin du Smur. Compte tenu de son état, les secours ont demandé l’intervention de l’hélicoptère de la sécurité civile, Dragon 76, pour assurer le transport vers le CHU de Rouen de la victime dont le pronostic vital était engagé.

Le CD126 a été coupé dans les deux sens pendant plusieurs heures.

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie afin d’établir les circonstances de l’accident.

SEINE-MARITIME – La rue des Andelys (D138) qui traverse la commune de Boos, a été totalement fermée à la circulation ce jeudi 27 février vers 17 heures. Cette mesure de sécurité a été prise par la gendarmerie à la suite d’une fuite de gaz sur une canalisation provoqué par un engin de chantier. Les techniciens de GDF ont rapidement localisé et colmaté la fuite. Il n’y a pas eu d’évacuation et la route a pu être rouverte à la circulation au bout d’une demi heure. 

Quatre mois que le Service régional de police judiciaire de Normandie travaillait d’arrache-pied sur cette troublante affaire : le meurtre du Dr Fabre, un médecin psychiatre retrouvé mort le 17 octobre dernier à Rouen. Le praticien a été tué de plusieurs coups de couteau dans le hall d’entrée de l’immeuble qui abritait son cabinet, rue Beffroi. Un meurtre inexplicable tant la victime, selon ses proches, ne se connaissait pas d’ennemi.

En l’absence de témoins et d’éléments probants recueillis sur la scène de crime, les enquêteurs ont ouvert toutes les hypothèses. Toutes les pistes ont été examinées les unes après les autres. Certaines ont été abandonnées. Les enquêteurs ont passé au crible l’ensemble des fiches des patients du Dr Fabre, anciens et nouveaux. Un véritable travail de fourmi qui a fini par payer.

Son téléphone localisé à Rouen le jour du crime

Les hommes du commissaire divisionnaire Philippe Ménard, patron du SRPJ, sont arrivés ainsi à s’intéresser à un ancien médecin généraliste qui connaissait le Dr Fabre pour avoir été son client dans les années 1990. Cet homme, né en 1964 dans la région de Louviers (Eure), a fait ses études de médecine à Rouen. Il aurait exercé quelque temps à Rouen, avant d’aller s’installer en Bretagne, dans un gros bourg de 2600 habitants de l’Ile-et-Vilaine. C’est d’ailleurs que là, à son domicile, que le suspect a été interpellé mardi matin, avant d’être ramené à Rouen pour être placé en garde à vue.

Au cours de leurs investigations, les enquêteurs ont découvert que cet ancien médecin était en Seine-Maritime le jour du crime. Son téléphone portable a déclenché plusieurs réémetteurs dans l’agglomération de Rouen. Et il aurait été localisé dans le centre-ville. Les policiers ont également établi qu’il avait passé la nuit du mercredi 16 au jeudi 17 octobre 2013, dans une chambre d’hôtel à Rouen. Et qu’il aurait appelé le Dr Fabre depuis une cabine téléphonique le matin du crime.

Mis en examen pour assassinat

Tous ces éléments mis bout à bout ont fini par convaincre les enquêteurs qu’ils tenaient un témoin capital. « D’autres investigations, à partir de l’utilisation de technologies modernes nous ont permis de croiser nos informations », souligne Jean-Claude Belot, procureur de la République adjoint.

Toujours est-il que le suspect a été longuement auditionné depuis son arrestation.  « Il ne dit pas grand chose, voire rien sur les faits qui lui sont reprochés. Il dit ne pas comprendre pourquoi il a été placé en garde à vue, car selon lui il n’a rien fait. Il a même déclaré au début de son interrogatoire qu’il ne connaissait pas le Dr Fabre », relate le magistrat. 

Il encourt la réclusion à perpétuité

Déféré au palais de justice de Rouen ce jeudi en début d’après-midi, l’auteur présumé du meurtre du psychiatre rouennais a été mis en examen pour assassinat. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le juge des libertés et de la détention (JLD) a suivi les réquisitions du procureur de la République qui a demandé son placement en détention provisoire.

Jean-Claude Bellot se veut prudent néanmoins dans cette affaire : « nous n’avons que des éléments qui convergent vers lui, mais aucune preuve matérielle… »

SEINE-MARITIME – Sale affaire pour la femme d’un notable rouennais. Cette dernière a dû déposer plainte contre X pour chantage et extorsion de fonds. L’auteur présumé de ces faits est actuellement en garde à vue, ce jeudi 27 février, à l’hôtel de police de Rouen où il est entendu par les enquêteurs de la Sûreté départementale (SD).

Les investigations ont en effet permis de le confondre grâce à l’exploitation de ses appels téléphoniques, dont ceux échangés avec la victime. L’individu aurait réclamé à la dame avec laquelle il a passé une nuit, une somme de 3 500 euros en échange de la restitution de deux montres lui appartenant, une de la marque Boucheron et une imitation de la marque Rolex. Plus ennuyeux, il l’aurait menacée de transmettre des « photos compromettantes » d’elle à son mari, un homme d’affaires réputé dans l’immobilier.

Au cours de son audition, le mis en cause a reconnu la tentative de chantage mais il aurait nié avoir volé les deux montres. La perquisition effectuée à son domicile n’a pas permis de retrouver ni les montres en question ni de photos compromettantes…

SEINE-MARITIME – Sale affaire pour la femme d’un notable rouennais. Cette dernière a dû déposer plainte contre X pour chantage et extorsion de fonds. L’auteur présumé de ces faits est actuellement en garde à vue, ce jeudi 27 février, à l’hôtel de police de Rouen où il est entendu par les enquêteurs de la Sûreté départementale (SD).

Les investigations ont en effet permis de le confondre grâce à l’exploitation de ses appels téléphoniques, dont ceux échangés avec la victime. L’individu aurait réclamé à la dame avec laquelle il a passé une nuit, une somme de 3 500 euros en échange de la restitution de deux montres lui appartenant, une de la marque Boucheron et une imitation de la marque Rolex. Plus ennuyeux, il l’aurait menacée de transmettre des « photos compromettantes » d’elle à son mari, un homme d’affaires réputé dans l’immobilier.

Au cours de son audition, le mis en cause a reconnu la tentative de chantage mais il aurait nié avoir volé les deux montres. La perquisition effectuée à son domicile n’a pas permis de retrouver ni les montres en question ni de photos compromettantes…

SEINE-MARITIME – Un homme de 28 ans domicilié à Maromme, dans la banlieue de Rouen, a été placé en garde à vue pour avoir, entre le 2 août et le 21 octobre dernier, appelé à 1867 reprises son ex-amie. L’amoureux éconduit, un agent commercial qui demeure avenue de la Résistance à Maromme, ne supportait pas cette rupture et de savoir que son « ex » avait retrouvé un nouveau compagnon. Alors, il a voulu se venger pensant peut-être qu’elle reviendrait. Que nenni.

La jeune femme, elle aussi commerciale et originaire de Déville-lès-Rouen, a déposé une plainte le 22 octobre 2013 auprès des services de police. L’enquête a ainsi permis d’identifier le numéro de téléphone et de localiser son propriétaire. Il a été interpellé ces derniers jours. D’après nos informations, l’homme n’aurait jamais proféré directement de menaces, se contentant d’insultes à l’égard de son ex-amie.

La victime et son nouvel ami ont par ailleurs signalé à la police que les pneus de leur voiture respective on été crevés à plusieurs reprises durant cette même période. L’amoureux éconduit a toutefois farouchement nié en être l’auteur, lors de sa garde à vue. En attendant, il a fait l’objet d’une composition pénale pour le 2 avril prochain.

SEINE-MARITIME – Un homme de 28 ans domicilié à Maromme, dans la banlieue de Rouen, a été placé en garde à vue pour avoir, entre le 2 août et le 21 octobre dernier, appelé à 1867 reprises sont ex-amie. L’amoureux éconduit, un agent commercial qui demeure avenue de la Résistance à Maromme, ne supportait pas cette rupture et de savoir que son « ex » avait retrouvé un nouveau compagnon. Alors, il a voulu se venger pensant peut-être qu’elle reviendrait. Que nenni.

La jeune femme, elle aussi commerciale et originaire de Déville-lès-Rouen, a déposé une plainte le 22 octobre 2013 auprès des services de police. L’enquête a ainsi permis d’identifier le numéro de téléphone et de localiser son propriétaire. Il a été interpellé ces derniers jours. D’après nos informations, l’homme n’aurait jamais proféré directement de menaces, se contentant d’insultes à l’égard de son ex-amie.

La victime et son nouvel ami ont par ailleurs signalé à la police que les pneus de leur voiture respective on été crevés à plusieurs reprises durant cette même période. L’amoureux éconduit a toutefois farouchement nié en être l’auteur, lors de sa garde à vue. En attendant, il a fait l’objet d’une composition pénale pour le 2 avril prochain.