Je connais Jean-Louis Borloo depuis près de vingt ans. A l’UDF, il occupait une place à part, défendant avec conviction des positions singulières en faveur des déshérités, des quartiers abandonnés. Lorsqu’il était ministre, j’ai soutenu sans réserve la priorité qu’il souhaitait donner à la politique de la ville puis le lancement du Grenelle de l’environnement même s’il n’a pas eu les coudées franches pour conduire cette réflexion audacieuse.
Source: www.capidees.net, via Edouard Lefevre