La cas du juge Jean-Michel Gentil, chargé du dossier Bettencourt, suscite des divergences entre le parquet général de la Cour de cassation, qui préconise son dessaisissement, et le parquet de Bordeaux, qui souhaiterait voir le magistrat aller au bout de l’instruction.
Lors de l’examen par la plus haute juridiction française, cet après-midi, d’une requête en dessaisissement, l’avocat général de la Cour de cassation, Gilles Lacan, doit préconiser un nouveau dépaysement de l’affaire, qui a déjà été exilée de Nanterre à Bordeaux en novembre 2010.