Auteur/autrice : Paris-Normandie

Les communications à bord du vol MH370 disparu il y a une semaine ont été désactivées, son changement de trajectoire est l’oeuvre d' »une action délibérée » par une personne dans l’avion et l’appareil a continué de voler près de sept heures, a annoncé samedi la Malaisie.

Sur l’A131, le samedi 21 septembre dernier, la scène dont doit répondre en correctionnelle un homme de 26 ans, est aussi inexplicable qu’effrayante. « On est à la limite du comportement criminel », estime Maître Hugues Lenormand, pour l’une des trois victimes parties civiles.

Les gendarmes de la compagnie de Rouen ont interpellé mercredi trois jeunes individus, soupçonnés d’être les auteurs d’une série de vols par effraction intervenue fin octobre. Du 24 au 27 octobre, sept entreprises ont été cambriolées : un local de la Crea à Duclair, un site d’ERDF à La Vaupalière et cinq sociétés installées dans la Zone artisanale et commerciale du Rochet à Isneauville.

Une Dieppoise de 52 ans, Laurence Wattrelos, et ses deux enfants, Hadrien et Ambre, âgés respectivement de 17 et 14 ans, se trouvaient dans le Boeing 777 de la compagnie aérienne Malaysian Airlines, disparu depuis samedi dernier, à 1 h 30 du matin (18 h 30, vendredi, heure française).

Les recherches pour l’avion de Malaysia Airlines se sont étendues à l’Océan indien vendredi, après de « nouvelles informations » citées par la Maison Blanche suggérant que l’appareil a continué de voler pendant plusieurs heures après sa disparition des écrans radar il y a six jours.

« D’après ce que je comprends, sur la base de nouvelles informations, pas nécessairement concluantes, mais nouvelles, la zone de recherches serait élargie à l’Océan indien », a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney.

S’il a osé faire un bras d’honneur au passage d’une patrouille de police, le prévenu âgé de 18 ans n’a pas les épaules suffisamment larges pour assumer totalement à l’audience son comportement d’« outrages et rébellion ». À chaque interrogation de la juge, il minimise les faits.

L’affaire, en janvier 2013, avait fait grand bruit à Rouen et bien au-delà : à la suite d’une erreur humaine, environ 272 kg de mercaptan s’étaient échappés dans l’atmosphère, déclenchant un nuage malodorant ressenti jusqu’à Paris et dans le sud de l’Angleterre, des milliers d’appels vers les services de secours, 60 interventions de pompiers pour des suspicions de fuites de gaz et des dizaines de cas de nausées et de vomissements.

Les mains posées sur la barre du tribunal correctionnel du Havre, ce mercredi, l’homme de 33 ans s’épanche et tente d’expliquer l’inexplicable. Avoir secoué son bébé âgé de seulement deux semaines. Avant de récidiver deux mois plus tard, à la sortie de l’hôpital de l’enfant. « Je n’ai pas supporté les pleurs de mon fils. J’étais moi-même pas bien dans ma peau », répond l’homme au crâne rasé et à la chemise cintrée.

Huit logements détruits, une banque inutilisable pour de longs mois, plus d’électricité, circulation arrêtée et commerces fermés : en plus d’une grosse frayeur, l’incendie qui s’est déclaré jeudi matin dans le centre-ville d’Étrépagny dans l’Eure a causé de lourds dégâts.

Les autorités malaisiennes ont démenti jeudi que le Boeing 777 de Malaysian Airlines ait poursuivi sa course pendant plusieurs heures après la perte de contact samedi matin, contrairement à des informations de presse.

Les larges objets flottants détectés par un satellite chinois ne sont pas les débris du vol MH370, a ajouté le ministre malaisien des Transports, Hishammuddin Hussen, lors d’une conférence de presse.

Les avions partis à la recherche de grands objets flottants repérés par un satellite chinois dans la zone où s’est volatilisé le Boeing 777 de Malaysia Airlines n’ont rien trouvé jeudi, tandis que le mystère s’épaissit autour du vol MH370.

Aucun débris n’a été repéré dans la zone concernée, en mer de Chine méridionale, entre la Malaisie et le Vietnam, ont indiqué les autorités vietnamiennes et malaisiennes, qui avaient dépêché des appareils sur place.

Un satellite chinois a repéré en mer des objets flottants, peut-être les débris du Boeing 777 disparu il y a cinq jours après son décollage de Kuala Lumpur, un nouvel indice dans l’une des catastrophes les plus mystérieuses de l’aviation moderne.

Le Vietnam a cependant indiqué que ses avions, deux AN-26, dépêchés jeudi matin, n’avaient pas repéré de débris dans la zone concernée, en mer de Chine méridionale, entre la Malaisie et le Vietnam.

Le Safmarine Linyati, un porte-conteneurs pouvant transporter jusqu’à 12 000 tonnes de marchandises, s’est échoué, hier matin, vers 10 heures, à hauteur de la commune du Trait (Seine-Maritime), dans le canton de Duclair. Ce navire de 140 mètres de long et 20 mètres de large, spécialisé dans le transport commercial de marchandises notamment avec les ports d’Afrique de l’Ouest, est resté immobilisé sur la Seine, à proximité du bac de Yainville.

Le crâne totalement rasé, de taille et de carrure moyenne, Abdoul-Aziz, 18 ans, est présenté en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel du Havre, hier à 13 h 30. Il doit répondre de 8 agressions de jeunes femmes, perpétrées depuis le 16 août, dans l’agglomération du Havre. « Pour l’essentiel, il s’agit de vols à l’arraché de téléphones portables », indique le président. Six dossiers similaires seront jugés par le tribunal pour enfants, à la suite d’agressions antérieures au 21 juillet, date de sa majorité.

Seule survivante de la sortie de route d’une Renault Clio sur l’A 131, à Saint-Aubin-sur-Quillebeuf, dans l’Eure, mardi (nos éditions d’hier), une adolescente âgée de 14 ans restait hier « dans un état très grave », indiquait la directrice du cabinet du préfet de l’Eure, Pascale Pin, qui s’était rendue sur les lieux de l’accident. « Son pronostic vital « est toujours engagé », à l’hôpital Charles-Nicolle de Rouen, précisait hier mercredi le procureur adjoint d’Évreux, Yves Dupas.

Les images de la caméra de vidéosurveillance du Yacht-club du Tréport, enregistrées en cet après-midi du 15 décembre 2012, sont terrifiantes et glacent le sang. Elles ont été diffusées lors de l’audience du tribunal correctionnel, mardi après-midi, à Dieppe. Sur l’écran, on voit le plaisancier, Bruno Fummi, 57 ans, médecin généraliste à Saint-Pierre-en-Val, qui s’approche de son bateau à moteur, le Marlin Bleu, déposé sur deux bers.

Un satellite chinois a repéré en mer des objets flottants, peut-être les débris du Boeing 777 disparu il y a cinq jours après son décollage de Kuala Lumpur, un nouvel indice dans l’une des catastrophes les plus mystérieuses de l’aviation moderne.

La Malaisie, très critiquée pour sa gestion de la crise, a envoyé un avion au-dessus de la zone en question, en mer de Chine méridionale, entre la Malaisie et le Vietnam.

Une fuite de gaz est à l’origine de l’explosion suivie de l’effondrement de deux immeubles à New York mercredi qui a fait deux morts et 18 blessés, a affirmé le maire Bill de Blasio, selon lequel « de nombreuses personnes » sont encore portées disparues.

« Aujourd’hui, à environ 9H30 (13H30 GMT), une importante explosion a détruit deux immeubles. Cette explosion a été provoquée par une fuite de gaz », a dit M. de Blasio lors d’une allocution sur les lieux du sinistre à East Harlem, dans le nord de Manhattan.

Il se surnommait lui-même « le prédateur du tramway » ou « le chasseur des bus », selon une source policière : un Havrais de 18 ans, domicilié dans le quartier de la Mare-Rouge, sera présenté aujourd’hui en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel du Havre, à 13 h 30, pour « une multitude de vols aggravés », confirme une source judiciaire.

Le parquet de l’Eure a ouvert une information judiciaire hier pour homicide involontaire avec circonstances aggravantes (alcoolémie) et délit de fuite à l’encontre d’un Eurois de 36 ans qui a causé la mort d’un motard, dimanche, à Fresne-l’Archevêque (nos éditions de lundi). Placé en garde à vue depuis les faits, cet habitant de la région a été présenté hier devant un juge d’instruction de l’Eure.