AGROALIMENTAIRE en NORMANDIE: Demi-région borgne cherche à voir des évidences…

Un récent article paru dans la Chronique de Normandie (N° 326 – 15/07/13) nous a fait bondir car, sur l’Etoile de Normandie nous avons deux bons yeux pour profiter totalement du panorama normand…

Les touristes du conseil régional de Hot Normandy sont-ils en vacances ?

 

Cet article pour nécessiteux à la limite de la cécité ( on en braillerait presque…) s’intitule:

« Une filière à redécouvrir ? Région: à la recherche des IAA (Industries Agro Alimentaires ) perdues »

Perdues de vue … assurément par certains responsables demi-régionaux qui se montrent incapables de voir l’évidence normande telle qu’elle est!

Cet article mérite d’être cité  presque intégralement tant il est édifiant sur la cause principale du DECLIN NORMAND: l’absence de vision d’un intérêt régional normand du côté des décideurs politiques. Mais du côté des décideurs économiques régionaux il en va, heureusement, tout autrement. De plus en plus, l’évidence normande est intégrée par les forces vives régionales…  

Les deux sphères dirigeantes normandes divergent… Faudra-t-il aller jusqu’au divorce?


 

« Comme chaque année, la Chambre régionale d’Agriculture de Normandie vient de publier son « panorama de l’agriculture et de l’agroalimentaire en Normandie«  qui présente les principaux indicateurs économiques et sociaux de ce secteur d’activité vital mais trop souvent sous-estimé.

« On y apprend, par exemple, que les industries agro-alimentaires (IAA) sont le premier employeur industriel de la grande région (sic! ), avec 249 établissements de 10 salariés, employant 24400 professionnels. Leur chiffre d’affaires (7,6 milliards d’euros par an) place la Normandie au 5ème rang des régions françaises.

« L’étude révèle aussi l’accroissement de la dépendance de ce secteur d’activité à l’égar de centres de décisions français ou étrangers. Le mouvement est engagé depuis 20 ans mais les rachats d’entreprises s’accélèrent au rythme des restructurations. Ici « small n’est plus forcément beautiful »

« Curieusement, en dépit de son importance, la filière agro-alimentaire n’est pas spontanément reconnue comme une filière d’avenir en Haute-Normandie (c’est un peu différent en Basse). Est-ce un effet de la dispersion de ses PME-TPE sur le territoire? Est-ce l’hyper-présence médiatique de certains « gros » (comme Ferrero) qui masque la réalité des « petits et des sans grades »? Il faut se poser ces questions. Car pour beaucoup d’élus et des responsables institutionnels, la filière reste illisible (…) « 


 

Commentaires de Florestan:

Illisible pour ceux qui ne veulent pas lire… l’évidence normande!

Bien entendu, deux borgnes réunis ne peuvent faire une bonne paire d’yeux!

Puisque la demi-région de Haute a son agence spécialisée dans l’agroalimentaire et que la demi-région de Basse a la sienne propre et, faut-il le dire?, ces deux agences régionales normandes s’ignorent mutuellement… alors qu’il n’existe qu’une SEULE chambre régionale d’agriculture!

LE « CHOC DE SIMPLIFICATION » C’EST POUR QUAND ?

Pour apprécier TOTALEMENT le panorama de la Normandie agroalimentaire c’est par ici:

 

http://www.cra-normandie.fr/agriscopie.asp

 

 

En France, la contamination des cours d’eau est « quasi généralisée »

Le Monde.fr avec AFP | 24.07.2013 

 
Dans une note datée du 22 juillet et diffusé mercredi, le Commissariat général au développement durable (CGDD) estime que la contamination des cours d’eau « est quasi généralisée en France, essentiellement par les herbicides en métropole et des insecticides en outre-mer« .
Les zones les plus touchées sont les grandes régions céréalières, maraîchères […]

CHANTIER de l’EPR de Flamanville: l’auberge espagnole du DROIT du TRAVAIL…

Décidémment ce chantier exceptionnel de l’EPR de Flamanville par les moyens technologiques déployés, l’est aussi par son indécence… Scandale comptable d’un projet estimé à 3 milliards d’euros qui, finalement, en coûtera plus du double d’ici 2016 ou 2017, bref! presque le prix d’un TGV pour desservir toute la Normandie. Mais à cette indécence qui a déjà ici été dénoncée, il faut ajouter une autre plus sournoise, celle des conditions de travail des ouvriers sur cet immense chantier…

Il serait peut-être temps de soulever le couvercle sur les nombreuses irrégularités observées sur ce chantier… Non ?!

http://basse-normandie.france3.fr/2013/07/16/flamanville-le-dome-de-l-epr-suspendu-dans-les-airs-288461.html

 

Dans un entretien plutôt décoiffant entre Pierre Gattaz, le nouveau patron des patrons et Thierry Lepaon, le nouveau secrétaire national de la CGT publié par l’hebdomadaire Marianne (N°848 – 20/26/07/13) , Thierry Lepaon déclare ceci (p. 51):

« Sur le chantier de l’EPR à Flamanville, supervisé par Bouygues, le patron était à Chypre, le cabinet qui assurait la paye en Grande-Bretagne, le droit social suivi par un italien. Même la CGT n’arrivait pas à lire les bulletins de salaire des ouvriers! Comme leur protection sociale n’était pas payée, ils étaient renvoyés chez eux, par avion, dès que leur santé chancelait. Les donneurs d’ordre doivent être responsables de l’exécution de leurs marchés. Quand il y a huit sociétés en cascade, il y en a cinq de trop. Non seulement ces dérivent laminent les marges des entreprises, mais elles découragent aussi les jeunes de s’inverstir dans ces métiers nobles et d’avenir… »


Commentaires de Florestan:

Une fois de plus la Normandie est agie plus qu’elle n’agit: elle devient un terrain d’opération pour des investisseurs internationaux avec des centres de décisions lointains… Où sont les responsables Normands?

Aux dégâts sociaux et économiques sur le tissu professionnel régional dénoncés par le leader syndical qui connaît bien la Normandie industrielle, il faut aussi s’interroger sur les conséquences en terme de fiabilité et de sécurité de ce chantier pas comme les autres!

La radioactivité n’a, en effet, pas besoin de syndicats ou de faire grève pour faire connaître ses revendications … quasi éternelles contre l’espèce humaine !

 

Biodiversité : disparition de la moitié de la population des papillons de prairie en seulement 20 ans

 
   23 juillet 2013  |  Actu-Environnement.com

© Loic LE BRUSQ

Les conclusions du rapport de l’Agence européenne de l’environnement (AEE) sont alarmantes : entre 1991 et 2011, les populations de papillons de prairie ont diminué de moitié. En cause, l’agriculture intensive et l’échec de la politique de gestion des écosystèmes de prairie.
Le rapport rappelle l’intérêt de ces espèces, considérées […]

Un couple de cambrioleurs mis en fuite à Montigny, près de Déville-lès-Rouen

Un couple de cambrioleurs mis en fuite à Montigny, près de Déville-lès-Rouen
Le propriétaire d’une maison a mis en fuite deux cambrioleurs ce mercredi vers 12 h 30 à Montigny (Seine-Maritime).

Les auteurs, un homme et une femme, sont parvenus à pénétrer dans l’habitation après avoir fracturé un des accès. Ils ont eu le temps de fouiller les pièces de la demeure avant d’être dérangés par l’arrivée du propriétaire.

Dans leur fuite, les individus ont perdu quelques-uns des objets qui composaient leur butin, dont une tablette numérique qui a été retrouvée chez un voisin.

Une enquête est ouverte par les gendarmes de Déville-lès-Rouen.

Pour le maintien d’un commerce de proximité.

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Alors que dernièrement certains laissaient entendre que la FNAC pourrait quitter l’Espace du Palais allongeant encore un peu plus la longue agonie d’un centre qui se voulait poumon commercial en centre ville, c’est de façon plus confidentielle que s’est fermé il y a de cela une quinzaine de jours, le rideau de l’une des rares boucheries restant dans le centre ville.

 

Rue Beauvoisine, Olivier Capron a donc fermé boutique, sans qu’il y ait eu repreneur, et avec ce départ, c’est encore un commerce de proximité qui aura fermé sa porte. Certes, on est loin de ce qu’il s’est passé sur d’autres quartiers de la ville, comme au Mont Gargan par exemple, où le dernier commerçant, en l’occurence le boulanger, pense lui aussi à partir, mais pourtant…

 

Parce que la vie de quartier doit beaucoup aux commerçants et artisans de proximité, la municipalité doit agir pour les préserver. La lutte pour la revitalisation des centres urbains et des quartiers est devenue une priorité. D’autant que, depuis le milieu des années 1990, le modèle des hypermarchés s’essouffle et le vieillissement de la population fait renaître le besoin de proximité.

 

Alors comment ? Quelques pistes :

 

– Par l’élaboration du plan local d’urbanisme (PLU) qui reste largement une prérogative communale. Document d’urbanisme, il prévoit de façon précise les capacités de constructions et de réhabilitations nécessaires à la satisfaction des besoins, en matière d’habitat, d’activités sportives et économiques. Pour un développement commercial équilibré, les objectifs du SDC et des PLU se doivent donc d’être en cohérence et introduir des outils novateurs concernant certains alignements commerciaux, en interdisant de transformer un commerce en logement ou en service, l’objectif étant de conserver des linéaires exclusivement commerciaux, propices à l’attractivité, et de privilégier les commerçants face à la concurrence représentée par les banques, assurances ou autres services, dotés de moyens financiers plus importants.

 

– Par une reconquête des consommateurs, et donc des habitants : cela passe par des actions de développement de l’attractivité, notamment en terme d’accessibilité ( transports en commun, stationnement) ou d’animation et de signalisation. Un travail en commun entre la municipalité, la CCI et les associations de commerçants qui doit se jouer à tous les niveaux.

 

– Par une implication plus forte de la puissance publique : ailleurs, et pas uniquement en milieu rural, certaines municipalités ont su faire preuve d’interventionnisme en rachetant des locaux pour les louer à des tarifs très compétitifs à des commerçants de proximité animant le lien social.

 

– Par une implantation de nouveaux marchés de proximité au coeur des quartiers, palliant l’absence ou la raréfaction de commerces sédentaires.

 

Dans tous les cas, il faut être pragmatique et savoir aussi faire preuve d’imagination. Rouen n’est pas la seule ville confrontée à ces problèmes et on gagnera beaucoup à étudier ce qui se fait ailleurs. Notre conviction est que l’on peut conjuguer plus efficacement bien-être des habitants et vitalité de la ville.

 

Brétigny: information judiciaire pour homicides involontaires

Une information judiciaire pour homicides et blessures involontaires a été ouverte après la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge (Essonne) qui a fait six morts, le 12 juillet, a indiqué mercredi le procureur de la République d’Evry, Eric Lallement.

Six personnes sont mortes dans le déraillement du train Intercités 3657, le 12 juillet en gare de Brétigny-sur-Orge. Parmi elles, deux passagers originaires du Limousin et quatre habitants de l’Essonne, qui se trouvaient sur le quai au moment du drame.

republicus delirius

La République échangiste

Existe t-il des symboles immuables et éternels que l’on se doit d’enfermer à tous jamais dans l’ADN d’une nation. Le drapeau
bleu -blanc -rouge, la devise liberté –égalité- fraternité, le chant patriotique, la Marseillaise, la Marianne et encore bien d’autres commémorations et actes mémoriels. Nous serions ainsi nés
quelque part avec l’obligation de ne jamais envisager le changement. C’est ainsi que l’homme de l’ancien régime s’obligeait à naître et mourir serf. Un roi, une église, une noblesse et le tiers
état !

La tyrannie de la continuité ! Et si le peuple français souhaitait le changement ! Pas ce petit changement qui
murmure de belles phrases pour le plaisir du verbe… non ! Le changement. Pourquoi ne pas remplacer le blanc du drapeau français par du rose ? Plus actuel et surtout plus gay ! La
devise par Fraternité Mixité Ecologie, le chant patriotique par un doux poème de Rimbaud, La Marianne par un bel apollon. Une République tendance faite de continuité et de modernité.

Pourrions nous réfléchir ensemble à ne plus vivre sous la chose publique. Abandonner la sainte République pour un autre
concept politique ? La Reschangiste , faite d’échange et de partage. Un concept ouvert à réinventer. L’utopie de vivre autre chose que le monde qui nous a été donné ne peut rester le
monopole égoïste des enfants de Mai 68. .

Cours ! Camarade le vieux monde est derrière toi !


Igor deperraz

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