Contes & légendes de Normandie
Guillaume Néel nous conte, dans son ouvrage, le patrimoine normand qu’il fait revivre à travers les histoires des goublins.
Mais qui sont ces goublins ? Dans le pays …
Archives de Seine-Maritime.info
Archives de SMI de 2007 à 2014
Contes & légendes de Normandie
Guillaume Néel nous conte, dans son ouvrage, le patrimoine normand qu’il fait revivre à travers les histoires des goublins.
Mais qui sont ces goublins ? Dans le pays …
Extrait Patrimoine Normand N°91 Par Stéphane William Gondoin |
La Normandie n’a pas subi directement sur son sol les combats de la guerre 14-18. Mais comme chaque région de France, elle lui a payé un très lourd tribut humain (voir Patrimoine Normand N° 76, La Normandie dans la Grand Guerre »), engloutissant une partie de sa jeunesse sur tous les fronts, depuis les plaines de Flandre jusqu’aux Dardanelles. On se souviendra également du rôle particulier joué par la commune de Sainte-Adresse (voir Patrimoine Normand N° 90, Sainte-Adresse « Bruxelles normande »), devenue pour quatre ans capitale du royaume de Belgique. Les archives familiales des Normands regorgent donc de lettres, de photos, de documents en tout genre, qui témoignent de la rudesse d’un temps où la vie d’un être humain ne valait guère plus que celle d’une balle de fusil. D’innombrables pièces, souvent uniques, ont donc été portées dans les services départementaux d’archives ou dans les bibliothèques municipales, pour y être numérisés et constituer une base de documentation dans laquelle chacun peut aller puiser. Le projet a connu un développement européen, avec des initiatives similaires menées en Grande-Bretagne, en Allemagne, en Italie… Au total, neuf pays ont participé et le fruit d’une partie de la récolte est d’ores et déjà en ligne sur le site Internet Europeana : http://www.europeana1914-1918.eu/fr.
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Extrait Patrimoine Normand N°91 Par Stéphane William Gondoin |
La Normandie n’a pas subi directement sur son sol les combats de la guerre 14-18. Mais comme chaque région de France, elle lui a payé un très lourd tribut humain (voir Patrimoine Normand N° 76, La Normandie dans la Grand Guerre »), engloutissant une partie de sa jeunesse sur tous les fronts, depuis les plaines de Flandre jusqu’aux Dardanelles. On se souviendra également du rôle particulier joué par la commune de Sainte-Adresse (voir Patrimoine Normand N° 90, Sainte-Adresse « Bruxelles normande »), devenue pour quatre ans capitale du royaume de Belgique. Les archives familiales des Normands regorgent donc de lettres, de photos, de documents en tout genre, qui témoignent de la rudesse d’un temps où la vie d’un être humain ne valait guère plus que celle d’une balle de fusil. D’innombrables pièces, souvent uniques, ont donc été portées dans les services départementaux d’archives ou dans les bibliothèques municipales, pour y être numérisés et constituer une base de documentation dans laquelle chacun peut aller puiser. Le projet a connu un développement européen, avec des initiatives similaires menées en Grande-Bretagne, en Allemagne, en Italie… Au total, neuf pays ont participé et le fruit d’une partie de la récolte est d’ores et déjà en ligne sur le site Internet Europeana : http://www.europeana1914-1918.eu/fr.
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Par Stéphane William Gondoin |
RÉSUMÉPour retracer l’histoire des Vikings, un peuple redoutable et redouté, qui a fait trembler le monde entre le VIIIe et le XIe siècle, Patrick de Carolis entreprend un périple qui débute en Norvège, à Oslo et son palais royal, où il rencontre Harald V, descendant de la grande lignée de rois vikings. Le journaliste poursuit son exploration dans le comté de Vestfold et dans le Sognefjord, avant de se rendre sur les côtes normandes, que les Vikings ont écumées, mais où ils ont aussi laissé des vestiges insoupçonnés. Le voyage s’achève en Sicile, dans les pas de ces Vikings devenus Normands, en visitant notamment les villes de Melfi et Salerne. A LIRE› Colonisation de la Normandie par les Vikings |
Le parler normand
Indispensable pour lire et écouter les poèmes chantés par Théo ! Pilier de Magène et enseignant de la langue normande dans un collège de la…
Extrait Patrimoine Normand N°91 Par Stéphane William Gondoin |
Les Jeux Équestres mondiaux sont maintenant achevés. Mais le cheval, « la plus noble conquête que l’homme ait jamais faite », comme aimait à l’écrire le naturaliste Buffon, n’en quitte pas pour autant le paysage normand. Fortement lié à l’identité même de notre région, célèbre dans le monde entier pour ses haras et sa tradition d’élevage, le bel animal continue de galoper sur… les cimaises du musée de Normandie, à Caen ! L’exposition temporaire intitulée Équitations. L’art et la manière de monter à cheval, XVIe-XXe siècles entend montrer l’évolution du sport équestre au fil du temps et « tisser un lien entre la fascination millénaire pour le cheval, le passé fastueux de l’équitation française et la renommée de la Normandie comme terre de cheval. » Tout un programme ! Et en même temps, puisque c’est là le thème de notre dossier trimestriel, profitez-en pour aller voir les collections antiques permanentes du musée.
Équitations. L’art et la manière de monter à cheval, XVIe-XXe siècles Jusqu’au 11 novembre 2014 9h30-18h tous les jours (sauf le 1er novembre) Entrée : 5.20 € (TR 3.20 €). Pass muséo musée de Normandie-musée des Beaux-Arts : 7.20 (TR 5.20 €). Entrée libre pour les moins de 26 ans et les abonnés Pass/murailles. Entrée libre pour tous le 1er dimanche de chaque mois (Horaires et tarifs sous réserve). http://musee-de-normandie.caen.fr/
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Découverte d’un pré-Néandertalien en Normandie :
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Reportage photo et texte Stéphane William Gondoin. |
À partir du mois d’octobre 1914 et pour quatre années, Sainte-Adresse accueille le gouvernement de la Belgique en exil. Le dossier du numéro 90 de notre magazine, encore en kiosque jusqu’au 10 octobre, est consacré à l’histoire de cette cité balnéaire et au rôle joué durant les hostilités. Pour célébrer le centenaire de l’arrivée des Belges au Havre et à Sainte-Adresse, la pointe de Caux a mis les petits plats dans les grands. Sa Majesté le roi Philippe de Belgique est venu en personne assister aux commémorations du samedi 4 octobre 2014, avec au programme de sa visite officielle une réception à l’hôtel de ville par M. Hubert Dejean de La Bâtie, maire de la commune, une revue militaire, des inaugurations de plaques à Sainte-Adresse et au Havre, une promenade impromptue sur la plage et un déjeuner. M. Kader Arif, secrétaire d’État aux Anciens Combattants, représentait le gouvernement français. Une occasion unique de célébrer l’amitié franco-belge et la paix en Europe. Le tout encadré par un dispositif de sécurité impressionnant.
Le public a largement participé à la fête, le Roi se montrant très disponible, très abordable, venant volontiers saluer petits et grands. La Patrouille de France était également de la partie. À noter aussi, la présence de deux groupes de reconstitution historique, un français et un belge (We’ll remember Pops), en costumes d’époque. Sur la plage du Havre enfin, une rame de tramway datant du début du XXe siècle apportée d’un musée bruxellois, où se tenait un bureau postal temporaire avec cachet philatélique spécial. Un beau week-end pour la Normandie, une fois de plus cette année sous le feu des projecteurs. Après les commémorations du 6 juin et de la bataille de Normandie, les Jeux Équestres mondiaux, les championnats du monde de Kayak… 2014, une année indiscutablement… normande !
À noter également que les archives municipales du Havre viennent de mettre en ligne tous les numéros du quotidien Petit Havre pour la période 1914-1919. |
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Le cheval en Normandie
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Maisons de Normandie
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BD Guillaume – Bâtard et conquérantSi plusieurs bandes dessinées ont été consacrées à Guillaume et, surtout, à la fameuse bataille d’Hastings, aucun opus complet sur le sujet n’est paru depuis 1986. Il était temps de combler ce manque. Ainsi, la vie de Guillaume se déroule sous la forme d’une succession de bandes dessinées ponctuées des monologues du personnage sur son lit de mort : Guillaume nous éclaire sur d’autres aspects de son histoire, faisant ainsi le lien entre ces moments forts. Ce discours narratif, validé par un historien, est complété par des éléments de cartographie et une généalogie à visée pédagogique présentée en marge de l’ouvrage. Cette adaptation originale et la qualité graphique de la maquette, alliée au talent du dessinateur Borja, font de cette BD un ouvrage de référence. Jeunes et moins jeunes pourront ainsi (re)découvrir en famille la fabuleuse épopée de Guillaume le Conquérant. Par Borch et Jean-François Miniac – 80 pages (Éditions OREP). |
Extrait Patrimoine Normand N°91 Par Stéphane William Gondoin |
Avec deux événements à dimension planétaire organisés la même année, commémorations du 70e anniversaire du Débarquement et Jeux Équestres mondiaux, la Normandie pouvait espérer tirer son épingle du jeu en matière de tourisme en 2014. D’ores et déjà, le bilan de la saison s’annonce positif, avec des records de fréquentation pulvérisés pour de nombreux sites et musées. 1,25 millions de visiteurs, par exemple, ont sillonné les allées verdoyantes du cimetière américain de Colleville-sur-Mer au 31 juillet, soit autant que pour toute l’année 2013. On a compté 50 % de visiteurs en plus au Mémorial de Caen et au cinéma circulaire d’Arromanches en juillet et en août, par rapport aux mêmes mois de 2013. Constat identique au Mémorial de Montormel, consacré aux derniers combats de la bataille de Normandie, avec davantage de visiteurs sur les premiers mois de l’année 2014, que pour toute l’année 2004. On a même pu observer des retombées dans des lieux plus éloignés, et sans lien direct avec les événements de l’été 1944, comme au musée de la Dentelle d’Alençon. Toute la Normandie a donc profité, directement ou indirectement, non seulement d’une météo peut-être plus clémente qu’ailleurs en juillet, mais surtout d’une exposition médiatique exceptionnelle. |
Extrait Patrimoine Normand N°91 Par Stéphane William Gondoin |
Dans les premiers mois de l’année 1431, Jeanne d’Arc est jugée à Rouen au cours de deux procès retentissants, qui la conduisent finalement au bûcher. Trois lieux essentiellement se rattachent au souvenir de l’épopée johannique dans la ville : la tour appelée « Le Donjon », près de la gare ferroviaire, principal vestige du château du Bouvreuil, au rez-de-chaussée duquel on lui montra les instruments de torture ; la place du Vieux-Marché, où elle fut suppliciée ; le palais archiépiscopal, situé juste derrière la cathédrale, où se tinrent certaines séances de ses procès. Sa mémoire fut réhabilitée dans ce dernier lieu, en 1456, après une ultime procédure judiciaire. C’est entre les murs vénérables de ce palais archiépiscopal, que la CREA (Communauté d’Agglomération Rouen Elbeuf Austreberthe) a décidé d’aménager un espace entièrement dédié à la Pucelle d’Orléans. Un cadre rénové et restauré pour l’occasion, où le visiteur se familiarisera avec l’histoire de Jeanne, mais aussi avec « l’histoire de son histoire ». Sa perception a en effet beaucoup évolué au fil des siècles, depuis la figure dépeinte par les auteurs de son temps jusqu’à l’héroïne de la IIIe République, en passant par l’illuminée mise en scène par Voltaire. Autour d’une destinée aussi extraordinaire ont également prospéré d’innombrables mythes, contestant tantôt la mort de la jeune Lorraine sur un bûcher, tantôt son appartenance même à la gent féminine… Pour un budget total de 10,6 millions d’euros, dont 8,6 consacrés à la seule restauration du palais, Rouen entend ainsi rendre hommage et justice à l’un des personnages emblématiques de la ville, tout en se dotant d’un outil capable de rassasier la soif de connaissance de ses visiteurs venus des quatre coins du globe. Ouverture prévue en janvier 2015. Tous renseignements : http://www.la-crea.fr/historial-jeanne-d-arc-de-la-crea |
Le 4 octobre 2014, Sainte-Adresse commémorera le Centenaire de la Première Guerre Mondiale ainsi que la présence du gouvernement belge en Normandie durant la Grande Guerre. A la suite de l’invasion allemande le 4 août et alors qu’une très grande partie du territoire national est occupée, le Gouvernement belge est contraint de prendre la décision de l’exil. En accord avec les Autorités françaises, c’est la ville de Sainte-Adresse qui est retenue pour l’accueillir. Située près du Havre, disposant d’édifices pouvant abriter le gouvernement belge en exil et son administration, la ville offre des conditions d’accueil opérationnelles.
Dès le 13 Octobre 1914, deux navires entrent au port du Havre, avec à leur bord, les membres du Gouvernement Belge. La ville de Sainte-Adresse, située aux portes du Havre devient le siège du Gouvernement belge. Durant la période de la guerre 14-18, la petite ville est ainsi transformée en véritable siège des autorités belges avec une intendance et une logistique capable de restituer une maitrise des affaires courantes de la Belgique envahie. Le gouvernement belge et les fonctionnaires, occupent plusieurs bâtiments officiels. La poste et les télégraphes sont opérationnels dès le 18 Octobre 1914. La poste belge va connaître un essor important pour la correspondance officielle mais aussi le courrier vers le front de l’Yser et les camps de prisonniers en Allemagne et en Hollande…Une boîte aux lettres au pied du bâtiment existe toujours à l’heure actuelle aux couleurs de la poste belge. Le 21 juillet 1918, date de la fête nationale belge, le gouvernement belge décida d’organiser un accueil solennel au Lieutenant-Général Leman, héros de la résistance de Liège en août 1914, libéré de 40 mois de captivité en Allemagne.
Devant le Ministère des Affaires Etrangères Belge à Sainte-Adresse, un salut au drapeau lança une journée de réception officielle en l’honneur du général. Programme du samedi 4 ocotobre
Commémoration du centenaires 10 h : Arrivée des délégations officielles – Aéroport d’Octeville-sur-Mer Communiqué du 30/09/2014 de l’Ambassade de France à Bruxelles. |
Feuilleter Patrimoine Normand N°91
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Par Thierry Georges Leprévost |
À la fin, ce sont toujours les Allemands qui gagnent. Du moins en dressage. Il faut dire que, depuis le temps, ils ont façonné la discipline à leurs us et coutumes, et qu’elle doit plus à l’équitation de l’armée prussienne qu’à celle de François Robichon de la Guérinière ou du Cadre Noir de Saumur.
Toujours est-il que ces deux jours d’affrontement des équipes lundi et mardi ne laissaient aucun espoir aux Français de monter sur le podium. Au moins, cette année, la FFE avait-elle pu constituer une équipe en dressage, ce qui n’a pas été toujours le cas. Malgré la qualité de leurs prestations, nos cavaliers n’ont pas pu faire mieux que 11e, loin derrière… les Allemands qui remportent l’or, les Britanniques, l’argent, et les Néerlandais, le bronze.
Deux Français ont pu toutefois s’aligner mercredi à l’épreuve individuelle du Grand Prix Spécial : Marc Boblet et Arnaud Serre. L’un se classe 23e, l’autre 26e. Et le vainqueur est… Une Anglaise, une fois n’est pas coutume ! Charlotte Dujardin, britannique comme son nom ne l’indique pas. Rassurez-vous, les Allemands ne sont pas loin : Helen Langehanenberg et Kristina Sprehe, respectivement aux 2e et 3e places.
Tout n’est pas fini : il y aura encore vendredi après-midi l’épreuve en musique (dite Kür outre Rhin), du beau spectacle en perspective. Pour rappel, cela se passe à Caen au stade Michel d’Ornano, dont la pelouse a été recouverte d’un épais revêtement composite pour la durée de la compétition.
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Par Thierry Georges Leprévost |
À la fin, ce sont toujours les Allemands qui gagnent. Du moins en dressage. Il faut dire que, depuis le temps, ils ont façonné la discipline à leurs us et coutumes, et qu’elle doit plus à l’équitation de l’armée prussienne qu’à celle de François Robichon de la Guérinière ou du Cadre Noir de Saumur.
Toujours est-il que ces deux jours d’affrontement des équipes lundi et mardi ne laissaient aucun espoir aux Français de monter sur le podium. Au moins, cette année, la FFE avait-elle pu constituer une équipe en dressage, ce qui n’a pas été toujours le cas. Malgré la qualité de leurs prestations, nos cavaliers n’ont pas pu faire mieux que 11e, loin derrière… les Allemands qui remportent l’or, les Britanniques, l’argent, et les Néerlandais, le bronze.
Deux Français ont pu toutefois s’aligner mercredi à l’épreuve individuelle du Grand Prix Spécial : Marc Boblet et Arnaud Serre. L’un se classe 23e, l’autre 26e. Et le vainqueur est… Une Anglaise, une fois n’est pas coutume ! Charlotte Dujardin, britannique comme son nom ne l’indique pas. Rassurez-vous, les Allemands ne sont pas loin : Helen Langehanenberg et Kristina Sprehe, respectivement aux 2e et 3e places.
Tout n’est pas fini : il y aura encore vendredi après-midi l’épreuve en musique (dite Kür outre Rhin), du beau spectacle en perspective. Pour rappel, cela se passe à Caen au stade Michel d’Ornano, dont la pelouse a été recouverte d’un épais revêtement composite pour la durée de la compétition.
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D-DAY
un voyage photographique dans les paysages du Débarquement. Caen (14) → Jusqu’au 18 août 2014 100 000 morts. C’est le chiffre que l’histoire a retenu comme bilan des opérations militaires en Normandie au cours de l’été 1944 : 40 000 alliés, Américains, Britanniques, Canadiens, Polonais, Français et 60000 soldats de la Wehrmacht. A ce chiffre, il faut ajouter 20 000 civils normands victimes des bombardements et des tirs d’artillerie. Les photographies questionnent le visiteur et l’invite à un voyage dans le temps au cœur de cette vaste opération militaire. Devant ces murs d’images, grand format, on est happés par le paysage. Les longues plages du calvados, les vastes dunes, les chemins de haies sauvages, les sombres bosquets, prennent soudain une autre dimension : on plonge dans le paysage de 1944. Les photos semblent avoir été réalisées, quelques minutes avant le déclenchement de l’assaut, juste avant les premiers tirs.
Sous nos yeux, la photographie de haie évoque une véritable citadelle imprenable, le marais inondé, un piège mortel pour les parachutistes et la mer et ses vagues, prennent un aspect funeste… Soudain on comprend la guerre. On comprend le calvaire des soldats, alliés et allemands. On comprend les longues descriptions d’opérations militaires qu’on a lu dans les livres, elles se matérialisent devant nos yeux. On sent l’ennemi embusqué, prêt au combat… L’enfer d’omaha s’étale sous nos yeux et prend la forme d’une longue bande de sable fin qu’il faut franchir. La haute dune truffée de points d’appuis allemands s’apparente à la muraille d’une forteresse. Le blockhaus sur la dune érodée, choque par sa puissance et son inébranlabilité. Informations pratiques :
Exposition photo-vidéo de Christophe Daguet. Salle du Saint-Sépulcre de Caen, du 5 Juillet au 18 Août 2014. du Mercredi au Dimanche 14H-19H Entrée libre. |
D-DAY
un voyage photographique dans les paysages du Débarquement. Caen (14) → Jusqu’au 18 août 2014 100 000 morts. C’est le chiffre que l’histoire a retenu comme bilan des opérations militaires en Normandie au cours de l’été 1944 : 40 000 alliés, Américains, Britanniques, Canadiens, Polonais, Français et 60000 soldats de la Wehrmacht. A ce chiffre, il faut ajouter 20 000 civils normands victimes des bombardements et des tirs d’artillerie. Les photographies questionnent le visiteur et l’invite à un voyage dans le temps au cœur de cette vaste opération militaire. Devant ces murs d’images, grand format, on est happés par le paysage. Les longues plages du calvados, les vastes dunes, les chemins de haies sauvages, les sombres bosquets, prennent soudain une autre dimension : on plonge dans le paysage de 1944. Les photos semblent avoir été réalisées, quelques minutes avant le déclenchement de l’assaut, juste avant les premiers tirs.
Sous nos yeux, la photographie de haie évoque une véritable citadelle imprenable, le marais inondé, un piège mortel pour les parachutistes et la mer et ses vagues, prennent un aspect funeste… Soudain on comprend la guerre. On comprend le calvaire des soldats, alliés et allemands. On comprend les longues descriptions d’opérations militaires qu’on a lu dans les livres, elles se matérialisent devant nos yeux. On sent l’ennemi embusqué, prêt au combat… L’enfer d’omaha s’étale sous nos yeux et prend la forme d’une longue bande de sable fin qu’il faut franchir. La haute dune truffée de points d’appuis allemands s’apparente à la muraille d’une forteresse. Le blockhaus sur la dune érodée, choque par sa puissance et son inébranlabilité. Informations pratiques :
Exposition photo-vidéo de Christophe Daguet. Salle du Saint-Sépulcre de Caen, du 5 Juillet au 18 Août 2014. du Mercredi au Dimanche 14H-19H Entrée libre. |
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Equitation
L’art et la manière de monter à cheval, XVIe-XXe siècles. Musée de Normandie – Caen (14) → Jusqu’au 11 novembre 2014 Une histoire de l’équitation, à travers l’art, le spectacle et le sport… Ouverture des portes samedi 28 juin. L’histoire de l’équitation est intimement liée aux changements de la société. Elle a ainsi évolué entre le XVIe et le XXe siècle des seuls domaines utilitaire et militaire vers ceux de l’art, des sports et des loisirs. À l’occasion des Jeux Equestres Mondiaux, la Normandie ne manque pas de raisons de rappeler son rôle dans l’histoire et la pratique de l’équitation. Cette exposition se propose de tisser un lien entre la fascination millénaire pour le cheval, le passé fastueux de l’équitation française et la renommée de la Normandie comme terre de cheval.
Tarifs : Entrée 5.20 €. Gratuité pour tous le premier dimanche de chaque mois et tous les jours pour les moins de 26 ans. Jours et horaires : 9h30-18h. Tous les jours sauf le 1er novembre. Accessibilité aux publics : à mobilité réduite / malentendants
Informations pratiques :
Musée de Normandie Château de Caen 14000, Caen Tél. : 02 31 30 47 60 musee-de-normandie.caen.fr |
Equitation
L’art et la manière de monter à cheval, XVIe-XXe siècles. Musée de Normandie – Caen (14) → Jusqu’au 11 novembre 2014 Une histoire de l’équitation, à travers l’art, le spectacle et le sport… Ouverture des portes samedi 28 juin. L’histoire de l’équitation est intimement liée aux changements de la société. Elle a ainsi évolué entre le XVIe et le XXe siècle des seuls domaines utilitaire et militaire vers ceux de l’art, des sports et des loisirs. À l’occasion des Jeux Equestres Mondiaux, la Normandie ne manque pas de raisons de rappeler son rôle dans l’histoire et la pratique de l’équitation. Cette exposition se propose de tisser un lien entre la fascination millénaire pour le cheval, le passé fastueux de l’équitation française et la renommée de la Normandie comme terre de cheval.
Tarifs : Entrée 5.20 €. Gratuité pour tous le premier dimanche de chaque mois et tous les jours pour les moins de 26 ans. Jours et horaires : 9h30-18h. Tous les jours sauf le 1er novembre. Accessibilité aux publics : à mobilité réduite / malentendants
Informations pratiques :
Musée de Normandie Château de Caen 14000, Caen Tél. : 02 31 30 47 60 musee-de-normandie.caen.fr |
Montres & Cie.
Horlogers normands au XVIIe siècle Musée de l’Horlogerie (76) → Jusqu’au 31 décembre 2014
Le musée de l’horlogerie de Saint-Nicolas-d’Aliermont accueille une remarquable exposition retraçant l’histoire des dynasties horlogères rouennaises du XVIIe siècle. Pour la première fois, des pièces horlogères signées par différents membres des familles Hubert, Gloria ou Martinot seront rassemblées. L’exposition est une occasion unique de découvrir le savoir-faire d’un corps de métier emblématique de la Haute-Normandie.
Montres, pendules, mouvements en or ou en argent… l’exposition « Montres et Cie » présente des pièces horlogères d’exception dispersées dans les collections nationales et internationales, mais aussi de très rares mécanismes de la fin du XVIIe siècle réalisés sur le plateau de l’Aliermont. À travers différentes séquences, l’exposition permettra de révéler l’histoire de ces familles d’horlogers, leur implantation dans la région, mais aussi leurs rapports avec les autres corporations comme les orfèvres ou les peintres sur émail. L’exposition met également en avant l’histoire du protestantisme français et sa persécution par la monarchie absolue, entrainant le départ de nombreux horlogers de la région et ainsi la diffusion de leur savoir-faire à travers l’Europe. Informations pratiques :
Musée de l’Horlogerie 48 rue Edouard Cannevel 76510, Saint-Nicolas-d’Aliermont Tél. : 02 35 04 53 98 musee-horlogerie-aliermont.fr |
Montres & Cie.
Horlogers normands au XVIIe siècle Musée de l’Horlogerie (76) → Jusqu’au 31 décembre 2014
Le musée de l’horlogerie de Saint-Nicolas-d’Aliermont accueille une remarquable exposition retraçant l’histoire des dynasties horlogères rouennaises du XVIIe siècle. Pour la première fois, des pièces horlogères signées par différents membres des familles Hubert, Gloria ou Martinot seront rassemblées. L’exposition est une occasion unique de découvrir le savoir-faire d’un corps de métier emblématique de la Haute-Normandie.
Montres, pendules, mouvements en or ou en argent… l’exposition « Montres et Cie » présente des pièces horlogères d’exception dispersées dans les collections nationales et internationales, mais aussi de très rares mécanismes de la fin du XVIIe siècle réalisés sur le plateau de l’Aliermont. À travers différentes séquences, l’exposition permettra de révéler l’histoire de ces familles d’horlogers, leur implantation dans la région, mais aussi leurs rapports avec les autres corporations comme les orfèvres ou les peintres sur émail. L’exposition met également en avant l’histoire du protestantisme français et sa persécution par la monarchie absolue, entrainant le départ de nombreux horlogers de la région et ainsi la diffusion de leur savoir-faire à travers l’Europe. Informations pratiques :
Musée de l’Horlogerie 48 rue Edouard Cannevel 76510, Saint-Nicolas-d’Aliermont Tél. : 02 35 04 53 98 musee-horlogerie-aliermont.fr |
Dans l’intimité d’Eugène Boudin
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Dans l’intimité d’Eugène Boudin
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A la table des Normands
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