Après s’être échappé pendant quelques mois, il est sagement rentré à la maison, au grand soulagement de ses maîtres. Pendant quelques mois, il a goûté la liberté, courant après les papillons, pataugeant joyeusement dans le marais, jappant avec une audace retrouvée contre le gouvernement. Puis, Jean-Louis Borloo est revenu. Chez lui, à droite.