Les pays de l'Union européenne se sont accordés samedi à Vilnius sur la nécessité d'une réponse internationale "forte" à l'utilisation d'armes chimiques en Syrie mais sans aller jusqu'à soutenir le projet de frappes défendu par le secrétaire d'Etat américain John Kerry et par la France.
John Kerry s'est toutefois dit "encouragé" par la déclaration "très puissante" faite par les 28 Etats membres.