Syndicalisme ou actes politiciens
De nombreux ouvriers ne font plus confiance aux politiciens, et ils ont raison. Le mot trahison revient comme un leitmotiv. Gauche et droite, c’est du pareil au même…encore vrai, toujours vrai !
Pour autant ceux qui disent « pour changer, on va voter Marine Le Pen » se trompent.
Les « Le Pen », on connaît, c’est la retraite le plus tard possible, la remise en cause du droit de grève, des syndicats…C’est notre liberté qui est en jeu quand on laisse les néo-fascistes s’occuper de nos affaires. Et les gros rupins, même sous régime fasciste, s’en tireront toujours…
Le problème des prolos, c’est qu’ils ont besoin de médiums…des gugus pour intercéder en leur faveur…délégation de pouvoir que tout cela…on fait un chèque en blanc à d’autres politiciens…et ça recommence !
Les cocos hier, puis les faschos aujourd’hui…mais rien de nouveau sous le soleil : une seule solution, si ce n’est la révolution, c’est au moins prendre ses affaires en main. Se bouger et prendre ses responsabilités. Si on laisse les politiciens faire, ils agiront dans le sens de leurs ambitions et intérêts.
Alors, bats-toi ! Ne te résigne pas ! Lis, instruis-toi…échange avec des syndicalistes dignes de ce nom. Pas des politiciens déguisés en syndicalistes new-look !
Rejoins la CNT ! Aucune attache partisane ! Aucune subvention et on est tous au boulot, comme toi. Alors, contacte-nous. Ensemble, sans les pourris, on peut faire avancer la cause des opprimés, des salariés, des jeunes et des chômeurs.
Tous et toutes au combat avant qu’ils ne nous anéantissent.
Au syndicat, tout le pouvoir !
