Mardi 1er mars, j’ai lu avec grand plaisir l’article de notre député Christophe Bouillon consacré à notre candidature en duo avec Nelly El Harradi pour les prochaines élections cantonales des 20 et 27 mars prochain.
J’y ai retrouvé les mots de réconfort d’un élu avec qui je partage des valeurs, des combats et un idéal commun et avec qui j’ai plaisir à travailler au quotidien, pour construire l’avenir du canton de Pavilly.
Aussi, je me permets de retranscrire sur mon blog ce billet pour tous ceux qui n’auraient pas encore eu l’occasion de le lire.
« La semaine dernière, j’accompagnais Pascal Marchal, conseiller général du canton de Pavilly, et Nelly El Harradi, sa suppléante pour le renouvelement de son mandat en mars prochain, pour une présentation de leurs candidatures à la presse. Nous avons posé devant le futur collège de Pavilly, en chantier depuis plusieurs mois maintenant. Ce choix ne doit rien au hasard. Pascal Marchal a beaucoup oeuvré pour la réalisation de cet établissement scolaire. Il a obtenu le soutien sans faille de Didier Marie, président du Département.
A l’heure où le gourvernement supprime beaucoup de postes en Seine Maritime et où les collèges voient leurs dotations horaires fondrent comme neige au soleil, il n’est pas inutile de rappeler que le Département a consacré depuis 2004 des moyens importants à l’éducation. A ceux qui cherchent une différence entre la droite et la gauche en voilà une éclatante de vérité. La droite supprime à tour de bras des postes et des moyens. Les classes sont surchargées. Les remplacements ne se font qu’au compte-gouttes.
La gauche au Département construit des collèges flambant neuf ( 13 en tout dont 6 dans notre circonscription, Pavilly, Canteleu, Barentin, Maromme, Duclair, Caudebec-en-Caux ). Et a pratiquement doublé les dotations de fonctionnement dans les établissements du département. Le problème c’est que des classes seront vides faute d’enseignants. Pacsal Marchal a par ailleurs profité de l’occasion pour faire le bilan de son action dans le canton.
Proche des gens et sensible aux projets des communes, il a su être un relais efficace. Le Département n’a pas compétence sur tout. Mais il intervient dans la vie de tous les jours. Lutte contre les inondations ( il finance des ouvrages sur le Saffimbec et l’Austreberthe ), aide à la personne, dépendance ( il intervient dans les maisons médicalisées de Barentin et Pavilly ), voiries ( rond-point entre Barentin et Bouville,), transport scolaire, soutien au projet d’équipement ( comme par exemple la nouvelle écolede Villers-Ecalles ), luttre contre les cavités souteraines ( comme pour la marnière découverte dans la cour de l’école de Limésy ), les exemples ne manquent pas. Même si comme tous les départements de France, il est soumis aux vents mauvais de la crise et du désengagement du gouvernement, il reste le premier investisseur du territoire, permettant de donner du travail aux entreprises locales.
Aux côtés de Pascal Marchal figure une femme de terrain. Déléguée syndicale chez Gardy depuis de nombreuses années, Nelly El Harradi ne s’est jamais résignée à voir disparaître son outil de travail. Elle a été de tous les combats. Je la connais depuis plusieurs années. C’est une femme sensible, directe et sincère. Je l’ai vu proche de ses collègues, leur remontant le moral et les encourageant. Je l’ai vu motivée et convaincante, cherchant le maximum de soutiens pour la défense de son entreprise.
Certains critiquent la venue d’élus au chevet de l’usine. Mais c’est la moindre des choses pour des élus d’un territoire que de venir soutenir des salariés en lutte pour préserver leur outil de travail. Je ne regretterai jamais les heures passées dans l’entreprise, auprès des piquets de grève ou au siège de la société à Ruel-Malmaison. Ni les interventions faites auprès des pouvoirs publics.
Ce qui m’étonne en revanche c’est l’absence de réponse du ministre de l’industrie. Rien. Aucune réponse aux courriers des élus. Pas un seul rendez-vous. Aucune visite pour constater le formidable outil que représente le site de Gardy.
Ces mêmes qui se disent proches du gouvernement auraient pu s’en inquiéter à l’époque. Toutes ces raisons m’amènent aujourd’hui à soutenir leurs candidatures. Je vois en eux un ticket gagnant. Gagnant pour le canton et pour les valeurs qu’ils portent, aux antipodes de celles revendiquées par le président Sarkozy. »
Vous pouvez également suivre l’actualité de Christophe Bouillon au travers de son blog : www.christophebouillon.fr