Bonne année 2014 !

Alexandre Canet, secrétaire de la section PS de Rouen, ainsi que l’ensemble des socialistes Rouennais, vous souhaitent une excellente année 2014 ! A toutes et à tous, nos voeux de bonheur et de santé vous accompagnent. Nous souhaitons également le meilleur pour notre ville et pour notre pays à l’aube de cette nouvelle année. Fier(…)

Bonne année 2014

Une année qui ne rime à rien ? C’est l’occasion de vous souhaiter de donner du sens à ce que vous faites. Et de la fête à vos sens
Cet article Bonne année 2014 est proposé par Sébastien Bailly sur Grand-Rouen.

Pour lire l’article complet, cliquez sur son titre

VOEUX 2014

Braysports Bonne et heureuse année 2014 BRAYSPORTS vous présente ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année, ainsi qu’à vos proches, qu’elle vous apporte bonheur, santé, joies familiales et réussites professionnelles. Je souhaite que  Braysports vous apporte toute satisfaction dans l’activité que vous […]

Notre groupe demande un débat en conseil municipal, sur le plan de déplacement urbain de l’agglomération

Le plan de déplacements urbains (PDU) est un outil de planification qui
définit pour les 10 ans à venir l’organisation des transports de personnes et
de marchandises, de la circulation et du stationnement à l’échelle de
l’agglomération.

Le projet de nouveau PDU a été adopté par le conseil de la CREA en juin
dernier et transmis aux communes pour qu’elles émettent leur avis dans les 3
mois, avant d’être soumis à enquête publique en cette fin d’année.

Même si la ville a laissé passer l’échéance administrative, notre groupe
souhaite que ce document, qui traite de sujets aussi essentiels pour les
habitants que le renforcement des transports en commun, l’organisation des
parkings-relais, le projet de la future gare de Rouen ou le développement des
aménagements cyclables, soit porté à la connaissance des élus et mis en débat
en conseil municipal.

Pascal Magoarou, Conseiller Municipal et Vice-Président de la CREA

Tribune du Mag de décembre 2013

Bonne et Heureuse Année 2014

Bonne et Heureuse Année 2014

Bonne et heureuse année à tous, que 2014 vous amène joie et succès pour vous et pour tous ceux que vous aimez sans oublier de faire le plein de bonne santé.

 

A vous qui me lisez régulièrement, un peu moins récemment mais l’inspiration est fragile parfois (souvenez vous « des pas » de Paul Valéry); quand au temps, il n’est pas toujours extensible, je souhaite pouvoir continuer à vous livrer mes réflexions et mon éclairage sur l’actualité politique nationale ou locale avec la même liberté de ton dont j’ai toujours fait preuve.

 

Que 2014 soit une année enrichissante pour chacun d’entre vous et que la vie vous soit meilleure.

 

Fred Marty – Ondes Primitives

L’album Ondes Primitives est l’histoire d’une double rencontre. Une récente, qui concerne le contrebassiste Fred Marty et le label Israëlien Kadima Collective, qui oeuvre tant pour les musiques improvisées et la circulation de la musique. On sait le label […]

Sainte-Mère-Église : Airborne gonfle la voilure !

Musée Airborne - Sainte-Mère-glise

Sainte-Mère-Église : Airborne gonfle la voilure !


  Extrait Patrimoine Normand N°88
Par Stéphane William Gondoin

Qui ne se souvient de la mésaventure de John Steel, ce para américain resté accroché au sommet du clocher de Sainte-Mère-Église, dans la nuit du 5 au 6 juin 1944 ? À deux pas de l’édifice mythique, immortalisé dans le film Le jour le plus long, le Musée Airborne ouvre ses portes en juin 1964, vingt ans après le Jour J. Il propose alors de découvrir un authentique planeur Waco, héros matériel de la plus impressionnante opération aéroportée de tous les temps. Vingt ans plus tard, en 1984, Airborne connaît sa première extension, offrant au public l’opportunité d’admirer un avion de transport US Douglas C47 Skytrain.
Pour dignement fêter le 70e anniversaire du Débarquement, le musée va connaître sa seconde extension. Un nouveau bâtiment ultra moderne de 1200 m² sera inauguré en juin prochain, avec 550 m² de salles immersives et 410 m² de hall d’exposition. Le visiteur sera notamment invité à monter à bord d’un avion C-47 dans la nuit du 5 juin, pour aller sauter en compagnie des paras sur la base du Cotentin. Il plongera ensuite dans les différentes phases des combats livrés autour de Sainte-Mère-Église, puis participera à la lutte dans les marais et à la prise des ponts. Une dernière salle enfin, l’entraînera dans la terrible bataille des haies. Dans le hall d’expo, il pourra suivre les ultimes développements de la bataille de Normandie et observer un Piper, avion léger de reconnaissance et de liaison, sur fond de mur d’images. Les ailes de la légende, donc..

Plus d’informations : 
http://www.airborne-museum.org/

 


Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
(n° 88, Janvier 2014)


Un christ en majesté découvert à l’archevêché de Rouen.

Photographie redressée du christ après son extraction

Un christ en majesté 
découvert à l’archevêché de Rouen


  Extrait Patrimoine Normand N°88
Texte et photos :  Erik Follain et Dominique Pitte.

L’aménagement d’un Historial Jeanne d’Arc dans une partie de l’actuel archevêché de Rouen a motivé l’intervention des archéologues de la Direction régionale des Affaires culturelles. L’ensemble des travaux est accompagné de sondages et d’études qui permettent de progresser dans la connaissance du palais archiépiscopal, du XIe au XVe siècle.

Sondage archéologique dans la cour de la Maîtrise ; le bloc est en réemploi dans la maçonnerie au centre de la fouille ( D. Pitte).
 

Dans l’emprise d’une cour, dite « de la Maîtrise », la création d’un bâtiment d’accueil a imposé, préliminairement, l’ouverture d’un sondage. Le lieu est particulièrement sensible puisque cette cour correspond partiellement à l’emplacement de la grande salle du palais, construite à la fin du XIIIe siècle par l’archevêque Guillaume de Flavacourt. De cette salle ne subsiste que le pignon percé d’une baie dominant la rue Saint-Romain. Un décapage a révélé l’amorce du mur ouest de la salle, mais aussi une puissante maçonnerie, en retrait de la rue actuelle, correspondant à l’enceinte du palais édifié vers 1100 par l’archevêque Guillaume Bonne-Âme. C’est dans ce mur qu’un bloc particulier a attiré l’attention.
Ce bloc de parement se distingue par ses dimensions (1,17 m x 0,50 m x 0,50m) et par l’emploi de la pierre de Caen ; elle contraste nettement avec le calcaire blanc de la vallée de la Seine, utilisé pour tous les autres moellons ou parpaings. La surface supérieure du bloc montrait également un côté noyé dans le blocage du mur dessinant une série de courbes. Pour ces motifs, nous avons procédé à l’enlèvement manuel de la maçonnerie. C’est ainsi qu’est apparu le bas-relief d’un personnage remarquablement bien conservé, à l’exception du visage martelé.

Le bloc sculpté en cours de dégagement ( E. Follain).
 

Un premier examen de la sculpture indique, par le traitement des drapés et par les proportions, la période romane. Une inscription, gravée sur un bandeau à droite de la tête (R et I, ainsi qu’un troisième caractère mutilé) reste en attente d’interprétation. La pose donnée au personnage est celle d’un christ en majesté : assis de face, le bras gauche vers le sol et le bras droit levé. C’est ce que révèlent les deux épaules figurant dans le bas-relief ; les bras se poursuivaient de part et d’autre sur d’autres blocs. La qualité de la sculpture, ses grandes dimensions et le lieu même de la découverte, suggèrent que ce christ provient du tympan du portail central de la cathédrale romane. Comme tel, c’est un témoignage unique de cet édifice remplacé par la cathédrale gothique.
Après son extraction et son enlèvement, le bas-relief a fait l’objet d’une restauration dans les ateliers Giordani. Spécialisée dans la restauration d’objets d’art, cette entreprise, basée à Rouen, officie depuis de nombreuses années en Haute-Normandie. Certains sels minéraux qui saturaient la pierre ont été traités en priorité. Le séchage du bloc a parallèlement pris plusieurs semaines. Un traitement mécanique s’est avéré nécessaire pour enlever les traces de mortier. Enfin la sculpture a été consolidée en collant fêlures et éclats.
Le christ en majesté a – presque – regagné son lieu d’origine, puisqu’il est maintenant exposé dans l’une des chapelles du collatéral nord de la cathédrale. Après des siècles d’enfouissement, ce document unique repose désormais sur un socle dans la chapelle Saint-Julien, où chacun peut ainsi admirer ce témoin de l’édifice disparu.

Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
(n° 88, Janvier 2014)


Le cheval et ses patrimoines.

le cheval et ses patrimoines

Au galop sur la toile


  Extrait Patrimoine Normand N°88
Par Stéphane William Gondoin

La Normandie est une terre de cheval et les pages que nous lui consacrons régulièrement dans nos colonnes, témoignent de ce lien profond entre notre région et l’univers équestre. Pour tout savoir sur ce compagnon privilégié des hommes, le ministère de la Culture et de la Communication vient de mettre en ligne un site Internet qui lui est entièrement dédié. C’est l’une des réalisations du programme de travail sur le thème « Le cheval et ses patrimoines », qui mobilise les meilleurs spécialistes et professionnels. Lancé en 2011, le projet est destiné à promouvoir une politique patrimoniale et à sensibiliser le grand public à l’histoire du cheval en France. 
Le site mobilise une vingtaine de contributeurs et fédère soixante institutions. Il a notamment bénéficié des partenariats de l’Institut français du cheval et de l’équitation (École française d’équitation – Cadre Noir de Saumur), de la Garde républicaine, ainsi que de l’École nationale vétérinaire d’Alfort (Musée Fragonard). Il aborde tous les aspects de la relation homme-cheval, depuis les représentations sur les murs des grottes, jusqu’aux animaux travailleurs forcés dans les mines ! Au fil des pages Web, on découvre un cheval tour à tour simple gibier sauvage, assistant domestique, guerrier sur les champs de batailles, outil de distinction et de prestige, sujet d’art… Des dizaines de milliers d’années d’aventure commune sont ainsi revisitées. Le tout servi par des textes de grande qualité et des photos époustouflantes. À recommander, même aux néophytes !

Plus d’informations : 


Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
(n° 88, Janvier 2014)


Mémorial de Caen : au cœur du Jour J !

Le bunker souterrain avec son nouveau parcours de visite  ( Mémorial de Caen).

Mémorial de Caen : au cœur du Jour J !


  Extrait Patrimoine Normand N°88
Par Stéphane William Gondoin

Inauguré le 6 juin 1988, le prestigieux Mémorial de Caen a ouvert en octobre dernier un nouvel espace à la visite. Et pas n’importe lequel, puisqu’il s’agit de l’ancien QG du Generalmajor Wilhelm Richter, commandant de la 716e division d’infanterie de la Wehrmacht, qui avait notament pour tâche de défendre le secteur côtier d’Omaha Beach. Sous la voûte de cette ancienne carrière creusée dans le calcaire, s’affairaient à la veille du Débarquement des dizaines de téléphonistes et de secrétaires, recueillant les rapports des bunkers de la côte et leur transmettant les ordres. Là, sans doute, un opérateur fébrile entendit résonner dans son casque le fameux  « Sie kommen », « ils arrivent ». 
Autrefois consacrée au prix Nobel, la galerie est aujourd’hui réaménagée autour de trois thématiques principales : l’occupation allemande en Normandie, la résistance contre l’occupant et l’organisation de la défense allemande. Comme un symbole, la visite s’achève par cette phrase tirée du célèbre Journal d’Anne Frank, datée du 6 juin 1944 :  « Cette année, l’année 1944, va-t-elle nous offrir la victoire ? Nous n’en savons rien, mais l’espoir nous fait vivre, il nous redonne courage, il nous rend plus forts. » Si vous ne connaissez pas encore le Mémorial, c’est une raison supplémentaire pour vous y rendre. Si vous le connaissez déjà, c’est un motif pour y retourner. Mais avons-nous vraiment besoin d’un prétexte pour voir et revoir cet incontournable lieu de mémoire ?

Plus d’informations : 

 


Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
(n° 88, Janvier 2014)


Commémorations 2014 : n’oublions pas 14-18 !

première guerre mondiale

Commémorations 2014 : n’oublions pas  14-18 !


  Extrait Patrimoine Normand N°88
Par Stéphane William Gondoin

En première ligne lors de la Seconde Guerre mondiale, le sol normand a en revanche été relativement épargné lors de la Grande Guerre. En France, les combats meurtriers se sont essentiellement déroulés sur les plaines de Flandre ou de la Somme, dans le massif d’Argonne, la vallée de la Meuse ou à la frontière de l’Alsace-Lorraine. Les Normands ont cependant payé un lourd tribut à la victoire, en allant mourir en masse dans les tranchées aux côtés de leurs frères d’armes bretons, occitans, savoyards…
C’est d’abord pour rappeler ce sacrifice que tous les départements de notre province s’impliquent cette année dans l’organisation d’expositions ou d’événements commémoratifs de premier plan. Placés sous l’égide de la Mission Centenaire 14-18, les Comités départementaux du Centenaire proposent de multiples manifestations. Celles qui présentent un intérêt historique ou scientifique, reçoivent un label leur permettant de bénéficier d’une bonne visibilité à l’échelon national. Les différents services d’archives sont bien sûr impliqués dans l’affaire et leurs riches collections mises à contribution. Mention particulière à Sainte-Adresse (Seine-Maritime), siège du gouvernement belge en exil entre octobre 1914 et novembre 1918, qui devrait recevoir la patrouille de France.

Tout savoir sur le centenaire 


Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
(n° 88, Janvier 2014)


Le paquebot France fait escale en Rhône-Alpes.

Paquebot France

Le paquebot France
fait escale en Rhône-Alpes


  Extrait Patrimoine Normand N°88
Par Stéphane William Gondoin

Depuis le 4 octobre dernier et jusqu’au 28 février 2014, le musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne (Loire) propose une exposition temporaire intitulée “ Paquebot France, Design embarqué ”. La manifestation stéphanoise présente d’abord les principales innovations industrielles mises en œuvre pour la construction du dernier des grands transatlantiques français. Elle s’intéresse notamment à l’utilisation nouvelle de matériaux déjà bien connus, comme l’aluminium, la fibre de verre ou le rilsan (fibre synthétique obtenue à partir de l’huile de ricin), pour l’aménagement et la décoration de ce géant des mers. Elle s’attache ensuite à restituer l’ambiance et le mode de vie à son bord, en proposant aux visiteurs de découvrir différents objets emblématiques : menus, vaisselle, œuvres d’art, pièces de mobilier et même… le costume du commandant de bord ! Tout cela nous rappelle que France fut en son temps l’ambassadeur des savoir-faire hexagonaux, un îlot artificiel créé par le génie humain pour emporter sur les océans un peu de l’art de vivre à la française.

Cette exposition exceptionnelle s’appuie sur les vastes collections de l’association French Lines, fondée en 1995, dont le siège social est basé au Havre, qui a pour mission de sauvegarder et de valoriser le patrimoine des compagnies maritimes françaises. L’organisation d’un tel événement aussi loin des côtes normandes, montre à quel point l’ultime liner naviguant sous pavillon tricolore a marqué les esprits de tout un pays. Si le paquebot n’existe plus aujourd’hui, il fait encore rêver et demeure profondément ancré dans la conscience collective comme un emblème de la France des Trente Glorieuses. Mis à mal par l’essor du trafic aérien, il sera comme un symbole terrassé par le premier choc pétrolier, annonciateur de bien des crises futures. 

Si vos pas vous emmènent du côté de la vallée du Rhône, n’hésitez-pas à faire un crochet par les contreforts des monts du Forez. On y respire pour quelques mois le souffle du grand large !  

Tous renseignements sur le site l’association French Lines
(rubrique “ actualités ”) : www.frenchlines.com
et sur celui du musée d’Art et d’industrie de Saint-Étienne : www.musee-art-industrie.saint-etienne.fr

Retrouvez l’article intégral dans la version papier de Patrimoine Normand
(n° 88, Janvier 2014)


Nouvelle année

Jean-Guy LECOUTEUX,
le conseil municipal,
le conseil municipal des enfants,
l’ensemble du personnel communal

vous présentent leurs meilleurs voeux pour 2014

et vous invitent à la cérémonie des voeux,
vendredi 10 janvier 2014, à 18h30,
à la salle Jacques Anquetil (salle des sports),
rue des Canadiens à Belbeuf.

Nouvelle année

Commencez à saisir votre recherche ci-dessus et pressez Entrée pour rechercher. ESC pour annuler.

Retour en haut