Versailles : les malfaiteurs dérobent l’argent des caisses et du coffre-fort

Versailles : les malfaiteurs dérobent l'argent des caisses et du coffre-fort
Trois malfaiteurs encagoulés et casqués ont braqué le magasin DIA,  situé dans un petit centre commercial de la rue du Général Pershing, à Versailles (Yvelines) hier dimanche vers 9 h 20. Les individus se font ouvrir deux tiroirs caisses et la salle du coffre sous la menace d’une arme de poing et de bombes lacrymogènes.

Avant de disparaître avec leur butin, ils ont aspergé de gaz lacrymogène les trois employés et les cinq clients présents dans le magasin pour couvrir leur fuite. Deux coups de feu ont été entendus, confirmés par la découverte sur les lieux de douilles de 22 long rifle probablement tirées, selon une source proche de l’enquête, par un pistolet d’alarme.

Deux employés, fortement choqués, ont été transportés au centre hospitalier André Mignot, au Chesnay, pour examen. 

Le montant du préjudice n’a pas été révélé. L’enquête a été confiée à la brigade criminelle de la Direction régionale de police judiciaire (DRPJ) de Versailles. 
 

Yvelines : un homme tué par un train en gare de Mantes-la-Jolie

Yvelines : un homme tué par un train en gare de Mantes-la-Jolie
Un homme de 48 ans est mort écrasé par un train de service lors de son passage en gare de Mantes-la-Jolie (Yvelines), samedi 20 décembre peu avant 18 h 30. A cet instant, la victime, un homme de 48 ans, était seule sur le quai. Elle se serait volontairement jetée sous un train assurant le trajet Sotteville-lès-Rouen – Le Bourget. Le décès a été constaté par les secours à leur arrivée.

La circulation des trains n’a pas été perturbée, elle s’est effectuée sur les autres voies.

Les policiers de Mantes-la-Jolie ont ouvert une enquête. Les premiers éléments recueillis permettent de privilégier la thèse du suicide.

Accident de poids- lourd sur l’A13 : 3 km de bouchon à Pont-de-l’Arche (Eure)

Un Accident matériel impliquant un poids lourd est signalé ce lundi matin sur l’autoroute A13 à hauteur de Pont-de-l’Arche (Eure) dans le sens Rouen – Paris (km 103).

Toutes les voies sont neutralisées, la circulation s’effectuant sur la bande d’arrêt d’urgence. Un bouchon de 3 km s’est formé en amont de l’accident a partir de Criquebeuf-sur-Seine, avec une tendance à la dégradation, indique Bison futé.

Accident de poids- lourd sur l'A13 : 3 km de bouchon à Pont-de-l'Arche (Eure)

Grand-Quevilly : le malfaiteur encagoulé gaze la réceptionniste et s’empare de la caisse de l’hôtel B&B

Grand-Quevilly : le malfaiteur encagoulé gaze la réceptionniste et s'empare de la caisse de l'hôtel B&B
La réceptionniste d’un hôtel de l’avenue des Canadiens, près du Zénith, à Grand-Quevilly, près de Rouen, a été victime d’une agression hier soir samedi soir.

Vers 19 h 30, un individu encagoulé et ganté, a fait irruption dans l’hôtel B&B et a immédiatement aspergé l’employée, âgée de 35 ans, de gaz lacrymogène avant de s’emparer du contenu du tiroir-caisse, soit 2 000€ environ. Puis le malfaiteur a pris la fuite.

L’employée hospitalisée

Fortement choquée, la victime a été prise en charge par les sapeurs-pompiers. Elle a été transportée aux urgences du CHU de Rouen pour des soins et examens.

Un plan de recherches a été déployé dans le secteur et le signalement de l’individu, dont la direction de fuite est ignorée, a été diffusé par radio à toutes les patrouilles. Le malfaiteur n’a pas été retrouvé. 

L’enquête a été confiée à la brigade criminelle de la Sûreté départementale de Seine-Maritime.

Un kite-surfeur se tue accidentellement sur la plage de Veules-les-Roses

Un médecin de la région parisienne a trouvé la mort accidentellement en pratiquant du kite-surf au large de la plage de Veules-les-Roses (Seine-Maritime).

L’accident s’est produit ce samedi en début d’après-midi. L’homme de 51 ans, chirurgien à Melun, en Seine-et-Marne, aurait perdu le contrôle de sa voile qui, sous l’effet d’une bourrasque de vent de plus de 50 km/h, a été projeté violemment contre la digue en béton. Les secours ont procédé à des massages cardiaques afin de le réanimer,. En vain, la victime est décédée sur place.

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie afin de déterminer les circonstances de l’accident et les causes de la mort. 

 

Rosny-sur-Seine : une quinzaine de vélos détruits dans l’incendie d’un local collectif

Rosny-sur-Seine : une quinzaine de vélos détruits dans l'incendie d'un local collectif
Une quinzaine de vélos ont été détruits dans un incendie ce vendredi rue Maria Montessori, à Rosny-sur-Seine (Yvelines). Le feu, dont l’origine est indéterminé,  s’est déclaré dans un local collectif de 10 m2 situé au rez-de-chaussée d’une résidence. Toutes les bicyclettes entreposées à l’intérieur ont été détruites par les flammes malgré les moyens déployés par les sapeurs-pompiers.

Une enquête a été ouverte par les services de police de Mantes-la-Jolie.

Retraité saucisonné en Seine-Maritime : les malfaiteurs condamnés à 3 ans de prison ferme

Retraité saucisonné en Seine-Maritime : les malfaiteurs condamnés à 3 ans de prison ferme
Les auteurs d’une violente agression commise sur un couple de personnes âgées (91 ans) dans la soirée du 2 décembre à Grémonville (Seine-Maritime) sont en prison.

Les quatre principaux auteurs (ils sont originaires d’Yvetot) ont été jugés ce vendredi après-midi devant le tribunal correctionnel de Rouen et condamnés chacun à une peine de 3 ans de prison ferme et mandat de dépôt.

Le cinquième individu, demeurant à Ourville-en-Caux, qui n’avait pas participé directement à l’agression (il était reste dans la voiture) a écopé de 7 mois ferme avec également mandat de dépôt.

Les cinq malfaiteurs, âgés entre 19 et 25 ans, ont été interpellés mardi 16 décembre au cours d’un vaste coup de filet qui a mobilisé plusieurs unités de la gendarmerie.

L’enquête s’annonce difficile

Le 2 décembre, vers 22 h 30, un commando de quatre hommes encagoulés faisait irruption dans le domicile d’un couple de personnes âgées. Les individus n’hésitent pas alors à saucisonner le mari âgé de 91 ans. Ils fouillent ensuite toutes les pièces, placards et meubles à la recherche de bijoux et d’argent. Ils repartent avec des bijoux de valeur, les pièces d’identité des victimes ainsi que les chéquiers.

L’enquête s’annonce difficile : tout le monde à la compagnie de gendarmerie d’Yvetot se met donc au travail. Audition des victimes, recherches de traces et d’indices sur les lieux de l’agression, enquête de voisinage, tous les moyens d’investigation sont mis à profit. 

Puis, appelés à intervenir sur un banal accident de la circulation, les gendarmes d’Yvetot mettent par hasard la main sur des « cerflex », les mêmes que ceux qui ont servi à saucionner le nonagénaire, ainsi que sur un carnet de chèques au nom des victimes.

Les enquêteurs disposent désormais de suffisamment d’éléments leur permettant de remonter à toute la bande, d’autant qu’entre temps ils avaient appris que deux jeunes gens avaient tenté d’acheter des vêtements dans un magasin du centre commercial de Barentin avec des chèques volés à leurs victimes.

Lors de leurs interrogatoires pendant la garde à vue, les mis en cause, régulièrement interpellés par les gendarmes, n’ont pas nié les faits. Ils dormiront ce soir en prison.

Houilles : court-circuit sur un appareil ménager, la cuisine s’enflamme

Houilles : court-circuit sur un appareil ménager, la cuisine s'enflamme
Un court-circuit sur un appareil ménager (un mixeur) est à l’origine de l’incendie qui s’est déclaré ce vendredi en début d’après-midi dans un appartement situé au deuxième étage, rue Hoche à Houilles (Yvelines).

Seule la cuisine du logement concerné  a été fortement dégradée par les flammes qui ont été éteintes par les sapeurs-pompiers, dès leur arrivée.

Aucun blessé n’est à déplorer. Néanmoins, l’occupante de l’appartement, une femme de 35 ans, a dû être relogée provisoirement par la municipalité.
 

Louviers : avec la carte bancaire dérobée à son patron, il faisait ses emplettes de fin d’année

Louviers : avec la carte bancaire dérobée à son patron, il faisait ses emplettes de fin d'année
Un  employé d’une entreprise de la région de Louviers avait dérobé la carte bancaire de son employeur et l’utilisait soit pour retirer de l’argent, soit pour acheter des marchandises. Le jeune homme, âgé de 20 ans, a été interpellé par les policiers de la sûreté urbaine de Val-de-Reuil, et placé en garde à vue. 

Les faits remontent à la fin du mois de novembre. On ignore dans quelles conditions le salarié s’est approprié la carte bancaire et comment il s’est procuré le code secret, toujours est-il qu’il a réusssi à deux reprises à retirer de l’argent à des distributeurs automatiques de billets. Il a également acheté une tablette numérique tactile, des vêtements de sports, des cigarettes électroniques dans des magasins de Louviers toujours avec la carte bancaire volée.  Le montant du préjudice est estimé à 1 800€. 

Identifié avec la vidéo-surveillance d’un commerçant

Pas très futé le garçon, il est allé jusqu’à donner son nom et son adresse au moment de remplir les garanties du matériel acheté. Il s’est même servi de sa carte de fidélité dans un magasin. 

C’est en exploitant les images de la vidéo-surveillance d’un des commerçants que les enquêteurs ont pu remonter jusqu’à lui. Rapidement localisé (il demeure à Montaure), il a été interpellé ainsi qu’un de ses amis qui est soupçonné d’avoir profité des marchandises achetées frauduleusement. Curieuse coïncidence : ce dernier, âgé de 19 ans et domicilié à Cesseville, près du Neubourg, était déjà en garde à vue au commissariat de Louviers pour être auditionné dans le cadre d’une affaire de violences. 

Les deux mis en cause ont reconnu les faits rapidement. L’un a fait l’objet d’une procédure pour vol et escroquerie, le second pour recel de vol et d’escroquerie. Les policiers leur ont notifié une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) pour le 6 juillet 2015.

Bernay : il venait chercher des enfants à l’école ivre au volant

Un automobiliste a été placé en garde à vue à la gendarmerie de Bernay, dans l’après-midi d’hier jeudi. Le retraité de 67 ans a été contrôlé en état d’ivresse au volant de sa voiture alors qu’il venait chercher des enfants à l’école.

C’est le directeur d’un établissement scolaire de Bernay qui a alerté les gendarmes après que des parents lui ont signalé que le conducteur, chargé d’assurer le ramassage d’enfants, ne semblait pas dans un état normal.

L’éthylotest vire au vert

Une patrouille s’est rendue sur place et a constaté la présence du retraité qui attendait au volant de sa voiture à proximité de l’établissement. Il a été invité à souffler dans l’éthylotest qui a viré au vert. Le deuxième contrôle, à l’éthylomètre cette fois, à la brigade, a révélé un taux de 2,10 g d’alcool par litre de sang.

Le sexagénaire a été placé immédiatement en garde à vue. Il a fait l’objet d’une procédure pour conduite sous l’empire d’un état alcoolique ce qui lui valu une rétention immédiate de son permis et le retrait de six points. Le véhicule a été immobilisé.

Le retraité est reparti à pied, avec en poche une convocation devant le tribunal correctionnel d’Evreux pour le début de l’année prochaine.

Les centres de loisirs et le court-métrage « Le Havre, 500 ans d’histoire animée » à l’honneur à Paris

Le court-métrage « Le Havre, 500 ans d’histoire animée », réalisé par les enfants des centres de loisirs de la Ville du Havre, sera diffusé ce samedi 20 décembre lors des 12e Rencontres Passeurs d’images, organisées à la Gaîté lyrique à Paris.

Une belle récompense pour les 30 enfants des Centre de Loisirs de l’Atrium de Caucriauville, de la Ferme du Mont Lecomte de Caucriauville et de Pauline Kergomard de Mont-Gaillard de voir leur court métrage mis ainsi à l’honneur.

Le projet
Il a été réalisé pendant les vacances de Noël 2013 autour de 16 ateliers qui ont donné vie à ce superbe court-métrage de 7 minutes, aussi drôle et émouvant, qu’intéressant. Chaque enfant a travaillé en petits groupes pour l’écriture du scénario, la création des dessins, la prise de photo image/image, l’enregistrement, la synchronisation des bruitages, puis le montage et le mixage.
Des professionnels ont prêté leur savoir-faire : Jean-Marie Châtelier (réalisateur), Nicolas Diologent (réalisateur de films d’animation) et Olivier Lecoeur (musicien et ingénieur du son). 

L’histoire 
« Saviez-vous que les hommes préhistoriques havrais avaient déjà l’accent cauchois? Que le bateau de François 1er modestement baptisé La Grande Françoise avait fini en bois de charpente pour les maisons de St François? Ou qu’à La Belle Epoque, les parisiennes qui venaient faire bronzette sur les galets havrais, avaient déjà intérêt à se méfier des coups de vents d’ouest? Non? Heureusement ! Les enfants sont là pour vous raconter cette histoire ! »

Depuis 2010, la Ville du Havre est engagée dans le projet éducation à l’image en partenariat avec le Studio Honolulu (Studio B) et le Pôle Image Haute Normandie (Dispositif Passeurs d’images). Il a pour objectif de favoriser le développement artistique des enfants fréquentant les centres de loisirs dans des quartiers éloignés de l’offre et de la pratique culturelle.

Chacun des projets réalisés depuis 2010 a abouti à la réalisation d’un court métrage sur la thématique générale de la citoyenneté et des droits de l’enfant. Les mécanismes de réalisation d’un film ont ainsi pu être abordés par le biais d’ateliers animés par des professionnels du cinéma.
 
Suite du projet.
Ce travail se poursuivra jusqu’en 2017 avec 3 épisodes et rassemblera également 30 enfants des centres de loisirs du Havre afin de lancer le court-métrage pour l’année des 500 ans de la ville.

Un cargo remorqué jusqu’à Cherbourg à cause d’une avarie moteur au large de la Hague

Un navire en difficulté (panne de moteur) au large du cap de la Hague (Manche) dû être remorqué hier jeudi par l’Abeille Liberté, pour être ramené à Cherbourg où il est arrivé ce vendredi matin.

Un cargo remorqué jusqu'à Cherbourg à cause d'une avarie moteur au large de la Hague
Le navire Abis Cardiff a, ce jeudi en milieu d’après-midi, signalé une avarie moteur au Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) de Jobourg, à 18 nautiques (33,5 km environ) au nord du cap de la Hague. En fin de journée, n’étant pas en mesure de réparer à la mer, l’armateur a pris la décision de faire appel à la société Les Abeilles (groupe Bourbon) pour remorquer le navire vers la rade de Cherbourg.

Le remorqueur d’intervention, d’assistance et de sauvetage Abeille Liberté a donc appareillé dans la soirée pour prendre le cargo en remorque à 22h à environ 25 milles nautiques au nord de Cherbourg, dans le cadre d’un contrat commercial. Malgré une météo difficile, le remorquage du navire s’est déroulé sans encombre.

L’Abeille Liberté étant un moyen privilégié d’intervention, la préfecture maritime a été sollicitée pour donner son accord.

Le convoi est arrivé dans la grande rade de Cherbourg à 4h10 ce vendredi matin et l’Abis Cardiff a reçu le concours du remorqueur portuaire Sirocco et du remorqueur portuaire côtier Saire (base navale Cherbourg) pour se mettre au mouillage, où il attendra en sécurité un autre remorqueur pour être cette fois acheminé vers Rotterdam.

Le Abis Cardiff est un cargo battant pavillon néerlandais de 114 mètres et construit en 2011.

La modernisation de la ligne Serqueux-Gisors inscrite dans le plan de relance européen

La modernisation de la ligne Serqueux-Gisors inscrite dans le plan de relance européen
La modernisation de la liaison ferroviaire Serqueux-Gisors (Seine-Maritime) figure parmi les 32 projets présentés par la France dans le plan de relance économique de la Commission européenne, présidée par Jean-Claude Juncker et validé hier soir, jeudi, par les dirigeants européens. Un plan global de 315 milliards d’euros répartis entre les Etats membres.

« Un projet majeur », selon Nicolas Mayer-Rossignol

« La ligne Serqueux-Gisors est un projet majeur pour le développement de notre région. L’enjeu est d’inscrire la Vallée de la Seine au cœur des transports du futur à l’échelle européenne », a commenté Nicolas Mayer-Rossignol, après avoir appris la bonne nouvelle. Sa modernisation est « une opportunité supplémentaire pour cet axe essentiel au développement du fret ferroviaire régional et national de bénéficier d’un financement européen ».
 
L’occasion de rappeler que le président de la Région Haute-Normandie,  afin de pousser le projet de fret normand, avait écrit, en octobre dernier, à Alain Vidalies, secrétaire d’Etat chargé des transports pour que « la modernisation de l’axe Serqueux-Gisors puisse bénéficier d’un financement européen ».

L’Etat a donc confirmé son intérêt pour ce dossier, « reconnu comme prioritaire dans le rapport remis par la Commission Mobilité 21 en juin 2013 ».

« La France a ainsi intégré Serqueux-Gisors dans sa liste de 32 projets qui pourront représenter quelque 48 milliards d’euros d’investissement sur la période 2015-2017 ».
 
Les dossiers proposés par les Etats membres vont être étudiés par des experts indépendants dont les conclusions sont attendues d’ici le mois de mars prochain.
 
Pour mémoire, grâce à ses actions de lobbying, la C8*1, présidée par la Région Haute-Normandie, a fait inscrire l’année dernière le « Maillon ouest »*2 au futur réseau de transport européen (RTE-T).
 

*1 La Conférence permanente des Présidents de Région du Bassin parisien (C8) est composée des Régions Picardie, Basse-Normandie, Bourgogne, Centre, Champagne-Ardenne, Haute-Normandie, Ile de France et Pays de la Loire. Elle a pour vocation d’inscrire le Bassin parisien à l’échelle européenne et mondiale tout en respectant l’équilibre des territoires. Cela suppose de bâtir une vision partagée d’un territoire de plus de 25 millions d’habitants pour qu’il trouve sa place autour des espaces de coopération interrégionaux déjà constitués (Arc Atlantique, Arc Manche, etc).
 
*2 Le « Maillon ouest » s’appuie sur des liaisons fret ferroviaire entre le Havre et l’Allemagne, Nantes et l’Italie du Nord ou encore entre le Benelux et l’Espagne pour développer les transports et faciliter les connexions transeuropéennes.

Le Chesnay : en garde à vue pour avoir menacé avec un fusil de 14-18 des lanceurs de cailloux

Le Chesnay : en garde à vue pour avoir menacé avec un fusil de 14-18 des lanceurs de cailloux
Un habitant de la rue Guyemer, au Chesnay (Yvelines) a été interpellé hue jeudi, dans la soirée, après avoir menacé avec une arme des jeunes qui jetaient des projectiles sur son domicile.

Âgé de 67 ans, l’homme avait lui même alerté police-secours des faits et prévenu qu’il les avait « menacés avec un fusil non approvisionné afin de les faire fuir ».

Le sexagénaire a été ramené au commissariat, placé en garde à vue pour menaces avec arme avant d’être auditionné par un officier de police judiciaire.

L’arme, un fusil de calibre 8 mm datant de la Première Guerre mondiale, a été saisie à titre conservatoire.

Chanteloup-les-Vignes : interpellé après une tentative de cambriolage

Chanteloup-les-Vignes : interpellé après une tentative de cambriolage
Un individu a été mis en fuite alors qu’il tentait de forcer le volet d’un pavillon, hier jeudi vers 16 heures rue du Général Leclerc a Chanteloup-les-Vignes (Yvelines).

Toutefois, grâce au signalement fourni par la victime, l’auteur a pu être interpellé un peu plus tard par le Groupe de sécurité de proximité (GSP) et formellement reconnu par le propriétaire du pavillon.

Le mis en cause, âgé de 38 ans et demeurant à Chanteloup, aurait exercé des violences sur le chien du propriétaire lors de la tentative d’effraction.

Il a été placé en garde à vue.

Saint-Germain-en-Laye : le bûcheron s’entaille le pied avec sa tronçonneuse

Saint-Germain-en-Laye : le bûcheron s'entaille le pied avec sa tronçonneuse
Un bûcheron employé par la SNCF pour effectuer des coupes aux abords des voies ferrées près de la  gare d’Achères, s’est entaillé le pied avec sa tronçonneuse. L’accident s’est produit ce jeudi peu après 15 heures, route forestière des Pavillons, à Saint-Germaine-en-Laye (Yvelines).

La victime, âgée de 31 ans, qui présentait une plaie assez profonde, a été transportée aux urgences du centre hospitalier de Poissy. 

Guyancourt : deux personnes incommodées après un feu de voiture dans un parking souterrain

Guyancourt : deux personnes incommodées après un feu de voiture dans un parking souterrain
Les sapeurs-pompiers sont intervenus ce jeudi vers 15 heures rue Jacques et Christian Menget, à Guyancourt (Yvelines) pour un feu de voiture dans un parking souterrain. Deux personnes ont dû être évacuées à l’arrivée des secours et transportées au centre hospitalier André Mignot, au Chesnay pour un examen après avoir inhalé de la fumée.

Le feu a endommagé les murs voisins et une canalisation a éclaté provoquant une coupure d’eau dans neuf logements, répartis dans trois petits immeubes Les moyens engagés par les sapeurs-pompiers ont permis de contenir les flammes et d’empêcher le feu dont l’origine est indéterminée, de se propager à d’autres véhicules et à la structure du bâtiment.

Une enquête a été ouverte par les services de police.

Seine-Maritime : les agresseurs d’un couple de personnes âgées (91 ans) identifiés et arrêtés

Seine-Maritime : les agresseurs d'un couple de personnes âgées (91 ans) identifiés et arrêtés
Le 2 décembre, à 22h30, un couple de personnes âgées (91 ans) est victime d’un vol en réunion. Alors que ces derniers se trouvent à leur domicile à Grémonville, dans le Pays de Caux, quatre malfaiteurs encagoulés ou le visage dissimulé font irruption dans l’habitation.

Immédiatement, l’époux est immobilisé par l’emploi de deux colliers type « cerflex ». Les auteurs sont bien renseignés sur le fait que les victimes sont propriétaires de logements loués. Ils procèdent à une fouille complète des pièces et des meubles. De nombreux bijoux de valeur, les pièces d’identité des victimes, des chéquiers sont dérobés.

« Lors des constatations sur un accident de la circulation routière constaté par les gendarmes d’Yvetot, il est retrouvé dans le véhicule en cause des « cerflex » ainsi qu’un chéquier au nom des victimes », indique la gendarmerie dans un communiqué.

Cinq suspects interpellés mardi matin

Par ailleurs, dans les jours suivants les faits, deux jeunes hommes tentent d’acheter des vêtements dans diverses enseignes du centre commercial de Barentin. Les investigations réalisées (planches photos présentées aux victimes, écoutes téléphoniques, auditions de témoins) permettent de remonter à cinq suspects.

Ce mardi 16 décembre, dès 7 heures, cinq personnes sont ainsi interpellés à leur domicile respectif et placés en garde-à-vue. Les perquisitions permettent de retrouver au domicile d’un des individus le sac à main de la victime, ses chéquiers ainsi qu’une partie des bijoux dérobés.

Les mis en cause ont été présentés ce jeudi 18 décembre devant le magistrat de permanence du Parquet de Rouen puis devant le Juge des libertés et de la détention (JLD) qui devait dans la soirée décider ou non de leur placement en détention provisoire.

Plusieurs unités de la gendarmerie ont été mobilisées sur cette enquête.

Les braqueurs de commerçants asiatiques se déguisaient en policiers : arrêtés et écroués

Les braqueurs de commerçants asiatiques se déguisaient en policiers : arrêtés et écroués
Une équipe de malfaiteurs, soupçonnée d’avoir braqué 14 commerçants asisatiques, en se faisant passer pour des policiers ou douaniers, ont été écroués mardi soir. Il pourrait s’agir des individus (ou d’une équipe similaire), déguisés en faux douaniers qui ont dévalisé un couple de restaurateurs chinois la semaine dernière à Petit-Quevilly, près de Rouen

Les individus, au nombre de trois, ont été interpellés par la police judiciaire de Versailles qui enquêtait depuis quelques semaines sur une série de braquages commis avec toujours le même mode opératoire et dont les victimes étaient des commerçants asiatiques de la région parisienne.

La panoplie du parfait enquêteur

Carte de police, brassards de police, talkies-walkies… les malfaiteurs avaient quasiment tout de la panoplie de l’enquêteur de la police nationale. Y compris le vocabulaire.

Dans la plupart des cas, ils se présentaient dans la journée au domicile de leur victime et faisaient croire à la femme que son mari était en garde à vue. Et que pour les besoins de l’enquête, ils devaient procéder à une perquisition. Les individus profitaient de la fouille de la maison ou de l’appartement pour faire main basse sur l’argent liquide que le commerçant pouvait garder chez lui.

Quatorze commerçants ont ainsi été pris au piège de ces faux policiers, qui auraient amassé un coquet magot estimé à plus de 100 000 € en quelques mois.

Le même mode opératoire qu’à Petit-Quevilly 

Ce mode opératoire est à rapprocher de celui utilisé par quatre malfaiteurs vêtus d’uniformes de douanier qui ont attaqué un couple de restaurateurs asiatiques, à leur domicile à Petit-Quevilly, dans la nuit de samedi 13 décembre.

Les individus, dont trois étaient encagoulés et portaient une arme à la ceinture, étaient parvenus à s’introduire dans la demeure des commerçants prétextant une enquête. Ils menottaient alors le restaurateur avant de l’obliger à les conduire à la cave où se trouvait le coffre-fort. Le montant du préjudice a été estimé par la victime à plusieurs milliers d’euros.

Gisors : un adolescent à scooter tué dans un accident

Gisors : un adolescent à scooter tué dans un accident
Un jeune garçon âgé de 16 ans a trouvé lamort dans un accident de la route hier mercredi en début de soirée sur la RD15, à Gisors (Eure).

L’adolescent circulait au guidon d’un scooter lorsque la collision avec une voiture s’est produite dans des circonstances qui restent à déterminer. Les secours, arrivés rapidement sur les lieux, n’ont rien pu faire pour la jeune victime qui a succombé à ses blessures.

Choquée, la conductrice du véhicule a été prise en charge par les sapeurs-pompiers.

La circulation a été coupée sur la route départementale en amont de l’accident le temps de l’intervention des secours et des constatations. Une déviation a été mise en place par la gendarmerie.

L’enquête a été confiée aux gendarmes de Gisors.

Rouen : par mesure de sécurité, la rue Jeanne d’Arc est fermée jusqu’au 22 décembre

Rouen : par mesure de sécurité, la rue Jeanne d'Arc est fermée jusqu'au 22 décembre
La rue Jeanne-d’Arc, à Rouen, est interdite à la circulation au moins jusqu’au lundi 22 décembre. La menace d’effondrement d’une cheminée sur un immeuble situé au n°63, ont conduits, par sécurité, les services municipaux à prendre cette mesure de fermerture de la rue entre la rue des Bons enfants et la rue Jean Lecanuet. « La réouverture est prévue au plus tôt le lundi 22 décembre », indique la mairie.

Cette fermeture exceptionnelle permettra la mise en sécurité du périmètre et la dépose de la cheminée.

Des déviations sont mises en place..

Elle invente une séquestration imaginaire et tient les policiers en haleine pendant 2 heures !

Pendant près de deux heures, une femme de 35 ans a tenu les policiers rouennais en haleine, cette nuit, rue de Lecat, dans le quartier de la préfecture, à Rouen.

Vers 3h30, le standard du centre d’information et de commandement (police secours) reçoit un appel. Au bout du fil, une femme explique qu’elle est séquestrée dans un appartement de la rue de Lecat.

Séquestrée dans une pièce froide

Deux inconnus l’ont contrainte à monter dans l’ascenseur de l’immeuble et l’ont enfermée de force dans une pièce froide dont les murs sont rugueux (sic), détaille-t-elle au téléphone.

Les policiers prennent l’appel au secours très au sérieux. Plusieurs équipages, dont la brigade anti criminalité, sont envoyés sur place. Des recherches sont entreprises dans l’immeuble en question qui compte quatre étages, pendant plus d’heure. Les caves et parties communes sont passés au peigne fin.

Elle raccroche et refuse de repondre

La femme séquestrée est toujours en ligne avec le standard de police-secours et semble manifester son impatience. Le policier lui demande de taper dans la porte de l’appartement afin de pouvoir localiser l’endroit où elle est enfermée. Sans résultat.

Peu avant 5 heures, le fonctionnaire toujours au téléphone, suspectant un appel malveillant, prévient la supposée victime qu’il vient de localiser son téléphone et qu’un équipage va venir l’interpeller. A cet instant, la femme interrompt la communication et refuse ensuite de répondre aux appels de la police.

Elle est interpellée chez elle

Le numéro de téléphone est alors identifié : il appartient à une femme domiciliée dans le même quartier. Cette dernière est finalement interpellée à son domicile et ramenée à l’hôtel de police pour être placée en garde à vue pour « dénonciation de crime et délits imaginaires ».

La mise en cause a fait l’objet en fin de nuit d’une mesure d’hospitalisation d’office au centre psychiatrique du Rouvray.

Un homme armé d’un fusil d’assaut et d’une arme de poing sème la panique à l’Université du Havre

Un homme armé d'un fusil d'assaut et d'une arme de poing sème la panique à l'Université du Havre
Branlebas de combat hier après-midi à l’Université du Havre. Peu avant 15h30, un homme a été aperçu par un témoin (qui a alerté police-secours) en train de pénétrer dans le bâtiment, rue Demidoff, armé d’un fusil d’assaut et d’une arme de poing. Le secteur est immédiatement bouclé par d’importantes forces de police, et des hommes de la brigade anti-criminalité protégés par des boucliers tactiques et des gilets pare-balles.

Pour les besoins d’une activité artistique

Les policiers prennent d’abord contact avec le personnel de la faculté avant d’investir les lieux. C’est ainsi qu’ils découvrent, dans une salle de cours, les armes signalées. Il s’agit d’un pistolet et d’un fusil de type airsoft qui tirent des billes en caoutchouc. A la vue des policiers, le propriétaire des armes se manifeste et explique, au cours de son audition, qu’il les a amenées avec l’autorisation d’un professeur dans le cadre et pour les besoins d’une activité artistique.

Le jeune étudiant de l’École supérieure d’art et design, un Havrais de 19 ans, a été laissé libre, mais ses armes, de catégorie C, ont été saisies : elle seront détruites prochainement. Le parquet du Havre a décidé de classer l’affaire sans suite.

Pays de Caux: le cambrioleur est rattrapé au volant du fourgon qu’il venait de voler

Avec la recrudescence des vols par effraction, la gendarmerie est plus que jamais vigilante et réactive au moindre fait qui lui est signalé. Dernier exemple en date, l’arrestation ce 16 décembre d’un cambrioleur dans le Pays de Caux. Les faits.

Pays de Caux: le cambrioleur est rattrapé au volant du fourgon qu'il venait de voler
Ce mardi, donc, trois individus pénètrent dans une propriété à Ecalles-Alix, près d’Yvetot (Seine-Maritime), où ils commettent un cambriolage avant d’être surpris par leure victime. Les inconnus prennent la fuite à bord d’un véhicule de forte cylindrée avec lequel ils sont arrivés. Il s’agit d’un véhicule signalé volé.

Un des suspects qui n’a pu fuir avec les autres dérobe un fourgon utilitaire dans la cour d’une propriété à Villers Ecalles, à quelques kilomètres de là. Un plan de recherches immédiat (PRI) est alors déclenché permettant la mobilisation rapide de nombreuses patrouilles de gendarmerie.

Il abandonne le fourgon sur le rond-point

Le véhicule volé est vite repéré et pris en chasse par le Peloton de surveillance et d’intervention (PSIG) de Rouen. Son conducteur, lors de la course-poursuite, l’abandonne finalement à un rond point à La Vaupalière. Alors qu’il s’enfuit à pied, il est rattrapé et interpellé. Placé en garde à vue à la brigade d’Yvetot, le suspect, originaire du Pas-de-Calais et issu de la communauté des gens du voyage, refuse de s’expliquer. 

Il est néanmoins poursuivi pour refus d’obtempérer a une sommation de s’arrêter, « dans des circonstances exposant directement autrui à un risque de mort ou d’infirmité », vol aggravé dans une habitation, conduite d’un véhicule malgré une annulation judiciaire du permis de conduire et enfin vol de véhicule.

L’intéressé a été déféré, hier mercredi, devant le magistrat de permanence du Parquet de Rouen et placé en détention préventive en attendant son jugement le 6 janvier prochain.

L’enquête se poursuit pour tenter de retrouver ses complices en fuite.

Le ministre a tenu parole ! Les policiers d’Elbeuf ont touché une Peugeot 208

Le ministre a tenu parole ! Les policiers d'Elbeuf ont touché une Peugeot 208
Les fonctionnaires du commissariat de police d’Elbeuf (Seine-Maritime) ne sont pas peu fiers de leur nouveau véhicule, une Peugeot 208 grise toute rutilante. Pour cause, c’est un « cadeau » du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, en personne ! Une promesse tenue.

A la surprise générale, le ministre avait annoncé lors de sa venue, le 29 septembre dernier, à l’occasion de l’installation du Comité local de sécurité et prévention de la délinquance (CLSPD) à Caudebec-en-Caux, sa décision de doter le commissariat d’Elbeuf d’un nouveau véhicule.

C’est la voiture du ministre !

Bernard Cazeneuve a donc respecté sa parole : la 208 est arrivée fin novembre. Il s’agit d’un véhicule qui n’est pas sérigraphié « police », autrement dit banalisé. Dans l’esprit des policiers d’Elbeuf qui l’utilisent pour effectuer diverses missions, c’est désormais la voiture du ministre ! Rien que ça.

Un tel « cadeau » méritait bien une petite cérémonie. Ce sera chose faite ce vendredi 19 décembre puisque le préfet de Seine-Maritime, Pierre-Henry Maccioni, a prévu de procéder à une remise officielle.

Un petit événement, assurément, que ne manqueront pas de savourer les fonctionnaires de police d’Elbeuf et leur patron, le commissaire Julien Portron.

Deux écoliers kidnappés à Nanterre retrouvés près du Havre : deux suspects en garde à vue

Deux écoliers kidnappés à Nanterre retrouvés près du Havre : deux suspects en garde à vue
Deux enfants kidnappés lundi sur le chemin de l’école à Nanterre (Hauts de Seine) ont été retrouvés, ce mercredi matin, dans une commune de la banlieue du Havre. Ils sont « sains et saufs », selon M6 qui révèle l’information sur son site.

Les deux enfants, âgés de 9 et 10 ans,  et dont le père est d’origine chinoise, avait signalé leur disparition après avoir constaté, en allant les chercher à l’école, qu’ils étaient déjà partis. 

Une rançon de 300 000€

Un peu plus tard, il avait alors reçu un mystérieux appel téléphonique d’une personne  lui réclamant une rançon de « plus de 300 000€ », selon ses déclarations. Dès lors, la thèse du kinadpping était privilégiée par les enquêteurs de la Brigade cirminelle de la police judiciaire de Paris.

Les investigations, tout azimuts, allaient permettre d’identifier la camionnette qui avait été utilisée lors de l’enlèvement des enfants et de remonter jusqu’aux kidnappeurs dont la trace a été retrouvée ce mercredi matin dans la région havraise par les hommes de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI). Les deux enfants étaient à bord du véhicule. Deux suspects, présentés comme les auteurs présumés du kidnapping, ont été interpellés et placés en garde à vue.

Les enquêteurs privilégient « l’hypothèse d’un crime crapuleux au sein de la communauté asiatique ».

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