Accusée d’avoir noyé son bébé, une ancienne aide-soignante jugée aux assises de l’Eure

Une ancienne aide-soignante comparaît à partir de ce lundi matin 1er juillet, pour deux jours, devant la cour d’assises de l’Eure pour « meurtre d’un mineur de moins de quinze ans ». Isabelle G., 38 ans, est accusée d’avoir noyé son bébé de quatre mois dans la baignoire au domicile familial, à Bernay, en janvier 2011.

Lors de son audition par les gendarmes, la mère infanticide avait expliqué avoir immergé la petite fille dans la baignoire parce qu’elle ne supportait plus ses cris et que, fatiguée, « elle n’en pouvait plus« .

Prise de remords ?

Selon ses déclarations, elle avait tenté de mettre fin à ses jours ensuite, en plongeant un sèche cheveux dans l’eau, mais qu’elle en n’avait pas eu le courage. Et certainement prise de remords, elle avait finalement alerté les sapeurs-pompiers qui, à leur arrivée, avait découvert le bébé dans un état grave.

Hospitalisée au CHU Charles Nicolle de Rouen, la fillette, qui était « restée longtemps sans respirer » devait succomber la nuit suivante.

Mère d’un premier enfant âgé aujourd’hui de six ans, Isabelle G. comparaît libre devant les jurés de l’Eure. Elle est défendue par Me Marc François.

Le verdict est attendu mardi 2 juillet, dans la soirée.

Fête des écoles

Samedi matin, pour la fête des écoles, chaque classe du RPI, soit pas moins de neuf!, a pu présenter une animation soigneusement préparée en classe: Danses, chants et saynètes étaient ainsi au rendez-vous. Merci aux professeurs des écoles de nous offrir ce spectacle émouvant qui marque joyeusement la fin de l’année scolaire.

Fête des écolesFête des écolesFête des écolesFête des écoles

L’animation volontaire est-elle vouée à disparaître ?

Concernant le rythme scolaire, le fait d’avoir choisi d’ajouter des cours le mercredi au lieu du samedi, met en avant l’enfant vitrine. Sans oublier le sort des animateurs volontaires. Quel politique prendra enfin une décision en pensant d’abord aux enfants ?

Voie Militante Voie Militante

Grève au Conseil Général

Les syndicats, CFDT, CGT, FO et Sud, du Département de la Seine-Maritime ont fait grève le 24 juin. Les syndicats s’opposent au plan de redéploiement qui avait été mis en œuvre en juin 2011 qui, affirment-ils, se traduit “par la suppression de centaines de postes équivalent temps plein (ETP), et par la baisse de 5 % de la masse salariale”.

Les Pétroplus ne veulent pas désespérer

Repoussé et « humilié » par le tribunal de commerce de Rouen dans sa tentative de reprise de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne, le PDG fondateur de Murzuk Oil, Mabrouck Elie Getty, est venu vendredi à la rencontre des salariés réunis en assemblée générale.
Devant les grilles de la raffinerie aujourd’hui totalement arrêtée, et face à une centaine de salariés et soutiens, il a assuré « pouvoir sauver la raffinerie » et l’ensemble de ses salariés.
Par ailleurs, des intérimaires licenciés de la raffinerie ont entamé une grève de la faim sur place pour que leur sort ne soit pas oublié. Ils veulent accélérer ainsi le déroulement des négociations. Notre camarade Jacques Decaux, juge aux Prud’hommes nous indique que c’est une erreur de leur part que de croire que la Justice Prud’homale puisse aller plus vite, compte tenu de sa charge énorme de travail.

Colonisation israélienne en Palestine : les condamnations verbales ne suffisent plus

Le gouvernement d’Israël a décidé de construire un millier de nouveaux logements dans deux colonies du nord de la Palestine occupée, à Itamar où se regroupent déjà des colons radicaux au milieu de villages palestiniens, et à Bruchin, où il multiplierait par 10 le nombre de logements de colons. C’est ce que vient d’annoncer l’ONG israélienne La Paix Maintenant, qui ajoute : « Le gouvernement Neta-nyahu continue la politique d’expansion des colonies, même dans les zones isolées ». L’ONG le précise : au premier trimestre de cette année, les lancements de chantiers de logements dans les colonies israéliennes ont été au plus haut depuis sept ans. Entre janvier et mars 2013 la construction de 865 nouveaux d’entre eux, a débuté soit trois fois plus qu’à la même période l’année précédente. Cela représente une augmentation de 355% par rapport au dernier trimestre 2012. Alors même que le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a demandé à Israël dans une résolution du 22 mars dernier « de mettre fin sans condition préalable à toutes les activités de peuplement, conformément à l’article 49 de la quatrième Convention de Genève(…et) d’entamer un processus de retrait de tous les colons du territoire palestinien occupé… ».
Dans la même veine, les autorités israéliennes viennent d’approuver la construction d’un important projet de colonisation dans la vallée Al-Hilwa du quartier de Silwan, à moins d’une cinquantaine de mètres de la Mosquée Al-??Aqsa. Par ailleurs, le comité de planification de la municipalité israélienne à Jérusalem a approuvé la construction d’un tronçon routier reliant la colonie de Maale Adoumim à d’autres colonies dans Jérusalem-??est. Cette route se situe dans la zone dite « E1 », laquelle a pour objectif de créer une continuité territoriale entre les quartiers de colonisation de Jérusalem-??Est et la colonie de Maale Adoumim qui s’étendrait jusque vers Jéricho, dans le but à la fois de couper totalement Jérusalem de son arrière pays palestinien et de séparer le nord et le sud de la Cisjordanie.
En toute illégalité, mais également en toute impunité, plus de 560.000 colons israéliens occupent aujourd’hui la Palestine occupée dont environ 200.000 à Jérusalem-Est.
La France a « condamné » la décision israélienne de ces nouvelles constructions. Toutes les colonies sont en effet une violation du droit international et une provocation vis-??à-??vis de toute tentative d’aboutir à une solution politique fondée sur le droit. Pour le ministère des Affaires étrangères français, cela contrecarre les efforts américains pour relancer le « processus de paix » au Proche-??Orient. Paris se contente d’annoncer que « les autorités israéliennes doivent revenir sur cette décision et éviter à l’avenir de tels gestes ».
Grande hypocrisie. Car tout montre que la longue liste de telles condamnations et exhortations ne servent à rien. Seules de véritables sanctions, en particulier économiques, pourraient contraindre le gouvernement israélien à renoncer à ces violations à répétition du droit international qui visent à saper toute perspective d’Etat palestinien indépendant, viable, dans les frontières de 1967, avec Jérusalem-??Est pour capitale. Paris, qui annonce vouloir promouvoir la paix, doit décider de telles sanctions et intervenir auprès de ses partenaires européens afin qu’ils adoptent cette démarche constructive. La France doit aussi intervenir, notamment au Conseil de sécurité, non pas pour la relance d’un prétendu « processus de paix » dans le seul tête à tête entre Palestiniens et Israéliens, mais pour des négociations sur les seules modalités d’application du droit international, ce qui suppose des garanties de l’Onu, un calendrier, et en préalable la libération des prisonniers politiques palestiniens et la fin de la colonisation. Vingt ans après l’accord intérimaire d’Oslo, il est plus que temps.

“Un médecin pour chacun”. Vers une victoire à Fécamp

Déclaration lors de la remise de la pétition le lundi 24 juin pendant la réunion plénière de la Communauté de communes.

« Depuis sa création en mars 2012 par des militants du Front de Gauche, le collectif « Un médecin pour chacun » s’est considérablement élargi. Médecins, kinésithérapeutes, orthophonistes, syndicalistes, simples citoyens se sont rassemblés pour frapper à toutes les portes : le droit de se soigner et d’avoir son médecin n’est plus garanti à Fécamp, qui ne compte plus aujourd’hui que 14 médecins généralistes contre 21 en 2010.

Fécamp paie les pots cassés des politiques à courte vue menées depuis les années 90 qui ont laissé pourrir la situation de la médecine de ville : réduction du nombre de postes au concours d’entrée en 1re année de médecine afin de diminuer le « trou de la sécu » ; mesures tatillonnes des gouvernements précédents destinées à contrôler les prescriptions des médecins, toujours afin de réduire les déficits. Et plus récemment, ce sont les subventions pour ouvrir des maisons médicales pluridisciplinaires qui ont été réduites de façon draconienne par le département et la région, encore une fois au nom de la politique gouvernementale de « réduction des déficits publics ». Le monde de la médecine libérale n’arrive plus à se renouveler : le désert médical s’est installé et les perspectives d’avenir sont sombres.

Un centre de santé permettra d’attirer de nouveaux jeunes médecins à Fécamp : travail en équipe pluridisciplinaire, allègement des horaires de travail et décharge des tâches administratives sont les atouts majeurs d’un centre de santé public. La pratique systématique du tiers payant est une nécessité pour notre population qui souffre tant de la précarité et des fins de mois difficiles.

Le collectif « Un médecin pour chacun » est satisfait que la communauté de communes se soit orientée vers l’idée d’un centre de santé public, ainsi que de voir la municipalité de Fécamp d’accord pour mettre à disposition des terrains et des locaux. Rencontré le 1er juin, le président du conseil régional de Haute-Normandie s’est déclaré prêt également à aider au financement d’un centre de santé public mais est resté beaucoup plus évasif sur la question de savoir si la présence d’un hôpital à Fécamp constituait toujours à ses yeux une condition défavorable. Le conseil général de Seine-Maritime, rencontré le 3 juin par le collectif « un médecin pour chacun », refuse, lui, de se mouiller et se défausse sur l’Agence Régionale de Santé en conditionnant toute subvention, au classement de Fécamp en zone médicale déficitaire.

Notre inquiétude est grande face à la position prise par l’Agence Régionale de la Santé. Lorsque le collectif a été reçu par l’ARS, le 14 mars, il s’est trouvé face à un groupe de technocrates au service de la politique de rigueur gouvernementale, arcbouté sur les critères obsolètes de 2009 qui lui ont permis de considérer que le territoire de santé de Fécamp n’était pas prioritaire. Or, depuis 2010, Fécamp a perdu un tiers de ses médecins généralistes. Les 14 médecins encore en activité ont recensé, entre le 15 avril et le 15 mai, 133 familles qui recherchaient un médecin traitant. L’ARS doit revoir sa copie et reconnaître la réalité qui est celle de notre agglomération aujourd’hui : depuis 2010, Fécamp a perdu 7 de ses 21 généralistes, n’a plus qu’un seul cardiologue, n’a plus que 2 psychiatres à mi-temps et ne compte plus que 5 cabinets dentaires.

Toutes les autorités de tutelle sans exception, doivent aider à l’installation d’un centre de santé à Fécamp comme le demandent les 3 655 signataires de la pétition lancée par le collectif « Un médecin pour chacun ». Pour mémoire, nous signalons que ces signataires représentent 16,88 % de la population adulte de la communauté de communes. Nous tenons à remercier chaleureusement tous ces signataires et les 115 personnes qui ont accepté de diffuser cette pétition auprès de leurs proches, de leurs voisins, de leurs collègues de travail. Pour notre part, nous serons très vigilants sur la mise en œuvre de ce centre de santé : sera-t-il implanté là où on manque le plus de médecins ? Sera-t-il de taille suffisante ? Comprendra-t-il également des médecins spécialistes, des dentistes, des orthophonistes ? Comment sera-t-il financé ? Et quand ouvrira-t-il ?

L’enjeu est grave : ce droit de l’homme qu’est l’accès aux soins, ainsi que le droit d’avoir son médecin sera-t-il garanti à chaque habitant de la région de Fécamp ? »

La compétence intercommunale en matière de santé a été officialisée lors de ce conseil communautaire. La collectivité sera le maître d’ouvrage, en charge de la construction, de l’aménagement, de l’entretien, de l’exploitation et de la gestion de l’établissement. Elle pourra compter sur les 480 m2 de locaux situés en plein centre-ville que le conseil municipal de Fécamp du vendredi 28 juin a mis à disposition.

La ferme des Bouillons reste ferme !

Mercredi 26 juin, de 18h à 20h30, le « Café du SCoT » à la Maison de l’université de Mont-Saint-Aignan, a permis au militants et à leurs soutiens de réaffirmer leur soutien à la ferme des Bouillons et aux terres agricoles !
Cette rencontre publique portait sur le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) actuellement en cours d’élaboration au sein de la CREA (communauté d’agglomération Rouen – Elbeuf – Austreberthe)
Elle faisait suite à six « cafés du SCoT » qui se sont déroulés fin mai et en juin dans l’agglomération (à Elbeuf, Bonsecours, Sotteville-lès-Rouen, Rouen, Maromme et Duclair).
Elle permet aux citoyens de donner leur avis sur les premières orientations des documents d’urbanisme en cours d’élaboration, plus précisément le document d’orientation et d’objectifs, en vue de l’élaboration du SCoT. Le SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale) est un projet d’aménagement à 15-20 ans sur le territoire de la CREA.
Pour les fermiers dues Bouillons, il s’agissait de réaffirmer leur volonté de sauver la ferme et les terres agricoles de l’urbanisation ! Quand on a la parole, il faut la prendre. 
Fermedesbouillons.blogspot.fr <http://fermedesbouillons.blogspot.fr>

Une course très conviviale


Les 10 kilomètres de Sainte Adresse, dont je donne le départ ce jour, sont devenus en quelques années un rendez vous incontournable des sportifs en cette fin du mois de Juin. Il faut dire que les ingrédients du succès sont réunis : une équipe organisatrice sympathique et efficace, un parcours[…]

MARATHON DU TERROIR BRAYON

Marathon et Semi-Marathon de Forges les eaux David Delafenestre s’impose sur le marathon 323 athlètes ont franchi la ligne d’arrivée, 78 pour le marathon et 245 pour le semi. David Delafenestre de Val de Reuil a remporté le marathon en […]

Obtenir la poursuite de l’activité de la raffinerie, avec un repreneur ou une nationalisation soutenue par notre groupe Petit Couronne Ensemble.

Motion des élus du groupe
« petit couronne ensemble » (2 PC- 3 PG) du conseil municipal de Petit Couronne de jeudi 27 juin.photo Petro+ armada

L’avenir du raffinage à Petroplus :
Pas de renoncement, des décisions, un soutien très clair des élus de Petit Couronne Ensemble, le Maire et les élus PS du conseil municipal refusant de demander la nationalisation si nécessaire de
la raffinerie. Ci-dessous la motion que nous avons votée seul lors du conseil du 27 Juin.

« Depuis plusieurs mois, les salariés avec leur intersyndicale luttent et font des propositions afin de pérenniser l’activité de raffinage en France et à Petit Couronne.
Tous les candidats à l’élection présidentielle et notamment le Président de la République ce sont succédés en affirmant que le raffinage était stratégique pour la nation et que par conséquent
il fallait continuer à raffiner en France. 

A l’occasion du conseil municipal de Petit Couronne, les élus réaffirment, avec l’intersyndicale, leur proposition de poursuite de l’activité de raffinage sur le site. L’heure n’est pas au
renoncement. La priorité n’est pas d’envisager la ré-industrialisation du site ni son repositionnement industriel. La solution en faveur d’un repreneur doit être soutenue comme s’y est engagé
l’ensemble des responsables politiques et élus locaux et nationaux auprès des organisations syndicales de l’entreprise, notamment durant la campagne présidentielle. 

Les capacités financières de la BPI doivent être mises au service de la sauvegarde de l’industrie, du raffinage et particulièrement la raffinerie de Petit Couronne.

A défaut d’un repreneur, les pouvoirs publics doivent construire le pôle public de l’énergie, nationaliser la raffinerie et obliger Total à fournir le brut
nécessaire. 

Il s’agit là d’un enjeu d’indépendance énergétique nationale,
La fermeture de nouvelles raffineries, comme l’annonce le PDG de Total va conduire la France à importer massivement des produits raffinés et par conséquent devenir dépendant de groupes privés
fabriquant à l’étranger.

Les élus de Petit Couronne Ensemble Gérard Letailleur, Evelyne Leray, Yves Ledoux, Monique Martor, Christian Fillatre,  refusent de se coucher devant la finance.
Ils proposent :
Que l’état mette tout en œuvre afin de faciliter la reprise du site par un industriel du secteur.
La création du pole public de l’énergie
La nationalisation de la raffinerie
La taxation des produits finis importés 

Vote : Pour, les cinq élus cités ci-dessus, Contre 19 PS, Abs 5 PCF allié au PS IMG 1882

Nous avons aussi demandé de répondre favorablement à la mise à disposition d’un local disponible à Petit Couronne pour l’association chargé de gérer la continuité du CE. Le Maire doit voir si le
local convient ? À suivre! Nous souhaitons que le local soit mis à disposition gracieusement.

 

Il a par
ailleurs refusé de faire voté notre demande de subvention pour soutenir l’action, renvoyant l’examen de cette question au CCAS ! Expliquant qu’il a déjà beaucoup aidé
avec la mise à disposition d’une estrade, la fourniture de merguez pour un
barbecue, et une participation financière de 1000 euros à l’expo photo des 550, qui n’a jamais été programmé à Petit Couronne. Pour une ville ou Petroplus est implanté et qui à touché 1 900 000
euros de recette exceptionnelle en droit de mutation en 2008 lors de la vente par Shell, nous considérons que l’engagement de la ville aurait pu être beaucoup important.

2013-Bourges – par cnar le 30/06/2013 @ 15:40

Alexandre Gillery champion de France skiff minimes à Bourges !

Après un déjà beau parcours en championnat de zone nord-ouest mi-juin, Alexandre Gillery a confirmé tout son potentiel avec une très belle victoire en finale du skiff minime hommes sur le plan d’eau du val d’Auron à Bourges. Avec panache,  pour résister à ses rivaux de la Société d’Encouragement et de Joinville !
Médaille formidable et historique, puisque cela faisait plusieurs dizaines d’années que le club de Rouen n’avait pas eu de titres en catégorie minimes, et jamais de titre de champion de France en skiff minimes homme !

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Bravo à Alexandre pour cet exploit, alors qu’il n’a commencé l’aviron que l’été dernier !

A Bourges se tenaient également les championnats de France seniors, où le quatre de couple senior hommes, souvent sur le podium, terminent cette année 5e de la finale A.


 

Résultats minimesLe résumé des finales minimes en images sur Dailymotion AvironFrance
Résultats seniorsLe résumé des finales seniors en images sur Dailymotion AvironFrance

Photos
Voir le compte-rendu sur le site de la Ligue d’aviron Haute-Normandie

Les faits-divers de la semaine

Des drames, des tragédies, des heurts variés qui interrompent les trajectoires. Ils disent sur le monde qui nous entoure la violence et le chaos, les hasards et les intermittences.

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