Après avoir acheté auprès d’un particulier un véhicule Renault Scenic d’occasion, la famille havraise « a dû le remettre aux services de police. Elle s’est retrouvée sans voiture du jour au lendemain », décrit son avocat à l’audience du tribunal correctionnel. Elle a ainsi appris à son détriment que le véhicule était une goutte d’eau dans un trafic de voitures volées puis maquillées, entre 2008 et 2011.
L’employée d’une préfecture était complice