Auteur/autrice : Développement durable

Pour la première fois, l’Arehn a participé à Parking Day, à Rouen, samedi 22
septembre 2012. 
Cet événement convivial consiste à occuper une place de parking payant en
ville. Mais, au lieu d’y garer sa voiture en mal de stationnement, on l’utilise
pour en faire un espace convivial, de partage d’idées et de valeurs.
Coordonné par Rebecca Armstrong et son équipe, Parking Day 2012 à Rouen a
également bénéficié de plus de 5 heures d’émission sur Radio HDR.
Au programme de notre place : faire soi-même ses produits ménagers, distribution de bombes à
graines (pas pour les oiseaux, mais pour participer au guerilla
gardening !) et, surtout, échanger ses idées sur le thème de l’année :
réinventer la ville.

La ville de Rouen anime et soutient un réseau de pédibus dans le cadre de
son Agenda 21.
Rencontre avec ceux qui rendent possible cette action de mobilité
durable.
Vidéo tourné fin octobre 2011.

En novembre, nous sommes allés au Havre filmer une opération exemplaire : la
Transat Jacques Vabre.
Depuis plusieurs années, les organisateurs de cette course mettent en place des
actions visant à réduire l’impact environnemental de la manifestation.
Nous vous présentons dans cette vidéo un tour d’horizon de ce qu’il est convenu
d’appeler un écoévènement.

Dans le cadre du colloque Bougeons autrement pour une mobilité durable, nous avons
réalisé ce reportage nous présentant les démarches de mobilité durable sur la
zone d’activités de la Vatine, à Mont-Saint-Aignan. Cité comme un exemple
national par l’Ademe, le plan de déplacements inter-entreprises est non
seulement un moyen de réorganiser et faciliter la mobilité, mais c’est aussi
une opportunité pour augmenter l’attractivité d’une zone d’activité déjà
réputée.

En ce dernier jour de la semaine européenne de la mobilité, nous vous proposons
un micro-trottoir sur ce thème.
Il a été tourné à Rouen le 16 septembre dernier, premier jour de la semaine de
la mobilité…

La compensation carbone consiste à financer un projet de réduction de gaz à
effet de serre en contrepartie de ses propres émissions.
Il s’agit d’un mécanisme international de marché carbone défini dans le
Protocole de Kyoto.
Ainsi, compenser carbone revient à financer, par exemple, un projet de fours
solaires en Bolivie ou encore des réservoirs de biogaz en Inde.
Souvent lointains, ces projets de compensation sont gérés par des ONG comme
actioncarbone, par
exemple.
Toutefois, avec de la détermination, il est également possible de procéder à
une compensation carbone « locale ». C’est ce qu’a choisi Air Normand pour compenser
les émissions exceptionnelles dues à l’organisation, à Rouen, de l’assemblée
générale du réseau Atmo.
Direction Saint-Laurent-de-Brévedent pour découvrir cette initiative
originale.

Depuis longtemps, je souhaitais rencontrer Christophe Picard pour qu’il me
parle de la Plateforme Technologique de Fécamp.
Située au sein du Lycée Maupassant, cette structure a pour mission de renforcer
les compétences locales en matière d’énergies renouvelables.
Ainsi, la plateforme technologique de Fécamp met en oeuvre les travaux de
recherches universitaires, forme les professionnels et communique avec les
acteurs du territoire souhaitant créer de l’activité et des emplois
durables.

Mettre de la biodiversité dans l’entreprise semble parfois difficile, voire
hors sujet. Pour contrer cette idée reçue, nous avons rencontré le Club CPN La Sitelle, de
Saint-Laurent-de-Brèvedent, par un beau samedi d’avril.
Cette structure propose aux entreprises de réaliser des aménagements – made
in CPN – en faveur de la biodiversité. Non seulement les bénéfices pour la
faune et la flore sont palpables, mais le Club participe surtout à un projet
social fort : éduquer à la nature et créer du lien.

Depuis plusieurs années, une réflexion a été lancée pour réfléchir à une
meilleure gestion des sites patrimoniaux, à la fois plus respectueuse, moins
invasive et plus constructive…
Pour nous donner des éléments de réflexion sur cette thématiques, nous avons
visité trois sites représentatifs de Haute-Normandie : l’Arboretum d’Harcourt,
le château d’Arques-la-Bataille et le site archéologique de Gisacum, au
Vieil-Evreux.

En ces jours de printemps, la nature se réactive et tente de se refaire une
place, y compris en ville.
Les tontes, désherbages et luttes chimiques vont donc reprendre de plus belle,
au détriment de la faune et de la flore. Pour sortir du « faire propre » qui
domine notre système de gestion de la nature en ville, nous vous proposons 4
exemples de pistes d’actions mis en place dans des communes de
Haute-Normandie.

C’est quoi un pédibus ? Pour répondre à cette question, nous
sommes allés dans la première commune à s’être lancée dans cette démarche en
Haute-Normandie : la Bonneville-sur-Iton, dans l’Eure.

Pour bien commencer l’année 2011, nous publions aujourd’hui notre reportage
coup de coeur… de 2010 !
Tournée à l’occasion du colloque Soyons Très Nature, cette vidéo présente une partie des
activités du Chemin du Halage. Cette structure souhaite,entre autre, faire
reconnaître la force animale comme énergie durable, promouvoir des techniques
alternatives, restaurer les paysages par l’animal ou encore créer une activité
économique durable.
Pour nous parler des projets en cours et à venir, nous avons rencontré Solveig
Rassat, coordinatrice de cette structure atypique et enthousiasmante.

En Haute-Normandie, les carrières sont nombreuses et ont un fort impact
environnemental.
Dans notre région, elles servent à alimenter les entreprises du bâtiment en
matériaux de construction par l’exploitation des granulats présents dans les
lits des fleuves et des rivières. Pour limiter les atteintes à l’environnement,
les carriers sont soumis à une règlementation, mais ils mettent également en
place des actions volontaires.
Pour le blog, nous sommes allés sur un site d’exploitation à Gaillon (Eure) où
le concessionnaire a développé un protocole de sauvegarde des formations
naturelles.

Dans le but de lancer les débats du colloque Soyons Très
Nature, organisé par l’Arehn et ses partenaires le 17 novembre dernier,
nous avons réalisé un micro-trottoir sur la biodiversité. Nous l’avons
subtilement baptisé micro-parc, tout simplement parce qu’il a été, en
grande partie, réalisé au Jardin des Plantes de Rouen. En allant sur ce lieu
symbolique, nous pensions que les personnes le fréquentant étaient un peu plus
sensibilisées que les autres sur la thématique nature/environnement. Tout porte
à croire que nous avons eu tort…

Installer des centaines de vers dans son douillet appartement a de quoi
rebuter…
Pourtant, c’est un moyen idéal pour transformer une fraction non négligeable de
ses déchets de cuisine en compost.
Pour en savoir plus sur le vermicompostage (ou lombricompostage), nous avons
rencontré un utilisateur confirmé qui évoque sans langue de bois tout ce qu’il
faut savoir sur cette technique.
Nous vous recommandons également de lire le
très bon dossier sur ce thème élaboré par les documentalistes de
l’Arehn.

L’adage populaire est bien connu : « Si les plantes sont infestées
de pucerons, il faut y mettre des coccinelles ». Même si ce sont les
larves les principales prédatrices de pucerons, il faut bien reconnaître que
les coccinelles sont redoutablement efficaces pour endiguer ce type de
parasites.
Pourtant, par facilité, les particuliers et les collectivités préfèrent l’usage
d’insecticides de synthèse, efficaces immédiatement, mais polluants et
potentiellement dangereux.
Mais les temps changent et certaines communes préfèrent désormais la lutte
biologique aux « produits ».
Direction Grand-Quevilly, dans la banlieue sud de Rouen, pour mieux comprendre
en quoi consiste une « Opération Coccinelles ».

Ce reportage vidéo a été réalisé pour illustrer l’excellent dossier des documentalistes de l’Arehn sur les
coccinelles.

Pour le blog, nous nous sommes rendus à Octeville-sur-Mer en Seine-Maritime,
situé à quelques encablures du Havre, pour rencontrer Patricia Lerouge,
directrice d’Aquacaux. Créée au début des années 80, cette association
d’insertion a également une vocation environnementale et économique. Oui, vous
avez bien lu, Aquacaux (dont le site est ouvert au public) s’appuie au
quotidien sur les 3 piliers du Développement durable ! Accrochée à la falaise,
les pieds dans l’eau, l’association octevillaise recèle de nombreux et beaux
projets de développement durable…  A babord toute, cap sur
Octeville-sur-mer !

En cette année internationale de la biodiversité, le Blog ddhn vous propose
une série de reportages sur cette thématique. Pour commencer, nous sommes allés
à la Maison du Parc
Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande pour apprendre à
construire un hôtel à insectes. L’objectif de ce travail manuel : aider la
nature à retrouver une place dans notre environnement.

Rencontre « piquante » avec Michèle Lesage, organisatrice du Festival
Orties Folies de la Haye-de-Routot en Normandie, un évènement haut en
couleurs qui rassemble de nombreux fidèles et passionnés de jardins et de
verdure.

Loin des salles feutrées remplies d’un public réceptif et acquis à la cause
du développement durable, William Paesen préfère le terrain – miné – des centres
commerciaux. On peut se demander ce qui pousse ce belge de 37 ans à affronter
un public dense, bruyant et, a priori, peu concerné par le
développement durable.
Pour en savoir plus sur cette démarche, nous l’avons rencontré durant Les
Rencontres du Développement Durable, un événement organisé dans un centre
commercial du 15 au 27 mars 2010.

Vous les avez sans doute déjà suivis au moins une fois, il s’agit des
« Rendez-vous du CAUE 76 ». Gratuites et ouvertes à tous, ces conférences et
visites mettent à l’honneur des spécialistes de l’architecture et du paysage.
Pour le blog, nous avons suivi le 24 février dernier, la visite du chantier du
quartier Bapeaume. Un projet de renouvellement urbain qui offre un nouveau
visage à cette petite commune de Canteleu.

Lorsque l’on ne sait pas comment qualifier un objet, on parle de
machin-chose, de truc, de bidule. Des termes bien
péjoratifs pour des objets qui peuvent aussi devenir artistiques, ludiques et
hauts en couleurs ! Pour le Blog DdHn, nous avons rencontré les Bidulistes de Fécamp, des artistes aux mains
vertes qui redonnent vie à des objets jetés et oubliés. Les couleurs, les
formes et les textures des objets sont autant de sources d’inspiration pour ces
artistes écologiquement responsables. Une visite surprenante, en compagnie de
Sarah Vandermeersch, au coeur d’une ancienne boucane fécampoise convertie en
ressourcerie, aujourd’hui ouverte au public.

Le Développement durable au coeur de l’Université, ça vous parle ? L’Agenda
21 de l’Université du Havre, vous connaissez ?
Pour en savoir plus sur la gestion écologique du campus, la politique sociale,
l’enseignement et la recherche, la stratégie et le management de l’Université,
nous avons rencontré Alban Bourcier, Vice-Président « Infrastructures et
Systèmes d’information » en charge du Pôle Agenda 21 de l’Etablissement.

Un petit plongeon, ça vous dit ? 

Après le micro trottoir, voici le micro bus ! Le principe est simple, les
gens ne sont plus sondés sur le trottoir mais dans le bus. Le bus retour du
voyage d’étude sur la maîtrise de l’énergie organisé le 10 juin dernier par
l’AREHN. Un tour de parole plein de… rebondissements !

En juin dernier, l’AREHN organisait son premier « Educ’Tour », une sortie à
but pédagogique sur le thème de la maîtrise de l’énergie. Destinée
principalement aux élus, cette sortie organisée en partenariat avec le CAUE de
la Somme, avait pour but de rencontrer des acteurs du Développement durable.
Vecteur d’échanges, cette petite expédition aux portes de la Picardie nous a
permis de rencontrer des élus et des porteurs de projets convaincus et
convaincants, pionniers aussi, qui aujourd’hui ont suffisamment de recul sur
leur expérience pour en parler. Un voyage riche…

Outre son caractère esthétique, le mur végétalisé offre aujourd’hui une
véritable solution écologique.
Dépolluant, il permet également d’isoler les bâtiments du froid, des grandes
chaleurs estivales et du bruit. Grâce à cet astucieux système vertical, la
végétation reprend ses droits dans des villes de plus en plus
denses.
En France, la superficie de murs végétalisés est encore très mince alors que le
concept fait ses preuves chez plusieurs de nos voisins.
Pour en savoir plus sur le sujet, nous avons rencontré Pascal Peleszezak, un
inventeur passionné à l’origine de la société Canevaflor.

Lorsque l’on parle d’éoliennes, on visualise généralement les imposantes
machines à trois pâles qui se multiplient dans nos campagnes. Moins connues,
les éoliennes à axe vertical forment une alternative intéressante en matière
d’intégration aux bâtiments, aussi bien individuels que collectifs. Rencontre
avec Patrick Leroy, concepteur d’éoliennes à axe vertical et entrepreneur
haut-normand.

Pour améliorer un peu plus le concept de la Petite-Reine,
Bruno Croquette, ingénieur chez RenouveLab, met au point un système de recharge solaire.
Cette innovation nous montre… qu’il est possible d’avoir de la suite dans les
mollets.

Notre imaginaire l’associe souvent à la Norvège, à l’Ecosse, à l’Alaska et
pourtant, le saumon vivait autrefois dans nos rivières haut-normandes.
Difficile d’imaginer qu’il y a une cinquantaine d’années, la Seine frétillait
de poissons comme le saumon. Difficile aussi d’admettre que de nombreuses
espèces ont disparu depuis, à cause de nos pollutions et de nos aménagements
hydrauliques…
Mais la nature semble reprendre le dessus. Le 5 octobre dernier, de jeunes
saumons ont été pêchés dans l’Andelle (rivière de l’Eure) par l’ONEMA. Plus qu’une présence, il
s’agit bel et bien d’une reproduction.
Ces tacons présagent-ils le retour d’espèces disparues depuis plus de
50 ans ? Nos rivières ont-elles des chances de renaître ? Rencontre
avec Christophe GOUJON, technicien rivière du Syndicat intercommunal de bassin
de l’Andelle.