Trois accidents sur le viaduc du grand Canal, près du Havre, à cause du verglas et du brouillard

Plus de peur que de mal, mais le verglas et l’épais brouillard qui masquait la visibilité ont surpris plus d’un automobilistes ce samedi matin vers 7 heures à la sortie du pont de Normandie dans la région du Havre.

Trois accidents matériels ont ainsi été constatés par la gendarmerie sur le viaduc du Grand Canal, qui relie Honfleur et Le Havre par la D1029.

Ce sont tout d’abord deux voitures qui sont entrées en collision sans faire de blessé. Un peu plus tard, nouveau télescopage entre deux véhicules à cent mètres du lieu où s’est produit le premier sur ce même axe en direction du Havre.

Enfin, quelques minutes plus tard, dans l’autre sens de circulation cette fois, une voiture et un patrouilleur de la Chambre de commerce et d’industrie se sont percutés.

Dans tous les cas, les conducteurs en ont été réduits à faire des constats à l’amiable.

Un adolescent mortellement blessé dans une collision entre cyclomoteurs à Fauville-en-Caux

Un adolescent de 17 ans, originaire de Drosay, est décédé dans un accident de la circulation qui s’est produit vendredi vers 21 heures à Fauville-en-Caux (Seine-Maritime). Le jeune homme circulait au guidon de son cyclomoteur rue Bernard Thélu, en direction du rond-point du Pot Cassé, agglomération.

Il suivait un camarade, un peu plus jeune que lui et originaire de Criquetot-l’Esneval, lui aussi à cyclomoteur. A un moment, ce dernier a ralenti et a fait signe à son copain, roulait derrière lui, qu’il allait s’arrêter pour répondre à un texto qu’il venait de recevoir sur son téléphone mobile.

Un choc d’une extrême violence

L’adolescent a-t-il alors été surpris ? Toujours est-il qu’il a percuté violemment le deux roues de son camarade, et a été projeté sur la chaussée.

Le choc a été d’une extrême violence. A l’arrivée des secours, le jeune homme, grièvement blessé, était en arrêt cardiaque. Malgré les soins intensifs prodigués par les pompiers puis par le médecin su SMUR de Fécamp, il a succombé sur place à ses blessures.

Les deux cyclomotoristes portaient bien leur casque.

Une ouverte a été ouverte par la gendarmerie de Fauville-en-Caux afin de déterminer les circonstances exactes de l’accident.

210 kilomètres de bouchons en direction des stations de sports d’hiver

Le trafic est soutenu sur les grands axes qui conduisent aux stations de sports d’hiver. Le Centre national d’information routière (CNIR) de Rosny-sous-Bois a relevé, à 12 heures, plus de 210 kilomètres de bouchons cumulés au niveau national, dans le sens des départs.

Cependant, les principales perturbations sont localisées dans la région Rhône-Alpes, avec 137 km de bouchons à 12 heures.

Des difficultés de circulation sont signalées sur l’autoroute A6, dans le département de l’Yonne, où un bouchon s’est formé au sud d’Auxerre.

Difficultés également sur l’A26 avec la formation d’un bouchon à Villechétif, au sud de Troyes.

Sur l’A4, dans la Marne, un important bouchon de près de 20 kilomètres en cours de formation aux Grandes Loges, à l’est de Reims.

En raison de l’augmentation du trafic, une mesure incitative de circulation est mise en place pour les usagers se rendant vers Lyon et circulant sur l’A5 : depuis le noeud A5/A19, le CNIR leur recommande de poursuivre sur l’A5, puis l’A31 vers Lyon.

Un interne en médecine d’Evreux tué au volant de sa 2CV à Tourville-la-Rivière

Un interne en médecine d'Evreux tué au volant de sa 2CV à Tourville-la-Rivière
Un interne en médecine a trouvé la mort ce samedi matin sur la route, à Tourville-la-Rivière (Seine-Maritime). Le jeune homme se rendait à son travail au service des urgences du centre hospitalier d’Evreux, lorsque pour une cause indéterminée il a été victime d’un grave accident de la circulation.

Il était environ 5 h 45, quand les services de police ont été avisés. Une Citroën 2CV conduite par un homme de 29 ans, venait de percuter violemment un mur après avoir traversé le rond-point aménagé et formé par les routes départementales 7 et 13, à proximité de l’ancienne caserne des sapeurs-pompiers de Tourville.

Incarcéré dans sa voiture

Le conducteur était seul à bord, enchevêtré dans un amas de tôle. Il a dû être désincarcéré par les secours.

Grièvement blessé, les sapeurs-pompiers puis le médecin du SAMU ont tenté longuement de le réanimer sur place en lui prodiguant des massages cardiaques. Des efforts vains, le jeune homme est décédé peu après 10 heures.

Une enquête est ouverte par la brigade des accidents et délits routiers (BADR) afin de déterminer les circonstances de cet accident. Selon les premières constatations, la route était sèche et il y avait un peu de brouillard à cet endroit.

Disparition : ce n’est pas Emmanuel Merle qui a été vu dans un bus à Caen

Disparition : ce n'est pas Emmanuel Merle qui a été vu dans un bus à Caen
ENQUETE – La disparition d’Emmanuel Merle, 25 ans, demeure un mystère. Toutes les recherches entreprises depuis la nuit de sa disparition à Rouen sont restées vaines. Les investigations effectuées par les policiers de la Sûreté départementale de Seine-Maritime n’ont pas apporté davantage de résultats.

Le jeune homme n’a pas donné signe de vie depuis bientôt quinze jours. Sa photo a été largement diffusée sur les réseaux sociaux, dans les journaux et placardée dans les rues de l’agglomération de Rouen. Toujours rien.

La piste du bus de Caen refermée

Une femme d’une cinquantaine d’années avait cru le voir dans un autobus à Caen, le jour où sa famille et ses amis faisaient une battue à Rouen pour tenter de le retrouver. L’audition de cette femme « n’a rien donné », souligne le parquet de Rouen. Elle n’a pas reconnu Emmanuel Merle sur les photos présentées par les enquêteurs. Cette piste, qui a donné un instant de l’espoir, a été refermée.

Pour autant, les investigations se poursuivent. Ainsi, les policiers ont acquis maintenant la certitude que le jeune était bien seul lorsqu’il est sorti de la boite de nuit cette nuit du 1er février vers 1 h 30.  » Un couple est sorti en même temps que lui mais ils ne se connaissaient pas visiblement «  , précise-t-on encore au parquet de Rouen.

Des témoins avaient affirmé qu’Emmanuel était en compagnie de deux ou trois jeunes femmes quand il a quitté le Bar’Ouf, rue Fontenelle.

« Nous n’avons aucune piste en vue. Tout ce qui pouvait être fait a été fait. Nous continuons à exploiter le moindre renseignement », assure Jean-Claude Bellot, procureur de la République adjoint.

Où est donc passé le jeune Caennais ?

Toutes les hypothèses ont été envisagées, de la noyade à la mauvaise rencontre, en passant par une disparition volontaire.

La noyade accidentelle reste cependant la piste privilégiée. En sortant de la boite de nuit, Emmanuel Merle a pu redescendre la rue Fontenelle jusqu’au quai du Havre et basculé accidentellement dans la Seine. Le jeune homme, qui avait passé la soirée avec une dizaine d’amis, avait consommé de l’alcool.

Les plongeurs de la brigade fluviale de la gendarmerie ont fait des recherches sur les bords du fleuve. En vain. « Le courant a pu emporter le corps à plusieurs kilomètres de là », explique un spécialiste.

Une longue attente

La mauvaise rencontre ou la disparition volontaire ? Les enquêteurs ont fouillé le passé d’Emmanuel, auditionné sa famille, ses fréquentations. Rien de suspect n’apparaît.

Ce qui est sûr, le jeune homme n’est pas allé reprendre sa voiture garée dans le parking souterrain de la place du Vieux Marché. Le véhicule n’avait pas bouché de l’endroit où il l’avait laissée la nuit de sa disparition. Emmanuel Merle habite sur la rive gauche, et il est peu probable qu’il ait décidé de rentrer à pied.

Aujourd’hui, l’attente se fait longue pour sa famille, ses amis et tous ceux qui se sont mobilisés pour tenter de le retrouver. Mais tout le monde veut encore y croire.

Le signalement d’Emmanuel
Disparition : ce n'est pas Emmanuel Merle qui a été vu dans un bus à Caen
Au moment de sa disparition, Emmanuel portait une chemise à carreaux bordeaux, un keffieh bleu et noir, une veste bleu marine et un jean.

Le jeune homme mesure 1,80 m, a les yeux bleus, les cheveux bruns assez courts et une barbe de cinq jours.

Contacter les services de police au 02 32 81 25 00.

Le beau-père meurtrier de Clara condamné à 30 ans de réclusion criminelle aux assises de l’Orne

Trente ans de réclusion criminelle : le verdict est tombé ce vendredi en fin d’après-midi après trois jours d’un procès douloureux pour la famille de Clara, 4 ans et demi. Son beau-père, a été reconnu coupable de la mort de la fillette, retrouvée sans vie enveloppée dans un sac de couchage dans le coffre de sa voiture au cours de la nuit du 10 au 11 février 2010 (Lire ici le rappel des faits).

L’accusé, qui comparaissait devant la cour d’assises de l’Orne, a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle, assortie d’une période de sûreté de 20 ans.

L’avocat général avait requis, au terme de son réquisitoire, une peine de 27 à 28 ans de réclusion.

Tout au long des débats, l’accusé, Anthony Dubromel, 43 ans, a déclaré à maintes reprises « ne pas comprendre ce qui s’est passé » cette nuit-là. A l’annonce du verdict, il a fondu en larmes. « Il n’ y a que ça pour un salaud comme moi », a-t-il murmuré.  » Je ne peux demander pardon pour l’impardonnable ».

« Je suis un montre d’avoir fait ça »

Interrogé sur les faits, l’accusé a mis en avant, pour sa défense, « des soucis liés à son travail et financiers » . « La seule chose que je sais, c’est que je suis un montre d’avoir fait ça ».

L’avocat général, David Pamart, a résumé en quelques phrases le calvaire qu’avait vécu la petite fille. « Vous dites que vous ne vouliez pas la tuer, mais que vouliez-vous en lui tapant la tête contre la baignoire. Que vouliez-vous en la projetant au sol comme un pantin, la tête claquant sur le carrelage. Que vouliez-vous en vous déchaînant sur elle à coups de pieds ».

L’avocat de la mère de l’enfant, Me Jean-Marie Depied, n’a pas caché sa satisfaction quant à la peine prononcée : « Il voulait le maximum, il a eu le maximum » .[

Qualité de l’air en Normandie : ça ne s’arrange pas

Les jours se suivent et se ressemblent presque en matière de qualité de l’air en Normandie. L’association Air Normand pour la Haute-Normandie et Air COM pour la Basse-normandie ont, en effet, publié vendredi soir un bulletin d’alerte à la pollution aux particules en suspension pour la journée de ce samedi 16 février.

L’agglomération de Rouen sera la plus touchée avec un indice 7 (médiocre) contre 5 à Evreux et Le Havre.

Partout ailleurs, à Lisieux, Cherbourg, Caen, Alençon et Saint-Lô, il faudra compter avec un indice 6.

Cet épisode de pollution gagnera aussi la Picardie et la région parisienne, selon Air Normand.

Pollution : série de recommandations en Ile-de-France
Selon les données transmises par AIRPARIF, le seuil de pollution atmosphérique aux particules (PM 10) entraînant la mise en place de la procédure d’information et de recommandation du public est susceptible d’être atteint samedi 16 février.

En raison d’une météorologie défavorable à la dispersion des polluants émis et afin de réduire l’émission de polluants dans l’atmosphère, le Préfet de police de Paris, recommande aux franciliens les mesures suivantes :

– Limiter la température maximale des locaux en période de froid à 18°C ;

-Réduire, voire procéder à l’arrêt du fonctionnement des installations fixes dont les émissions contribuent au pic de pollution.

– Eviter l’utilisation des feux de cheminées (foyers ouverts) s’ils sont utilisés en agrément ou en chauffage d’appoint ;

– Respecter scrupuleusement les interdictions des activités de brûlage de déchets verts (y compris les déchets agricoles) ;

– Reporter les épandages par pulvérisation, surtout si le vent a une intensité strictement supérieure à 3 sur l’échelle de Beaufort;

– Pour les émetteurs industriels, s’assurer du bon fonctionnement des dispositifs de dépoussiérage.

Trafic de drogue : la mère de famille dormait sur 2,5 kg de résine de cannabis !

Trafic de drogue : la mère de famille dormait sur 2,5 kg de résine de cannabis !
PETIT-QUEVILLY – Un trafic de drogue vient d’être démantelé par la brigade des stupéfiants de la Sûreté départementale de Seine-Maritime. Les policiers ont saisi, mercredi 13 février, 2,7 kg de résine de cannabis au domicile d’une famille de Petit-Quevilly.

La brigade des stups s’intéressait depuis quelque temps à une mère de famille et à sa fille. Il les soupçonnaient de se livrer à un trafic de cannabis à partir de leur appartement situé rue Roger Bonnet. Mercredi matin, les enquêteurs ont donc investi le logement et ont procédé à une perquisition en règle avec le concours du chien anti-drogue de la brigade canine.

Sous le lit et dans une boite à sucre

Un concours précieux, car très rapidement l’animal s’est mis en arrêt devant le lit de la mère de famille. Les policiers n’avaient plus qu’à se baisser et retirer une valise dans laquelle étaient entreposés des pains de drogue, soigneusement confectionnés. Il y en avait 2,5 kg environ.

Une belle découverte qui allait en amener une autre. Le chien « marquait » ensuite le buffet de la salle à manger. Une boite à sucre contenait en effet des plaquettes de 100 grammes de résine de cannabis.

Elles en revendaient « un petit peu »

Ramenées à l’hôtel de police pour s’expliquer sur la provenance de cette drogue, la mère âgée de 66 ans, malade du coeur, et sa fille de 33 ans, handicapée, ont affirmé qu’ils gardaient la marchandise chez elles pour le compte d’une tierce personne. La fille a toutefois reconnu qu’à l’occasion est revendait « un petit peu » de cannabis pour se faire de l’argent, soit selon elle « deux plaquettes de 100 grammes » qui lui auraient « rapporté 50 euros de bénéfices »..

Au cours des auditions, la jeune femme handicapée a expliqué qu’elle avait été approchée par un inconnu en janvier 2013 qui lui aurait demandé de stocker les pains de cannabis à son domicile. Elle a par ailleurs reconnu qu’elle avait sollicité son frère âgé de 36 ans pour l’aider à mettre en place un réseau.

Le fils et son ex-compagne aussi

Placé en garde à vue, après s’être présenté spontanément à l’hôtel de police, l’homme a confirmé les déclarations de sa soeur. Son ex-petite amie, âgée de 27 ans, a également été entendue et a remis aux policiers une plaquette de 100 grammes qu’elle avait en sa possession et destinés à être revendus.

Une procédure pour « violences volontaires » a été par ailleurs établie à l’encontre de cet homme dont l’ex compagne s’est plainte d’avoir été frappée. Elle portait encore les stigmates des coups reçus sur la corps.

Sur instruction du parquet de Rouen, compte tenu de leur état de santé, la mère et la fille ont été remises en liberté, ainsi que le fils et son ex compagne. Mais l’enquête se poursuit afin de vérifier les déclarations des mis en cause et d’identifier le supposé « propriétaire » de ces 2,7 kg de résine de cannabis.

Trafic de drogue : la mère de famille dormait sur 2,5 kg de résine de cannabis !

Un homme retrouvé mort le crâne fracassé à côté de sa voiture

LE HAVRE – C’est une passante qui a alerté police-secours cette nuit de vendredi vers 1 h 30. Elle venait de découvrir, alors qu’elle se trouvait place Danton au Havre, un homme inanimé auprès de sa voiture. Il avait la tête en sang.

Les premières investigations policières ont permis d’établir que l’homme, décédé, portait des plaies importantes à la tête, sans doute provoquées par un objet contondant. La victime, âgée de 55 ans et originaire de l’agglomération havraise, était en train de changer une roue de son véhicule après une crevaison, lorsqu’il a été frappé mortellement.

Une autopsie va être pratiquée afin de déterminer la nature des blessures et les causes du décès.

Toutes les hypothèses sont ouvertes. Crime crapuleux, règlement de comptes ou différend qui a mal tourné ? L’enquête est confiée à la sûreté urbaine du Havre.

Elle tente de sauver son ex-mari qui se noie dans le bassin de commerce au Havre

Un homme est mort noyé dans la nuit de jeudi à  ce vendredi vers 1 heure, au Havre. Il s’est jeté dans le bassin de commerce depuis une passerelle.

Le désespéré, âgé de 50 ans, avait téléphoné quelques instants plus tôt à  son ex-femme pour la prévenir de ses intentions suicidaires.

Lorsque cette dernière est arrivée sur place, elle a vu son ex mari sauter de la passerelle. Elle a alors essayé de lui porter secours en se jetant à l’eau, en vain.

A l’arrivée des sapeurs-pompiers, l’homme était décédé.

Le voleur s’acharne à coups de pied sur une vieille dame tombée à terre

LOUVIERS – Une femme âgée de 85 ans a été victime d’une violente (et lâche) agression le 12 février à son domicile à Louviers, dans l’Eure.

Son agresseur, un homme de 32 ans, Yannick B., connu des services de police et de la justice pour des vols aggravés (avec violences, par ruse…) n’a pas hésité à frapper à coups de pieds la vieille dame qu’il avait bousculée et fait tomber à terre dans l’entrée de sa demeure.

L’octogénaire appelle au secours

Les faits ont eu lieu vers 18 h 30, lorsqu’un inconnu entre de force chez l’octogénaire. Il la repousse brutalement, la bouscule. La victime réagit au secours en appelant de toutes ses forces. Pendant ce temps, l’agresseur continue tranquillement à fouiller la maison à la recherche probablement des économies de la personne âgée.Il quitte finalement les lieux sans rien avoir volé.

La victime a bénéficié d’une incapacité totale de travail de dix jours; indique le parquet d’Evreux.

L’enquête de la brigade de sûreté urbaine de Louviers/Val-de-Reuil est rondement menée. Les policiers procèdent aussitôt à l’audition des voisins et finissent par mettre un nom sur l’agresseur présumé. Il s’agit d’un homme que leurs services connaissent bien, « un multirécidiviste » dans le langage judiciaire.Il était sorti de prison en juillet dernier.

Il avoue aussi un cambriolage

Le suspect a été arrêté en flagrant délit jeudi matin et placé en garde à vue. Il a reconnu les faits. Au cours de son interrrogatoire, il a également avoué être l’auteur d’un cambriolage commis au cours de la journée de mercredii, c’est -à-dire quelques heures avant l’agression.

Yannick B. qui aurait de sérieux problèmes de toxicomanie, a été déféré ce vendredi en début d’après midi à un magistrat du parquet d’Evreux. Il devait être jugé dans le cadre d’une comparution immédiate pour « vol avec violences sur une personne vulnérable ».

Crues : la Seine va encore monter jusqu’à 8,80 m aujourd’hui à Rouen

La vigilance au niveau jaune est maintenue aujourd’hui vendredi pour les deux prochains pics de pleine mer essentiellement pour la boucle d’Elbeuf qui pourrait être concernée par des débordements ponctuels localisés dans les secteurs suivants :

Saint-Aubin-les-Elbeuf, lieu-dit les Bas-Fourneaux,

– Île du Noyer,

Freneuse,

– La confluence de la rivière Eure et de la Seine.

La tendance est à l’amélioration pour les prochains jours.

Lors du pic de pleine mer cette nuit à 5h30, la côte observée était de 8,91 m à Rouen et 9,86 m à Elbeuf.

Deux prochains pics sont attendus ce vendredi vers 18 h à Rouen et demain samedi vers 6 h 15 avec des côtes prévues de 8,80 m et 8,70 m.

Le débit entrant dans le tronçon Seine aval à Poses est en baisse lente et constante depuis 48 heures. Cette baisse va se poursuivre régulièrement dans les prochains jours.

Par mesure de prudence, le Grand port maritime de Rouen renouvelle ce matin ses consignes de ralentissement de la vitesse des bateaux afin de limiter les effets des vagues.

Le Conseil général de Seine-Maritime, en relation avec la Gendarmerie nationale, maintient un réseau de surveillance des routes le long de la Seine pour procéder aux coupures d’axes si nécessaire.

La population est invitée à prendre toutes les précautions en cas de promenades ou de passage en bord de Seine.

* Source : préfecture de Seine-Maritime

Pont Mathilde : le « joint à peigne » va être déposé à partir de lundi

Des travaux sont prévus sur le Pont Mathilde à partir de lundi 18 février. Pour ne pas brider les mouvements du pont, et faciliter une libre dilatation de la travée endommagée jusqu’à son enlèvement pour remise en état, il a été décidé de déposer le joint dit « à peigne ».

« Ce joint, implanté rive gauche, juste au droit de l’incendie a été très fortement dégradé lors de la dilatation exceptionnelle qu’à subi la travée », explique-t-on au Conseil général de Seine-Maritime.

Les ouvrages d’art, et en particulier les ouvrages métalliques, se dilatent ou se rétractent en fonction de la température. Il existe plusieurs types de joints qui permettent d’assurer la continuité de la surface et de garantir la sécurité des usagers.

La travée métallique du Pont Mathilde mesure 115 m de long. Pour chaque degré, sa longueur varie de 1,4 mm, des dispositifs d’appui particuliers lui permettent de glisser. Pour combler les vides de part et d’autre, des joints « à peigne » sont implantés.

Ces travaux doivent durer au maximum deux jours sans conséquence sur la circulation qui est interdite à cet endroit. Il est rappelé que le chantier et, d’une façon plus générale le secteur endommagé par l’incendie, sont interdits au public.

L’exposition  » Deux siècles d’événements maritimes » fait escale au Havre pendant un mois

L'exposition
Dans le cadre du bicentenaire de l’installation à Cherbourg de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord, l’exposition « Deux siècles d’événements maritimes » sera en escale dans le hall d’honneur de la mairie du Havre, du 16 février au 15 mars.

A cette occasion, l’aviso Commandant Blaison, sera accosté au quai Roger Meunier et ouvert au public samedi 16 et dimanche 17 février de 10h à 12h et de 14h à 17h, annonce la Marine nationale sur son site internet.

Les marins du centre d’information et de recrutement des forces armées (CIRFA) de Rouen seront présents les après-midi pour informer les personnes intéressées par les carrières dans la Marine nationale.

La vocation principale des avisos type A 69 est la lutte anti-sous-marine dans les eaux côtières. Il assure aussi certaines missions, telles que le soutien aux forces sous-marines stratégiques, la surveillance des approches maritimes, le service public (sauvetage, police des mers), l’instruction à la mer et le déploiement outre-mer.

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