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La brigade anti-criminalité (Bac) a interpellé cette nuit de jeudi  vendredi, peu avant 4 heures, un homme qui s’était introduit dans une habitation rue Maurice Ravel, à Guyancourt (Yvelines). L’individu a brisé la vitre d’une fenêtre dégradant par la même occasion les décorations de Noël, pour pénétrer à l’intérieur du pavillon. Il a finalement été mis en fuite par les locataires réveillés par le vacarme.

Alerté immédiatement, une patrouille de police a rapidement retrouvé l’auteur qui a été interpellé difficilement. En état d’ivresse (le dépistage a révélé un taux d’alcool de 1,72 g par litre de sang), l’homme, âgé de 26 ans et domicilié à Meudon (Hauts de Seine) s’est rebellé et les gardiens de la paix ont dû le menotter pour le ramener au commissariat.

Il a été placé en garde à vue pour dégradations volontaires de biens privés et rébellion.

Deux cambriolages ont été constatés dans des résidences principales de Tostes (Eure),entre hier mercredi et aujourd’hui jeudi. Le premier a été signalé à la gendarmerie de Pont-de-l’Arche hier soir vers 22 heures. A leur retour, les propriétaires ont en effet découvert qu’un volet roulant d’une fenêtre était fracturé et que des consoles de jeux et des vêtements avaient été dérobés. 

S’agit-il des mêmes auteurs ? Toujours est-il qu’un autre habitant de Tostes a déposé plainte ce jeudi en fin de matinée pour le vol, dans sa demeure, d’appareils multimédia et de bijoux. Le ou les cambrioleurs ont fait irruption dans le pavillon après avoir brisé la vitre d’une fenête du salon. Selon la victime, ils ont fouillé entièrement toutes les pièces avant de prendre la fuite.

Le technicien d’identification criminelle de proximité est allé sur place afin de procéder à des relevés de traces et d’indices.

Les conseils à suivre

La gendarmerie rappelle une fois de plus qu’il suffit de prendre quelques mesures toute simples pour dissuader les cambrioleurs : laisser une lumière allumée, bien vérifier que toutes les portes et fenêtre, mais également les volets, sont bien verrouillés. Dans certains cas, il n’est pas inutile de prévenir ses voisins en cas d’absence prolongée ou non. 

Enfin, les gendarmes demandent à toute personne qui remarquerait la présence d’individus ou de véhicule suspects autour d’habitations de ne pas hésiter à appeler le 17. L’intervention rapide d’une patrouille peut permettre d’interpeller les auteurs d’un vol par effraction.

Acte isolé ? La mairie de La Chapelle-Réanville, dans le canton de Vernon nord (Eure) a reçu la visite d’un ou plusieurs cambrioleurs.

Les faits ont été commis entre mardi après la fermeture de la mairie et hier mercredi à l’ouverture. Les gendarmes de la brigade de Gaillon qui sont chargés de l’enquête ont constaté que la porte en bois menant à la cave a été fracturée et que les bureaux de la mairie ont été fouillés. Une petite somme en numéraires dont le montant n’a pas été communiqué a disparu.

Le technicien d’identification criminelle de proximité est venu sur place pour relever d’éventuelles traces d’empreintes et des indices qui pourraient être utiles à l’enquête et permettre d’identifier le ou les auteurs.

Deux cambrioleurs de mairies en prison

Ce cambriolage n’est pas sans rappeler la série de vols par effraction (une centaine) dont ont été victimes d’autres mairies du département de l’Eure, mais aussi de l’Orne, ces dernières semaines.

Deux cambrioleurs, originaires d’Ivry-la-Bataille, ont été interpellés récemment et condamnés par le tribunal correctionnel d’Alençon, à des peines de prison ferme (3 ans pour l’un, récidiviste, et 3 ans dont deux avec sursis pour l’autre). Il leur était reproché 14 cambriolages de mairies et de bureaux de poste, commis au cours de deux nuits successives, dans l’Orne.

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Deux automobilistes ont été blessés dans un face-à-face qui s’est produit hier mercredi vers 18 heures sur le CD 83 à Houlbec-prés-le-Gros-Theil, dans le canton d’Amfreville-la-Campagne (Eure).

En se déportant sur la gauche, un véhicule en a percuté un autre qui arrivait en sens inverse. Le choc a été violent. Les sapeurs-pompiers ont dû procéder à la désincarcération de l’un des conducteurs coincés dans l’habitacle de sa voiture. Blessé à l’abdomen, ce dernier a reçu des soins sur place par le médecin du Smur, avant d’être transporté au CHU de Rouen par une ambulance des pompiers. 

L’autre conducteur a été hospitalisé à Elbeuf pour des examens de contrôle.

La route a été coupée et déviée le temps de l’intervention. Ce sont les gendarmes de la communauté de brigades du Neubourg, épaulés par ceux de Bourgtheroulde, qui ont été chargés des constatations. 

Un accident de la circulation a fait deux blessés dont un grave hier mercredi 24 décembre peu après 16 heures, à Notre-Dame-du-Hamel (Eure).

Deux véhicules circulant sur le CD 819 se sont percutés au lieudit la messangère, dans des circonstances qui restent à déterminer plus précisément. D’après les premières constatations, une Renault Clio circulant en direction de Montreuil-l’Argilé, s’est déportée légèrement sur la gauche au moment où survenait en sens inverse une Audi.

Le conducteur de cette dernière, surpris, tente une manoeuvre pour éviter l’accident mais perd le contrôle de son véhicule qui percute finalement l’avant gauche de la Renault. Sous le choc, l’audi glisse ensuite sur la chaussée et termine sa course quelques dizaines de mètres plus loin sur le flanc droit avant de s »immobiliser sur la berne.

Blessé grièvement à la tête

Le conducteur de la Clio, un homme de 78 ans domicilié à Les Après à Appenai-sous-Bellême, dans le département voisin de l’Orne, a été grièvement blessé au niveau de la tête. Il a été transporté à l’hôpital de l’Aigle par les sapeurs-pompiers. Son épouse, âgée de 72 ans, a été quant à elle lègrement blessée. Elle a été admise à l’hôpital de l’Aigle pour des examens de contrôle.

Le conducteur de l’Audi, âgé de 27 ans, et demeurant à Saint-Ouen-sur-Iton (Orne), est sorti indemne de l’accident.

La route a été coupée le temps de l’intervention des secours et une déviation a été mise en place par la gendarmerie jusqu’aux environs de 19 heures.

L’enquête a été confiée à la gendarmerie de Bernay.  

Une femme de 35 ans était toujours en garde à vue ce jeudi 25 novembre à l’hôtel de police de Rouen. Elle est entendue dans le cadre d’une enquête ouverte pour blessures volontaires avec arme blanche…en l’espèce, un couteau à huîtres.

Les faits qui sont reprochés à cette habitante de la Grand-Mare, sur les Hauts de Rouen, se sont déroulés au cours de la nuit du réveillon, vers 2 heures du matin. Des membres de deux familles habitant au même étage en sont venus aux mains au cours du réveillon pour des raisons encore un peu floues.

Toujours est-il qu’une femme est sortie sur le palier munie d’un couteau à huîtres et en a asséné un coup à un jeune voisin de 25 ans. Ce dernier a été légèrement blessé : une estafilade au niveau du thorax, qui a toutefois nécessité son transport au CHU de Rouen pour quelques soins.

Au cours de la dispute, les protagonistes, tous bien alcoolisés, auraient fait usage de gaz lacrymogène. 

L’agresseuse a été interpellée par les policiers pour être auditionnée. L’enquête a été confiée à la permanence judiciaire. Selon les premiers éléments, les uns reprochaient aux autres d’être trop bruyants.