Les prix Nobel se mobilisent contre les sables bitumineux

 

  Aujourd’hui   |  Actu-Environnement.com

La raffinerie de Suncor, près de Fort McMurray (Alberta, Canada)

Vingt et un prix Nobel ont envoyé une lettre au président de la Commission européenne José Manuel Barroso pour l’exhorter à soutenir la directive sur la qualité des carburants en cours de négociations avec les États membres et le Parlement européen depuis […]

Le 12 octobre 2013 au château de CAEN: défendre la LANGUE NORMANDE

Sur les remparts du château ducal de Caen, les bannières qui flottent au vent symbolisent le problème: le drapeau européen nous rappelle que la France a signé la charte des langues régionales mais qu’elle n’en fait rien… alors que les bannières aux cats demeurent encadrées par les drapeaux tricolores français.


 

Nos amis du forum Normanring nous appellent à nous rassembler SAMEDI 12 OCTOBRE 2013 au château de CAEN pour défendre la langue normande et interpeller les collectivités territoriales normandes sur leur manque total de soutien à l’expression culturelle, littéraire et artistique contemporaine en langue normande qui est bien plus qu’un « patois » ou qu’un « français régional » mais l’une des langues d’oïl matrice du français. 

La langue normande avec 25 000 locuteurs est en train de mourir avec la mort des derniers représentants d’une civilisation rurale séculaire mais elle renaît actuellement sous des formes modernes, innovantes, bouillonnantes, militantes portées par des nouvelles générations de Jersey au Pays de Caux en passant par le Nord Cotentin.

Une scène musicale actuelle d’expression « normande » est en train de naître, un dictionnaire complet normand / français / français / normand avec 30 000 entrées vient de paraître… Des écrivains, des poètes écrivent et publient en langue normande, dans l’indifférence quasi-générale des tutelles publiques pourtant en charge de la vie culturelle normande. Situation d’autant plus paradoxale que la langue normande fut dès le XIXe siècle, l’idiome régional français (avec le provençal) à être le plus défendu, pratiqué, imprimé et édité notamment par les instituteurs pourtant en charge de la normalisation culturelle française dans leurs écoles…

Que font les deux DRAC normandes, les deux agences régionales en charge de l’édition ou en charge de la vie musicale et du spectacle vivant? Que font les services culturels des deux conseils régionaux normands ? Que fait l’ODIA ? Que font les cinq conseils généraux normands? Que proposent les communes et les trois grandes agglomérations normandes pour promouvoir une expression contemporaine en langue normande qui ne soit pas confite dans un folklorisme suranné?

Dans cette Normandie politico-institutionnelle impotente et divisée dans les multiples métastases d’un cancer aussi décentralisateur que  jacobin, le mieux est encore de s’occuper par soi-même de ses affaires!

C’est précisément ce que font tous les amoureux et connaisseurs de la langue normande. Sans attendre l’éventuel bon plaisir de tel ou tel rond de cuir en son bureau, ils « prêchent » le « loceis » de chez nous… Avec deux ou trois mots en bouche au lieu seulement d’un seul, toute langue devient savoureuse: pour ne pas perdre le goût d’un français qui s’appauvrit et qui se banalise en amalgamant des quantités industrielles de « franglish » à la sauce parisienne, il faut d’urgence redécouvrir le normand comme il faudrait redécouvrir d’urgence toutes les langues et parlers de nos régions de France.


 

APPEL du FORUM NORMANRING

Boujou

Rassemblement au Château de Caen le samedi 12 Octobre 2013 à 14h30 pour la défense de la langue normande.

Le Normand fait parti du patrimoine immatériel de la Normandie, comme toutes les langues minoritaires de France d’Europe et du Monde il doit être soutenu et développé.


Nous comptons sur les Normands et les défenseurs des langues minoritaires pour être présents et défendre cette langue encore vivante et enseignée dans le Cotentin, sur Jersey et Guernesey !

Mouve tei por eul prèchi normaun !

Les revendications :

– Que le Conseil Régional de « Basse »-Normandie reconnaisse le Normand comme langue régionale de Normandie (au même titre que l’Occitan, le Niçart , le Provençal, le Gallo, l’Alsacien, le Breton, le Corse, le Basque dans leurs régions respectives )


– Demander le positionnement du Conseil Régional de « Basse »-Normandie sur l’enseignement du normand

(interpeller Laurent Beauvais pour qu’il fasse pression sur l’Inspection Académie de Caen pour qu’il facilite l’enseignement du normand au nom du respect de la charte européenne des langues régionales pourtant signée par la République française)


– Demander à l’Inspection académique de Caen qu’il forme des enseignements au normand.


– Demander des aides financières pour la création de supports pédagogiques en normand (école, collège, lycée)


– Faciliter l’introduction de panneaux bilingues (français/normand) sur les panneaux routiers et de communes de Normandie


– Rendre visible le normand dans les administrations (formulaires)


– Créer de emplois pour la revitalisation du normand (collectage)


– Demander à avoir un interlocuteur privilégié pour la culture & la langue normande au sein du Conseil Régional de B.Normandie!

Ralliâs Normaun oû câté dè Kaem lè sanmedi 12 d’Ouctobe por noute loceis normaund !

Organisons nous pour être le plus nombreux possible !


http://normanring.forum-actif.net/t3487-rassemblement-normand-pour-notre-langue-12-oct-2013-a-caen


Commentaire de Florestan:

Le 31 janvier dernier, nous avions provoqué une réunion entre les représentants de diverses associations culturelles normandes et la vice-présidente du CRBN en charge de la Culture, Pascale Cauchy qui nous avait conseillé de nous mettre en relation avec la nouvelle agence régionale en charge du spectacle vivant musical, la mal nommée F.A.R (Formation Action Recherche) … Sans suite pour le moment: dans le Far West il faut, en effet, se débrouiller seul !

La retraite de Hollande est une Bérézina sociale!

 

Mercredi 2 octobre le collectif citoyen pour les retraires a tenu meeting à la halle aux toiles à Rouen, l’occasion de faire le point sur le projet du gouvernement
qui sera en débat à l’assemblée dans quelques jours.

DSC_0110.jpg 
 photo (octave_honorin) 1970 le PS était en lutte contre la réforme Sarkozy, aujourd’hui il la valide et l’aggrave.

Les salariés payent le prix fort : Hollande obéit à l’Europe libérale, dans la droite ligne de Sarkozy

La réforme des retraites d’Hollande en 2013 ressemble à s’y méprendre à celle de Sarkozy en 2010. Elle est d’ailleurs fondée sur les mêmes arguments fallacieux selon
lesquels « comme on vit plus longtemps, il faut travailler plus longtemps ».

Rappelons ici que la retraite à 60 ans en 1981 se fait alors même que l’espérance de vie augmente. Rappelons également que d’après l’INSEE, l’espérance de vie en
bonne santé en France est de 61,9 ans pour les hommes et de 63,5 ans pour les femmes, et qu’elle est en recul depuis 2010.

Le gouvernement Ayrault a donc choisi de faire payer les salariés, en augmentant les cotisations retraites et en allongeant la durée de cotisation à 43 ans en 2035.
Par cette réforme, il entérine les souhaits des libéraux à la tête de l’Union européenne, qui ont conditionné le « sursis » pour revenir aux 3% de déficit à une réforme des
retraites.

Au passage, le gouvernement se contredit lui même : en effet il annonce un déficit du régime des retraites de 16 milliards en 2040 avec une
croissance aussi faible qu’aujourd’hui. C’est donc qu’il ne croit pas à sa propre politique !

Le capital, lui ne va rien payer : l’augmentation des cotisations patronales pour les retraites va être compensée par une exonération sur les cotisations
famille. Le MEDEF a donc encore une fois gagné, après avoir baissé les salaires avec l’ANI, le gouvernement poursuit la politique de l’offre et grève encore le pouvoir d’achat des
Français.

Pourtant, le gouvernement a déjà accordé 20 milliards d’euros de crédit impôt compétitivité au capital (c’est à dire davantage que le déficit des retraites prévu en
2040 !) et les exonérations de cotisations patronales pour les retraites atteignaient déjà 30 milliards d’euros en 2010.

Enfin, cette réforme témoigne d’une réflexion à courte vue. Aujourd’hui, plus d’un tiers des personnes qui prennent leur retraite sont au chômage. Cela signifie que
l’augmentation de la durée de cotisations va augmenter les dépenses de l’assurance chômage : un trou est bouché mais un autre est creusé !

La retraite par capitalisation qui ne dit pas son nom

Le gouvernement renie les engagements du PS qui, en 2003 avait voté en Congrès que la durée de cotisation n’excèderait pas plus de 40 ans. Il accepte l’âge légal de
la retraite à 62 ans, adoptée sous Sarkozy, et ment lorsqu’il affirme que l’âge légal ne sera pas reculé.

Pour les jeunes, nés après 1973, il faudra cotiser, avec la réforme Hollande, pendant 43 ans. Cela signifie par exemple qu’en entrant dans la vie active à 24 ans, et
en supposant qu’on ne compte aucune période de chômage, la retraite à taux plein ne pourra être atteinte qu’à 67 ans ! Pour un Président de la République qui faisait des jeunes sa priorité
pendant la campagne, Hollande leur inflige à la fois le chômage par sa politique d’austérité, et une retraite repoussée de plusieurs années.

Depuis 1993, chaque réforme des retraites a repoussé l’âge réel de départ, à taux plein, par le système de répartition. Cela s’explique par le travail en sous-main
du patronat pour le système par capitalisation. Gattaz, président actuel du MEDEF l’a redit récemment, il est favorable à ce qu’une « dose de capitalisation » soit introduite pour
financer le système des retraites.

Au fond, en promettant aux jeunes une retraite à 67 ans dans le meilleur des cas, le gouvernement Ayrault ne fait rien d’autre que d’encourager ceux qui le peuvent à
épargner dès maintenant pour pouvoir partir plus tôt, et donc à capitaliser pour leurs retraites.

Bien entendu, contrairement aux mensonges débités par les solfériniens, c’est une mesure très injuste, qui pénalise les plus petits salaires et les carrières
interrompues, qui rompt avec la logique de solidarité et ouvre la porte aux marchés financiers pour le financement de la protection sociale. L’exemple de la faillite des fonds de pension aux
Etats-Unis ou la politique mortifère de l’Allemagne liée à son besoin de maintenir le niveau des placements des retraités allemands ne servent donc pas de leçon à Hollande.

Mais pire, la réforme des retraites présentée par Ayrault, sous couvert de prendre en compte la question de la pénibilité au travail, introduit directement une dose
de capitalisation, par l’intermédiaire du « compte pénibilité ». Alors que le système par répartition repose sur le principe de solidarité entre générations, que les cotisations
retraites payées par les salariés financent les pensions des retraités, le « compte pénibilité » individualise le financement des retraites, puisque chaque salarié disposera de son
propre « compte », qui financera sa propre retraite.

C’est ouvrir la boite de pandore du système de retraite individualisé par capitalisation, des assurances privées pour la protection sociale, en rupture avec le
principe de solidarité et d’égalité républicaine.

En somme, non content de porter un coup au pouvoir d’achat et d’infliger une régression sociale aux citoyens, chose inédite pour un gouvernement se disant de gauche,
les solfériniens au pouvoir mettent en péril et détricotent un droit social majeur acquis de haute lutte, défendu et mis en place par le Conseil National de la Résistance.

La solution : emploi et taxation du capital_MG_2921.JPG

Aucune fatalité pourtant, à ce déficit dans le régime des retraites. Il est en effet conjoncturel. Déjà en 2010, 66% du déficit annoncé était lié à la crise et aux
mesures d’austérité mises en place, qui augmentent le nombre de chômeurs chaque jour.

Pour augmenter le financement des régimes de retraite, rien de mieux que la création d’emplois et l’augmentation des salaires. Par exemple, si 3 millions d’emplois
étaient créés en 10 ans (2 millions d’emplois ont été créés en 5 ans sous le gouvernement Jospin), cela rapporterait 24 milliards d’euros pour les retraites, bien au delà de ce qu’il est
nécessaire pour boucher le déficit.

Alors que les femmes, les plus nombreuses parmi les salariés précaires et davantage confrontées aux carrières interrompues seront durement touchées par la réforme
annoncée par Hollande, l’application réelle de l’égalité salariale entre les hommes et les femmes rapporteraient 5 milliards d’euros aux caisses de retraites dès 2015 !

Ce sont donc bien la création d’emplois et une politique d’augmentation des salaires, pour tous, qui sont les principales solutions pour équilibrer les régimes de
retraite.

Mais à très court terme, il est également nécessaire de prélever le capital pour financer les retraites. 8 points de richesse nationale sont passés du travail au
capital depuis 1982, soit une perte pour les cotisations retraite de 11 milliards. Enfin, la mise à contribution des revenus financiers, à un taux égal à la cotisation d’assurance vieillesse à la
charge des employeurs du privé (8 %), rapporterait 30 milliards d’euros.


 

Le train express régional percute une voiture : un mort sur la ligne Beauvais – Le Tréport

Le train express régional percute une voiture : un mort sur la ligne Beauvais - Le Tréport

Le train express régional percute une voiture : un mort sur la ligne Beauvais - Le Tréport
Un automobiliste âgé de 23 ans a trouvé la mort ce jeudi soir après que sa voiture a été percutée violemment par un train régional qui circulait sur la ligne BeauvaisLe Tréport.

L’accident s’est produit vers 19h40, sur un passage à niveau seulement matérialisé mais pas équipé de barrière automatique ou de feux, à Vieux-Rouen-sur-Bresle, dans le canton d’Aumale, en Seine-Maritime.

Il a attendu l’arrivée du train

Selon les premiers éléments de l’enquête et les témoignages recueillis par les gendarmes, la thèse du suicide ne semble faire aucun doute :  l’automobiliste a stoppé volontairement son véhicule sur la voie ferrée et a attendu au volant l’arrivée du train.

La voiture a été pulvérisée sous le choc et  traînée sur 200 mètres environ. Les sapeurs-pompiers ont dû la découper avec leur matériel de désincarcération pour extraire la victime qui a été tuée sur le coup. Son décès a été confirmé par le médecin du Smur, présent sur les lieux.

Pas de blessé parmi les passagers

Dix passagers, dont le conducteur et un contrôleur, étaient à bord du train. Ce dernier était parti de Beauvais à 18h35 et devait arriver au Tréport à 20h12. Personne n’a été blessé. Les usagers ont été pris en charge par des taxis affrêtés par la SNCF pour les ramener jusqu’à leur domicile.

S’agissant d’un accident impliquant un train, le Centre départemental d’incendie et de secours (CODIS76) a engagé des moyens adaptés à la situation.

Le maire de la commune, Michel Andrieux, s’est rendu sur place, de même que le cadre d’astreinte de la SNCF.

Une enquête est ouverte par les gendarmes de la Communauté de brigades de Blangy/Aumâle afin de déterminer les circonstances de cet accident.

Après l’enlèvement du véhicule et la vérification des installations ferroviaires, la voie a été réouverture à la circulation des trains vers 4 heures ce vendredi matin.

La mort souhaitée du syndicalisme


L’interdiction d’ouvrir le dimanche par la justice pour deux grandes enseignes de bricolage le dimanche ainsi que les restrictions horaires de certains grands magasins de la capitale ont servi de prétexte à une nouvelle attaque en règle des organisations syndicales. Depuis maintenant trop[…]

Une voiture percutée par un train

Ce jeudi 3 octobre, aux alentours de 20 h, un accident s’est produit sur la voie ferroviaire à hauteur de Vieux-Rouen-sur-Bresle, du côté du hameau de Bouafles. Dans un choc d’une extrême violence, le train menant au Tréport a heurté une voiture et l’a trainée sur environ 200 mètres. Le conducteur est décédé. Une trentaine […]

Retour sur le Meeting Unitaire sur les retraites du 2 Octobre 2013 à Rouen

Hier soir (2/10/2013), je suis passé à La Halle aux Toiles avec Nathalie. Un meeting unitaire sur les retraites se tenait. La salle était bien remplie et attentive. Toute la gauche était là. Olivier Dartigolles pour le PC. Karima Delli, député européenne d’Europe Ecologie Les Verts …etc … La CGT, la FSU, Solidaires avaient envoyé des dirigeants de tout premier plan.

Mon ami Antoine Tredez est intervenu pour l’UNEF de Rouen.

Et Pierre Ruscassie, porte parole des 5000 SOCIALISTES « contre tout nouveau recul » a insisté sur le déséquilibre en terme de financement : des milliards payés par les retraités et les salariés alors que les employeurs ne contribueraient qu’à hauteur de 800 millions en se faisant intégralement remboursé de la hausse des cotisations !


Tous ont remarqué que si rien ne changeait la réforme de Sarkozy, tant combattue en 2010, serait entérinée et sa logique poursuivie avec l’allongement de la durée de cotisation.


En dépit de quelques dispositions sur la pénibilité ou les femmes, il y a urgence à amender sérieusement le projet pour être fidèles à nos engagements.

Faire respecter la liberté d’expression sur le marché

Petit retour en arrière … 

Dimanche sur le marché de Sotteville_lès-Rouen, je distribuais un tract unitaire sur les retraites avec des amis syndicalistes et représentants de gauche.

« Pas un trimestre de plus, pas un euro de moins » affirmait ce tract.

A la demande d’un commerçant, la police municipale nous demandait de sortir du marché. 

Pour éviter tout esclandre nous l’avons fait. 

Et nous avons du nous accoler à des distributeurs de tracts du Front National ! Très désagréable. 

Nous avons donc saisi le cabinet du Maire pour que cette situation ne se reproduise pas.


Dont acte vient-il de nous répondre. 


Nous nous félicitons de cette réponse et des décisions que la mairie a prise pour faire respecter les droits de tous. Les distributions sont un droit démocratique. 

Il sera respecté et nous y veillerons tout particulièrement.


La retraite à 67 ans, voilà le projet du gouvernement, la preuve

Hollande, menteur aux ordres de Bruxelles.

En démarrant un travail à 24 ans, ce qui n’est pas courant aujourd’hui votre retraite à taux plein sera à 67 ans

Pour nos retraites

Dans le document qui retrace la « stratégie de politique économique de la France », envoyé ce matin à Bruxelles conformément à la méthode imposée par les procédures
antidémocratiques de l’Union Européenne au détriment de la souveraineté budgétaire, le président de la République reconnaît que l’âge de départ à la retraite – effectif, mais pas légal – va faire
un bond suite à l’allongement à 43 annuités de la durée de cotisation en 2035.

« A terme un assuré qui débute sa carrière à 23 ans (c’est la moyenne en France) ne pourra partir à la retraite au taux plein qu’à partir de 66 ans », est-il écrit
noir sur blanc page 21.

Ce gouvernement ose dire qu’il refuse de repousser l’âge légal de départ en retraite à 65manif paris bloc de gauche portugal ans. En réalité, il fait pire, car l’âge réel de départ en retraite
sera au delà des 65 ans au nom du « critère déterminant au regard de la soutenabilité des finances publiques ».

L’hypocrisie de François Hollande est une insulte à tous les salariés. Ses petits arrangements bruxellois dans le dos des travailleurs montrent
combien il a peur des réactions populaires. Et il a raison car s’il croit qu’il peut faire faire ses coups en douce sans que les travailleurs s’en rendent compte, il se trompe.

La colère populaire sera la juste réponse à ses mensonges, le faire connaitre. 


 

Fête d’automne 2013 à Petit Couronne

Le 06/10/13 Dès 10h Petit Couronne La 5ème fête d’automne se tiendra le 6 octobre aux jardins aquatiques de Petit Couronne. Réputée pour mettre en avant l’artisanat et le côté champêtre, de nombreuses animations se tiendront tout au long de la journée : Brassage de pommes à l’ancienne Marchés de produits bio et normands Mini […]

Une plantation de cannabis détectée par la caméra thermique de l’hélico des gendarmes !

Une plantation de cannabis détectée par la caméra thermique de l'hélico des gendarmes !
EURE. Qui l’eût cru ? Une plantation d’arbres de cannabis a été découverte grâce à la caméra thermique embarquée dans l’hélicoptère de la gendarmerie !

C’était à l’occasion d’une mission de surveillance organisée le mois dernier dans le cadre de la lutte contre les cambriolages dans le secteur d’Amfreville-la-Campagne et du Neubourg, que les gendarmes à bord de l’appareil ont remarqué ces plants servant à produire des stupéfiants. Il y  en avait une trentaine dans un coin de jardin d’une propriété d’Amfreville-la-Campagne, dont certains atteignaient près de deux mètres de haut. Ils ne se voyaient pas de la rue mais on les observait très bien depuis le ciel, selon une source proche de l’enquête.

Une plantation de cannabis détectée par la caméra thermique de l'hélico des gendarmes !
Interpellé chez lui jeudi matin

Après quelques séances de repérage des lieux,  ce jeudi matin 3 octobre donc, les gendarmes d’Amfreville-la-Campagne et ceux de la brigade de recherches de Louviers, assistés du Peloton d’intervention et de surveillance (PSIG) de la gendarmerie, se sont présentés au domicile du propriétaire de la maison.

L’homme, âgé de 31 ans, a été immédiatement interpellé et sa demeure perquisitionnée. Les gendarmes ont découvert, en plus de la trentaine de plants de cannabis, tout le matériel nécessaire à la culture de cette drogue. Le tout a été saisi ainsi que 5 kilos de feuilles séchées destinés à être transformés à des fins probablement « commerciales ».

Le suspect a été placé en garde à vue à la brigade d’Amfreville-la-Campagne. Son audition devrait permettre aux enquêteurs de déterminer depuis combien de temps il produisait du cannabis et s’il en faisait un trafic. 

Sa voiture fait des tonneaux après une collision : le conducteur est grièvement blessé

Sa voiture fait des tonneaux après une collision : le conducteur est grièvement blessé
Une violente collision s’est produite ce jeudi matin vers 9 heures à Petit-Couronne (Seine-Maritime). Elle a fait un blessé grave, un homme de 34 ans, domicilié à Roncherolles-sur-le-Vivier, dans la banlieue nord de Rouen.

Ce dernier était au volant d’une Dacia Logan qui circulait sur le boulevard Maritime. L’autre véhicule en cause, une Peugeot 207, était lui sur le boulevard Cordonnier. Pour une raison que l’enquête policière devra déterminer, les deux véhicules se sont percutés de plein fouet à hauteur du carrefour protégé de part et d’autre pare des feux tricolores.

Sous le choc, la Dacia a fait plusieurs tonneaux avant de s’immobiliser le toit. Son conducteur, très sérieusement blessé, a dû être désincarcéré par les sapeurs-pompiers qui l’ont transporté au service des urgences du CHU de Rouen.

La conductrice de la Peugeot, âgée de 57 ans et originaire de Grand-Couronne, a été très choquée.

De nombreux témoins de l’accident ont été entendus ce jeudi matin par les policiers de la Brigade des accidents et délits routiers (BADR) en charge de l’enquête. 

La Boule stéphanaise en terrain conquis

Le parc Youri-Gagarine accueille dimanche 6 octobre le championnat départemental des clubs de pétanque. Une vingtaine d’équipes s’affronteront sur le terrain stabilisé et autour. Le championnat des clubs du département se dispute en sept journées, organisées alternativement par les clubs qui se portent volontaires. Le 6 octobre prochain, c’est au tour de la Boule stéphanaise d’accueillir ce championnat entre joueurs licenciés, déterminant en fin d’année qui monte ou pas dans la division supérieure.
La rencontre se tiendra au parc omnisports Youri-Gagarine sur le terrain stabilisé. Une vingtaine d’équipes de 2e et 3e divisions, soit près de 130 joueurs, vont s’affronter autour du cochonnet. « C’est une formule de jeu à six, précise Yann Pennec, président du club stéphanais. Deux joueurs s’affrontent en individuel, puis deux doublettes, et ensuite deux triplettes. »
Les points gagnés dans chaque phase se cumulent pour donner le résultat de l’équipe. Le club stéphanais, bien que modeste à l’échelle du comité départemental, assure l’organisation de la journée : « Ce sont des temps de rencontre intéressants, juge Yann Pennec. Et c’est moins coûteux qu’un tournoi où il faut fournir des primes aux gagnants. » Le club présente lui-même trois équipes.
La Boule stéphanaise participe aussi à un autre championnat, plus restreint mais tout aussi amical, qui rassemble quatre fois par an les clubs de Grand-Couronne, Petit-Couronne et Tourville-la-Rivière, « histoire de faire connaissance », résume Yann Pennec. Les rencontres se déroulent en doublette sur le terrain de la rue Charles-Péguy.
• Dimanche 6 octobre, de 9 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30, parc omnisports Youri-Gagarine.

N’en déplaise à Ouest-France, l’université normande est sur les rails !

A Caen, l’Alma mater des universités normandes, Mme Fioraso était en visite ce jeudi 3 octobre pour s’informer de l’avenir financier plutôt délicat de l’université de Caen mais aussi pour suivre de près les progrès de la future communauté universitaire normande qui s’apprête à accueillir de nouveaux établissements et qui va faire l’objet d’une contractualisation spécifique d’ici 2016 date à laquelle « Normandie Université » va enfin trouver une visibilité forte à l’échelle nationale…

Bref! c’est fou ce qu’on peut faire en Normandie pour l’avenir de la Normandie quand Alain Le Vern n’est plus là…

Reste à convaincre … Ouest-France qui, page 5 (pages « France » c’est à dire Grand Ouest ligéro-breton), a du mal à comprendre ce qui fait les réjouissances de la page… 6 (pages « Normandie ») : étrange et amusant !


université normande 1

Ouest-France qui rit… (en Normandie et c’est tant mieux!)


université normande 2

Ouest-France qui pleure… (à la page d’avant les pages « Normandie »)

La mise au point du préfet de Seine-Maritime à propos du dossier Pétroplus

La mise au point du préfet de Seine-Maritime à propos du dossier Pétroplus
Dans un long communiqué ce jeudi 3 octobre, en fin d’après-midi, le préfet de Seine-Maritime, Pierre-Henry Maccioni, fait une mise au point bien sentie à propos du dossier Pétroplus. Il rappelle en substance que «  la porte reste cependant ouverte à une éventuelle reprise, dans la mesure où le repreneur remplit les conditions et les garanties nécessaires à une reprise dans les règles, ce qui, à ce jour, n’est pas le cas ».
« C’est pourquoi », ajoute-t-il, « il faut ouvrir une autre page, tout faire pour un repositionnement industriel qui permettra de faire revivre le site de Petit-Couronne ».

Lire ici l’intégrailté du communiqu é.

Amazon.fr

Amazon en ligne de mire

Amazon est devenu l’ennemi public numéro 1depuis que cette entreprise propose en  ligne un
catalogue fourni de livres sans en majorer le prix par des frais de livraison dissuasif. Toutes les études sérieuses ont montré les conditions intolérables d’exploitation des personnes et l’usage
abusif de l’optimisation fiscale pour ne pas participer à l’économie des pays qu’elle submerge par un quasi-dumping permanent. Amazon est par essence une entreprise prédatrice qui vise
l’assèchement de la concurrence pour rétablir l’équilibre financier de sa branche livre.

 Ce n’est pourtant pas en obligeant les entreprises de vente en ligne à faire payer
les frais de port que la disparition des petites librairies sera freinée. Le mal est plus profond et l’Amazon n’est que l’arbre qui cache la forêt. La lecture du livre papier a été supplantée par
le Web et dans une moindre mesure par les liseuses numériques.

Le monde de l’édition est responsable de la désertification des librairies. En demandant entre autres aux libraires une avance sur trésorerie
et en y envoyant massivement des piles d’ouvrages inutiles et futiles. Un livre chasse l’autre sans qu’une sélection sérieuse n’ait été faite par l’éditeur. Demain les rayons seront remplis
d’ouvrages au titre fécond, mais au contenu stérile. Las de dépenser 15 euros pour de la littérature de gare, le consommateur a trouvé plus prudent de commander sur Amazon en lisant les
commentaires du net.

Amazon a le mérite d’amener à la lecture un public timide et peu à même de rentrer dans une librairie. Des petits éditeurs boudés ou oubliés
ont pu émerger sur le Web en évitant les grands distributeurs. Amazon n’est peut-être pas un modèle à suivre en termes de politique sociale, mais elle a amené sur le marché du livre un large
choix.

Ce n’est pas en reportant la responsabilité sur une entreprise de distribution que l’on réglera le vrai problème de la librairie de qualité en
France. Lisez, vous deviendrez liserons et fréquenterz naturellement les bonnes librairies de votre quartier

Igor Deperraz

Commencez à saisir votre recherche ci-dessus et pressez Entrée pour rechercher. ESC pour annuler.

Retour en haut