GRANDIR À MAROMME – GARANTIR À CHAQUE ENFANT LE MEILLEUR :
Enfants et jeunes grandissent aujourd’hui dans une société précarisée, soumise aux ravages de la concurrence, de l’individualisme. Quel travail auront-ils, quelle place trouveront-ils dans la société que sera leur avenir ? Ces questions taraudent chaque famille. Les inégalités d’accès à l’éducation, à la culture, sont une des sources des inégalités sociales que nous combattons. Les réduire et donner à chaque enfant toutes les chances de réussir, voilà un objectif incontournable pour une municipalité de gauche.
Or en 6 ans le budget consacré par la Ville à l’éducation a reculé de 7% tandis que, malgré la légitime résistance des enseignants et des parents, les dotations horaires du collège, des lycées, subissaient les coupes claires des politiques d’austérité.
Tout en participant activement aux luttes globales pour la démocratisation de l’éducation et la défense de l’école, nous développerons localement les actions pour faire reculer les inégalités et offrir à chaque enfant tous les moyens de s’éduquer, de se cultiver, de s’épanouir et d’être demain un adulte capable de conduire sa vie, de comprendre le monde dans lequel il vit, d’exercer pleinement une citoyenneté active.
Priorité à l’éducation : alors qu’aujourd’hui l’Etat compte chichement ses moyens, veut étendre l’austérité aux communes et aux collectivités, nous réaffirmons solennellement notre volonté de faire de l’éducation une priorité.
► Nos engagements :
→ La promotion de la lecture : la liaison écoles-bibliothèque, actuellement rompue doit être rétablie.
→ Le renforcement de l’ouverture culturelle pour donner à chaque enfant les clés pour comprendre le monde et le transformer.
→ Il faut revoir, dans le cadre d’une concertation, l’organisation du temps périscolaire et y associer le milieu associatif, actuellement tenu à l’écart, l’école de musique. En exclure, comme l’a fait l’actuelle municipalité, les enfants dont un des parents ne travaille pas, c’est une discrimination à l’encontre des moins favorisés à laquelle nous mettrons fin.
→ Les familles les moins à l’aise dans la relation avec le système scolaire sont souvent les plus démunies face aux procédures d’orientation à l’issue du collège, nous développerons un travail partenarial sur la relation des familles à la scolarité.
→ Nous serons vigilants sur la pérennité des moyens attribués aux écoles ( fournitures, sorties scolaires, intervenants sportifs et musicaux ).
→ Les nouvelles technologies doivent être développées dans une démarche concertée avec les utilisateurs : attribuer aux écoles des chariots mobiles équipés d’ordinateurs et supprimer les salles informatiques sans vérifier au préalable s’ils répondent au mieux aux besoins des écoles ou compliquent les choses, puis refuser l’intervention du technicien de la Ville pour opérer les mises à jour indispensables comme cela a été fait n’est pas la bonne méthode.
