Syrie: Damas « le doigt sur la gâchette »

Les experts de l’ONU en armes chimiques ont quitté samedi 31 août Damas et doivent rendre rapidement compte à Ban Ki-moon, alors que Paris et Washington se préparent à une frappe limitée contre le régime syrien accusé d’avoir fait des centaines de morts aux gaz toxiques.

Le régime en Syrie s’attend à une frappe occidentale à tout moment après la détermination affichée par la France et les Etats-Unis d’agir contre lui, même si le président russe Vladimir Poutine l’a défendu samedi en jugeant « absurdes » les accusations d’attaque chimique.

Souscription 2013, pour faire vivre l’anticapitalisme !

Contre l’austérité : 1 million d’euros pour le NPA

À travers le monde, la logique destructrice du capitalisme est à l’œuvre. Leur Europe, celle de la troïka honnie par les peuples, est aujourd’hui l’épicentre de la crise. Le chômage, les politiques d’austérité y font des ravages, les conditions de vie et de travail se dégradent constamment, la démoralisation gagne le monde du travail en l’absence de perspectives crédibles de la gauche politique et syndicale. C’est elle qui crée le terreau de la prospérité pour le FN et les idées réactionnaires, nationalistes, racistes, homophobes et islamophobes.
Il est impossible de stopper cet engrenage du pire sans une puissante mobilisation des travailleurs, de la population et de la jeunesse, qui imposera des mesures d’urgence, remettrera en cause la propriété capitaliste et la course au profit. Il n’y a pas d’issue hors d’une politique anticapitaliste. C’est pourquoi les militantEs du NPA se tournent vers vous et en appellent à votre soutien. D’avance, merci à toutes et tous.

Les dons ouvrent droit à une réduction d’impôts égale à 66% de leur montant dans la limite de 20 % du revenu imposable.
Tous les dons effectués avant le 31 décembre 2013 seront déductibles des impôts pour l’année 2014.

2 façons de verser :

Par chèque à l’ordre de « NPA souscription » à renvoyer à : NPA souscription – 2 rue Richard Lenoir – 93100 Montreuil

Par carte bancaire sur notre site : http://npa2009.org/souscription

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Retraites, le NPA invite à une soirée de discussion et de mobilisation le 10 septembre

Mardi, 10 Septembre, 2013 – 19:30
Local du NPA, 40 rue des Murs
Affiche retraites

S’opposer au gouvernement et au patronat,

à la contre-réforme des retraites !

Se mobiliser dès le 10 septembre!

(ci-dessous les manifestations prévues dans la région)

 

La question des retraites est la nouvelle attaque majeure contre le monde du travail. Nous en connaissons déjà les grandes lignes: baisse drastique des pensions, augmentation de la durée de cotisation. Le 10 septembre prochain, journée de grève et de manifestations à l’appel de la CGT, FO, la FSU et Solidaires, sera donc une date importante qu’il faut d’ores et déjà préparer. Cette journée doit être la plus massive possible, mais elle ne sera pas suffisante pour faire reculer ce gouvernement. Elle doit être une étape vers un mouvement d’ensemble qu’il faudra construire. Nous ne sommes pas responsables des crises et du déficit de l’État. Riposter à ce gouvernement fragilisé, et à ses mesures d’austérité, devient une urgence.

C’est pour discuter de tout cela ensemble que le NPA de l’agglomération rouennaise vous invite à une assemblée de discussion et de mobilisation le mardi 10 septembre à partir de 19h, à son local, 40 rue des Murs Saint Yon à Rouen.

La soirée se terminera autour d’un verre et de quelques amuse-gueules.

Par ailleurs des manifestations unitaires sont prévues dans la région :

  • A Rouen : 10h, cours Clemenceau.
  • Au Havre : Franklin, 10h pour la manifestation et 14h pour l’Assemblée Générale interprofessionnelle.
  • A Dieppe : 10h30, gare SNCF.
  • A Eu : 10h30, place G. Le Conquérant.
  • A Lillebonne : 14h30, théâtre romain.
  • A Elbeuf : 17h30, place de l’hôtel de ville.
  • A Evreux : 10h, Bel Ebat.

 

Retrouvez des infos et des argumentaires sur : http://npa2009.org/category/tags/retraites

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Le pape François remplace son numéro deux controversé au Vatican

Le pape François a nommé samedi 31 août le nonce Pietro Parolin à la tête du gouvernement de l’Eglise, en remplacement du controversé Tarcisio Bertone, avant une réforme attendue de la Curie souvent contestée pour son opacité et ses scandales.

Originaire de la région de Venise et ordonné prêtre en 1980, Mgr Parolin, 58 ans, était depuis 2009 nonce (ambassadeur du Vatican) au Vénézuela. Il remplacera Mgr Bertone au poste de Secrétaire d’Etat le 15 octobre, a indiqué le Saint-Siège dans un communiqué.

Pour en finir avec le MILLE-FEUILLES administratif: l’IFRAP des idées qui frappent…

L’ i-FRAP pour Fondation pour la Recherche sur les Administrations et les Politiques publiques créée en 1985, reconnue d’utilité publique depuis 2009, actuellement présidée par Agnès Verdier-Moulinié qui édite un mensuel « Société civile » est un « think tank » (un réservoir à idées) qui tente d’influencer le débat public et la décision politique. Disons-le d’emblée, cet organisme est plutôt marqué à droite pour quelques propositions qui nous paraissent trop habituellement de droite (par ex: les enseignants ne travailleraient pas assez) et qui renvoient à des idées de gauche toutes aussi chancies (par ex: les patrons sont tous des voyous qui exploitent leurs salariés…).

Au delà de ces postures convenues qui n’apportent vraiment plus rien au débat public français et qui finissent, d’ailleurs par le sinistrer totalement, on retiendra avec intérêt les analyses pour le moins pertinentes de cette fondation sur l’urgence de réformer le fameux mille-feuilles administratif: nous rejoignons donc la vigueur des propositions de l’IFRAP et des ses idées qui frappent à propos du véritable parasitisme politico-administratif qui paralyse notre pays…

La décentralisation tourne, en effet, à l’établissement d’une nouvelle féodalité de barons cumulards qui prospèrent en leurs fromages doublonnés…

L’IFRAP pointe du doigt un point technique rarement évoqué par les médias mais que nous avions relevé sur l’Etoile de Normandie: le retour désastreux au principe plein et entier de la CLAUSE GENERALE DE COMPETENCES pour toutes les collectivités territoriales (communes, intercoms, départements, régions et métropoles…) alors que cette dernière avait été supprimée en 2010 par la majorité précédente pour n’être réservée (comme à l’origine) aux seules communes afin de mettre enfin en place une véritable clarification et une vraie hiérarchie des compétences parmi les collectivités…

Avec le cumul des mandats, le gaspillage d’argent public lié à la clause générale de compétences est l’autre abus de cette décentralisation dévoyée qui, à droite justement (mais à gauche aussi…)  donne de l’air à des néo-jacobins sur le retour (Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan, Laurent Wauquier, Jean-Luc Mélenchon… qui prônent la fin des régions et des départements, le grand retour de l’état central dialoguant directement avec les communes)

Un exemple précis qui est souvent la cible du Canard Enchaîné: l’évolution de la masse salariale du Comité Régional de Tourisme de la région Ile de France présidée par Jean-Paul Huchon (PS) depuis 1998. Les effectifs de ce CRT sont passés de 68 en 2005 à 186 personnes en 2013 (+ 176,5 % d’augmentation de la masse salariale) : d’après une enquête menée par le directeur de ce CRT régulièrement brocardé par la presse, seulement 47% de son personnel ne devrait son poste qu’à des amitiés politiques avec un élu du conseil régional ou de son très cher président! (source: Le Point N° 2136 22/08/13)

Justement, nous avons écrit récemment à l’IFRAP qui dénonce dans la dernière livraison de sa revue mensuelle, une France asphyxiée par des doublons inutiles et coûteux, que la Normandie était un véritable cas d’école: deux conseils régionaux, deux agences de développement économique, deux études prospectives, deux agences régionales de la banque publique d’investissement, deux conférences territoriales de l’action publique, deux ambassades à Bruxelles, etc… alors que la société civile et les grands acteurs régionaux normands s’organisent au niveau d’une seule région normande pour sauver un Axe Seine devenu angle mort par la concurrence frontale des ports du Nord-Ouest de l’Europe (ex: fusion des chambres régionales de commerce normandes en 2016)

Nous leur avons rappelé l’essentiel de nos propositions en matière de décentralisation: tenter enfin la solution GIRONDINE d’une France des vraies régions, à la fois plus efficace, plus démocratique et plus responsable pour enfin sortir de cette caserne centralisée et dominée par une caste depuis Louis XIV et Napoléon 1er…


A lire, donc sur le site de l’IFRAP:

http://www.ifrap.org/Decentralisation-une-reforme-impossible,13486.html

Décentralisation, une réforme impossible ?

 

Le 24 juillet 2013 par Agnès Verdier-Molinié

 

Pourquoi la décentralisation intelligente et rigoureuse en matière de maîtrise des dépenses publiques semble-t-elle impossible en France ? D’une part parce que l’État ne veut rien lâcher de ses prérogatives. D’autre part parce que nul n’a le courage de revenir vraiment sur la clause générale de compétences.

 

Cette analyse est parue dans la revue l’ENA, hors les murs de mai 2013

 

Quand l’Allemagne gère son éducation au niveau local (moins de 7% des dépenses au niveau fédéral, 80% au niveau du land – voir infographie), quand le Royaume-Uni instaure un forfait par élève délivré par les autorités locales à partir de 2014, quel que soit le statut de l’école, la France reste toujours arcboutée sur son modèle de financement de l’éducation centralisée : l’État rémunère les professeurs, la région gère les lycées et rémunère les personnels techniques (TOS), le département supervise les collèges et les transports scolaires et la commune gère les écoles primaires.

 

La gestion de l’enseignement principalement par un échelon local (région ou commune) comme l’ont adopté nombre de pays européens, serait beaucoup plus cohérente. Cela passerait par un forfait par élève et par an qui serait versé à chaque école qui redonnerait du sens à l’expression « égalité des chances ».

La spécialité française est celle des financements croisés venant de multiples strates publiques qui diluent les responsabilités et faussent les comparatifs de coûts. C’est le cas pour l’éducation mais c’est aussi le cas pour la culture ou l’aide au développement. Marseille est un bon exemple : le Mucem, « le grand musée de civilisation pour l’Europe et la Méditerranée  » a trouvé comme un frère jumeau dans le Centre régional de la Méditerranée (Cerem), « un symbole de fraternité entre les peuples de la Méditerranée  »… Mucem et Cerem vont donc cohabiter dans la même ville avec le même objet : célébrer les peuples de la Méditerranée. L’art contemporain est un autre bon exemple : vingt-deux fonds régionaux d’art contemporain (Frac) en métropole doublonnés par les villes et départements qui se lancent aussi dans la course. Paris dispose ainsi d’un Fonds municipal d’art contemporain (Fmac) ; à Marseille, c’est le Fonds communal d’art contemporain (Fcac), créé en 1949 ; à Nice, le musée d’Art moderne et d’Art contemporain (Mamac) : tous ces fonds dépassant le millier d’œuvres.

 

Quant à l’aide publique au développement, c’est aussi une mission publique dont la généralisation à différents échelons pose problème : l’État y a consacré en 2012 près de 9,98 milliards d’euros, voire même 10,39 milliards d’euros si on y intègre les agences et opérateurs et la taxe spéciale sur les billets d’avions. À côté, les aides des collectivités en matière d’aide publique au développement se montent à 70 millions d’euros, soit 0,57% de l’effort d’État, l’aide extérieure des collectivités au sens large étant d’environ 250 millions d’euros. Est-il normal que les collectivités participent, même à la marge, à l’effort global d’APD ? Est-il légitime que le volume total de leur action extérieure ne soit pas précisément audité, alors qu’il apparaissait dès 2005 comme près du double ?

 

Autre sujet, celui du nombre de communes : la France compte 40% de l’ensemble des communes de l’Union européenne. Trois fois plus de communes que l’Allemagne, plus peuplée, et presque quatre fois plus que le Royaume-Uni, d’où un fort émiettement (75% ont moins de 700 habitants) qui en complexifie la gestion locale et en rend problématique l’accès aux services publics obligatoires et facultatifs, services d’état civil, d’action sociale, SDIS, caisse d’action sociale, HLM. 

 

Il serait tentant de les fusionner, pour faire des économies. Depuis 1966, l’État pousse donc à la création d’intercommunalités. Avec succès, puisque 93% des communes sont regroupées dans des intercommunalités. Mais les économies ne sont pas au rendez-vous ; en effet, à côté des nouvelles formes de coopération, la France a toujours gardé ses 36.600 communes, lesquelles ont continué d’embaucher. En Île-de-France par exemple, la communauté d’agglomérations Arc de Seine rassemblait cinq communes (Chaville, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Vanves et Ville-d’Avray) comptant au total un peu plus de 162.000 habitants. Mais la chambre régionale des comptes a révélé que «  la communauté n’a pas été en mesure d’indiquer si sa création avait ou non permis la réalisation d’économies de personnel corrélatives dans les communes la composant ». L’intercommunalité s’est justifiée par l’augmentation de sa population et a estimé que sa création n’avait pas pour vocation de freiner les actions menées par les communes… De fait, le conseil des prélèvements obligatoires a remarqué que la mise en place d’une intercommunalité faisait généralement augmenter les taux des impôts locaux, en particulier la taxe sur le foncier bâti et la taxe d’habitation.

 

Paradoxalement, à l’heure où le gouvernement promeut, avec juste raison, un « choc de simplification », nul au gouvernement ne s’engage en faveur du référendum Alsacien, alors que cela aurait pu être un laboratoire de la modernisation de l’action publique locale. On ne compte plus les rapports -notamment dernièrement celui de l’OCDE, sur la gestion des politiques publiques en France – qui ont mis à l’index le mille-feuille à la française et le chevauchement des domaines de compétences des différents échelons comme source de gaspillages budgétaires.

 

Plus que de décentralisation au sens classique du terme, il faudrait parler de cartographie des missions publiques, de redéfinition des périmètres, de simplification mais aussi de fusions. On pense naturellement à des politiques publiques emblématiques comme l’éducation, la culture mais aussi les aides aux entreprises ou l’action sociale qui sont des politiques publiques particulièrement éparpillées entre les différents niveaux d’administration. Pour cela, il faudrait s’interroger sur la suppression de la clause générale de compétence et une réflexion approfondie sur le principe de subsidarité de l’action publique.

 

Réformer profondément l’action publique signifie aussi anticiper le fait que certains services publics n’auront plus dans le futur en termes d’effectifs et d’antennes locales une place aussi importante tandis que d’autres devraient monter progressivement en puissance. A titre d’exemple, nous devrions voir dans les prochaines années une réduction substantielle des services déconcentrés des finances publiques et du nombre de Caisses primaires d’assurance maladie tandis que le nombre de crèches augmentera sur le territoire. Cette réflexion globale est celle que la France attend de la modernisation de l’action publique. Elle doit être menée avec l’objectif d’économiser sur les dépenses publiques en termes de réduction de coût de production (60 milliards d’euros si on rapproche notre propre coût de production de 27,7% du PIB de la moyenne de l’UE qui est de 24,9% (chiffres OCDE)).

 

François Hollande a lancé, en octobre 2012, les états généraux de la démocratie territoriale. Prudent, le Président ne parle pas de fusionner les départements et les Régions, et encore moins les communes ; il préfère aller « au bout de la logique des blocs de compétences ». « Clarifier le qui fait quoi », dit, en substance, l’entourage de la ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, ce qui se traduit par la mise en place de « chef de filât ». Maintenant, il faut aller plus loin.

 

Clarifier le « qui fait quoi » dans le mille-feuille local permettrait d’économiser à soi seul 11,6 milliards d’euros par an. Mais pour y arriver, en dépit de l’opposition probable du Sénat, il faudra réduire l’aléa moral des élus. C’est-à-dire s’attaquer pour de bon à la suppression du cumul des mandats. Cela passera aussi par la possibilité de comparer les coûts entre des services publics ce qui suppose de mener une véritable ouverture des données publiques locales (y compris microéconomiques, annexes des comptes, contrats de délégation de services publics, exécution budgétaire des opérateurs etc.).

 

Au-delà, il faudra aussi avancer sur l’idée de rendre plus responsables de leur financement les collectivités territoriales. En effet, elles reçoivent aujourd’hui environ 50% de leurs financements sous forme de prélèvements sur recettes de l’État, ce qui n’est pas sain. Responsabiliser les décideurs locaux nécessiterait de leur conférer un véritable pouvoir de taux, sur une fiscalité rénovée et dynamique contre la suppression de la garantie de l’État sur ces mêmes recettes.

 

Quant à l’État, il lui faudra accepter d’abandonner totalement une partie de ces recettes fiscales désormais transférées et des missions comme celle du traitement des professeurs, de la gestion des retraites publiques, de la culture, de l’allocation adulte handicapé, laquelle devrait trouver plutôt sa place dans le bloc de dépenses de la sécurité sociale… Dans le cadre de la discussion du projet de loi sur les métropoles, les sénateurs écologistes proposent ces derniers jours la disparition à terme des conseils généraux et la suppression immédiate de la clause générale de compétence pour les départements. Repenser véritablement les périmètres publics, leur conférer à chacun la maîtrise des ressources qui les financeront, ce devrait être cela la véritable feuille de route du nouvel acte III de la décentralisation.

 


Commentaire de Florestan:

 

DEUX NORMANDIE

 

ça coûte trop cher …

 

à la NORMANDIE !!!

Espagne – 3e journée: Le Barça fait tourner après un mois d’août chargé

MADRID (Communauté de Madrid),  31 août 2013 (AFP) – Le FC Barcelone, contraint d’enchaîner un cinquième match en quinze jours, se déplace dimanche à Valence en Championnat d’Espagne (19h00 GMT) sans le meneur de jeu Xavi ni l’attaquant Alexis, laissés au repos, a annoncé samedi son entraîneur Gerardo Martino.

Depuis son arrivée au Barça fin juillet, le technicien n’a pris aucun risque avec ses principaux cadres.

Andrea Casiraghi et Tatiana Santo Domingo se sont dit oui en toute discrétion

MONACO,  31 août 2013 (AFP) – Andrea Casiraghi, fils aîné de la princesse Caroline de Monaco, et sa richissime dulcinée colombienne Tatiana Santo Domingo se sont dit oui civilement samedi devant leurs 300 invités, bien à l’abri derrière les hauts murs d’un Palais princier sous protection renforcée.
La cérémonie, qui précède le mariage religieux à Gstaad (Suisse) prévu cet hiver, devait débuter en fin de matinée dans l’enceinte du Palais, mais rien n’a filtré officiellement sur son déroulé.

UN SUPERMARCHE BIO LOCAL FERME A YVETOT, où les limites du saupoudrage localiste de nos chers, très chers élus!

L’idée était bonne, l’idée était belle, l’idée était généreuse et allait dans le sens de l’Histoire… La Normandie terre de cocagne et de bombance labellisée par 13 AOC, un record pour une région française, dotée d’un Institut régional de la qualité alimentaire unique en son genre et qui a lancé avec succès la marque « Gourmandie », dotée d’une chambre régionale d’agriculture unique sur l’ensemble de son territoire, ayant une race bovine réputée pour ses qualités de rusticité et d’authenticité dans le Monde entier, devrait être, à 200km à l’ouest des 11 millions d’habitants de la région parisienne, la première région de France pour l’agriculture bio labellisée… Mais de l’idée à sa réalisation, il semble qu’en Normandie, à cause de nos chers, très chers élus, cela soit toujours plus compliqué qu’ailleurs avec pour résultat, une mise en échec d’une idée pourtant bonne, belle ou généreuse.

Voici donc l’histoire édifiante de l’expérience d’un supermarché bio et local à Yvetot qui dépose le bilan faute d’un chiffre d’affaires suffisant… Où comment les élus savent parfaitement mettre une charrue avant les boeufs pour un résultat parfaitement… nul (sauf pour nous les con-tribuables)

http://haute-normandie.france3.fr/2013/08/30/pres-d-yvetot-seine-maritime-la-plate-forme-regionale-du-bio-baisse-le-rideau-un-apres-son-ouverture-309733.html

Près d’Yvetot (Seine-Maritime) : la plate-forme régionale du bio baisse le rideau un an après son ouverture

 

Subventionnée (par de l’argent des contribuables),  la création de la  première plate forme régionale  d’alimentation bio en plein  centre du Pays de Caux se solde par une  liquidation

  • Par Richard Plumet
  • Publié le 30/08/2013 | 18:22, mis à jour le 30/08/2013 | 20:38
© France 3 Haute-Normandie
© France 3 Haute-Normandie

 

Gaspillage d’argent public ?

Ouvert il y un an, E’Caux Centre va fermer ses portes mercredi prochain 4 septembre. Une aubaine pour les clients qui profitent déjà des rabais de 35% ( et même de 50% pour les professionnels)  pratiqués sur les produits encore en stock dans le magasin.
Pourtant, à l’origine, le concept était séduisant : rassembler les produits bio de la région, les faire connaître et les commercialiser. L’association porteuse du projet avait même bénéficié de 2 millions d’euros de subventions.


Commentaire de Florestan:

Une plate-forme demi-régionale isolée dans le Pays de Caux ou ailleurs ça ne marche pas. Il faut créer un vrai réseau régional à l’échelle pertinente, la Normandie toute entière comme la grande distribution le fait déjà pour valoriser avec succès les produits normands qu’ils soient bio ou non… Les acteurs de la filière bio normande doivent d’abord s’organiser et maîtriser par eux-mêmes leurs projets de développement. Il n’y a donc pas qu’en Afrique où l’on trouvera des « éléphants blancs »… En Normandie aussi!

Laissons donc les professionnels de la filière bio normande s’organiser par eux-mêmes et décider par eux-mêmes des projets dont ils ont réellement besoin. Les élus n’ont pas à se substituer aux chefs d’entreprise et la clause générale de compétence n’a pas pour but de dépenser inutilement l’argent public sur des territoires politico-administratifs (les circonscriptions de ces messieurs les élus) qui ne correspondent pas à la réalité économique.

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