Un assaut des forces nigériennes et françaises a tué vendredi à Agadez les derniers islamistes impliqués dans l'un des deux attentats-suicides ayant fait la veille une vingtaine de morts dans le nord du Niger.
Donné pour mort par le Tchad, le jihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar a revendiqué les attaques de jeudi, les premières du genre au Niger, qui ont visé l'armée nigérienne à Agadez et le site d'uranium du groupe nucléaire français Areva à Arlit, à plus de 200 kilomètres au nord. Il a menacé de frapper encore le Niger ainsi que les autres pays engagés au Mali.