Selon l’annonce officielle faite jeudi soir par les autorités, quelque 651 détenus politiques devaient quitter leur geôle dans les 22 prisons du pays. En l’absence de liste, un décompte au cas par cas reste à faire. Le geste n’est demeure pas moins sans précédent et illustre une nouvelle étape de l’ouverture engagée il y a un an par la junte militaire birmane.